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| Sujet: .JULIAN. i thought our story was epic Sam 4 Déc 2010 - 15:40 | |
| © Fanpop
Prénom : Qui est tu ? Je me prénomme Julian. Age : Je suis âgé de 24 ans. Référence : Je ne me souviens plus. Présence : 3/7, du moins j'essaierai. Double compte : Non. Remarques : ...
L'identité de Ton personnage
Nom : MacBeth Prénom(s) : Julian Tristan Age : J'ai vingt-quatre ans. Lieu de naissance : Londres Statut : Célibataire
Caractère : Nostalgique ; Rancunier ; Désordonné ; Protecteur ; Charismatique ; Perspicace Physique : Mon regard chocolat est probablement ce qui attire les femmes en premier. À moins que ce ne soit mes abdos plutôt bien sculptés? Enfin, allons-y dans l’ordre, de la tête aux pieds. J'ai les cheveux d’une longueur plutôt raisonnable, ils ne sont, à mon avis, ni trop courts, ni trop long. Je n’ai jamais aimé avoir les cheveux longs. Je trouve que ça ne me va pas bien. J’ai déjà passé par là, à une époque où c’était à la mode, et je peux vous assurer que la mode ne m’allait pas du tout. Enfin, Encadré dans un visage ovale mais plutôt carré, on retrouve, comme dit plus haut, deux yeux couleur chocolat. Ces yeux perçants pourront tantôt sembler attendrissants, tantôt sévères. Le tout se termine par des lèvres pulpeuses, juste assez. Je m’entraînant régulièrement, j'ai un corps assez bien sculpté et une musculature imposante, soit des épaules carrées, un torse bien musclé que j'aime bien dévoilé par temps de grande chaleur. J'ai de longues jambes, elles aussi musclées, mais pas trop. Disons que j'entretient mon corps, mais je ne suis pas un obsédé. J'aime juste me tenir en forme. Relations : Je ne connais personne ici. Histoire :
©TUMBLR Le soleil commençait à disparaître, désormais caché par de gros nuages gris lorsque Carter MavBeth se gara dans le parking de l’hopîtal. Il se dépêcha à faire sortir Anne Dubois, sa femme, de la voiture. Le couple passa en vitesse les portes d’entrée et tandis que sa femme allait s’asseoir patiemment sur une chaise, monsieur MacBeth alla au comptoir. Rapidement, on apporta une chaise roulante dans laquelle on installa la femme et direction la salle d’accouchement. Je vous épargnerez les détails de l’action en tant que telle. Je me contenterai de vous dire que le bambin qui naquit fut un garçon. Les parents ne s’entendant pas du tout sur quel nom on devrait attribuer à leur progéniture décidèrent de le nommer Julian, prénom auquel la mère tenait par dessus tout, et Tyson, prénom que le père affectionnait particulièrement.
« Oh mon fils, je suis si fière de lui … » Hahahaha mais vous voulez rire?! Jamais mon père n’aurait proféré de telles paroles à mon endroit. J’aurais espéré qu’un jour il les disent, que je puisse entendre de sa vive voix qu’il aimait son fils, mais malheureusement, cette histoire de famille heureuse n’est pas la mienne. Vous connaissez ces histoire mythiques, Roméo & Juliette, Tristan & Iseult, voir même le Titanic, ces histoires dont les gens rêvent, qui font voyager? La mienne y ressemble quelque peu, enfin, quand on pense à la chance que j’ai eu en amour.
« Un enfant de riches, oh… comme il doit avoir eu une vie magnifique! » Non, bien au contraire. Pas que j'aies été maltraité ou quelque chose de la sorte, non, loin de là. Seulement, les insultes que me lançait mon père, les paroles ou les gestes qui démontraient qu’il aurait préféré que son fils soit différent, me minèrent rapidement le moral. Mon histoire, quoi que peut laisser penser mon prénom Tristan, n’a rien à voir avec les comptes de fée ou livres d’auteurs tels Shakespeare et compagnie. Oui mes parents sont complètement gaga en ce qui concerne la lecture et le théâtre. C’est probablement du à cette passion que me vient mon prénom. Tristan, comme l’histoire de Tristan& Iseult, oui, oui. Je n’ai pas vécu la mort de mes parents, comme ce personnage mythique, mais ils n’ont jamais été réellement présents, et les seuls moments où ils l’étaient, ils me rabaissaient, me faisait avoir honte de qui j’étais. Mon père rêvait que je devienne un grand sportif, mais déjà, enfant, je n’avais ni la corpulence, ni l’endurance pour faire du sport. Je me tournai rapidement vers l’exploration des arts. Je commençai par étudier le théâtre, qui, je l'ai découvert assez tôt, n'était pas ma tasse de thé. Je me suis ensuite diriger vers le cinéma. Papa et maman toujours absents, une nounou dont on se fout carrément, une jeunesse dorée, voilà le monde dans lequel je suis né. Mes géniteurs, pour compenser leur absence, m'achetaient tout ce que je voulais et me laissaient faire. Déjà tout jeune, j'avais avait du répondant.
- Citation :
- Il avait huit ans à cette époque. Ses parents étaient à la maison pour deux jours seulement. Julian avait fait une grande connerie. Il avait ramené des vers de terre de l’extérieur, du jardin, dans la maison. Il y avait de la terre partout dans la maison. Les murs du salons, à l’origine blancs, étaient désormais beige-brun. Sa mère lui avait fait tout un sermon. Le garçon avait répliqué ceci à celle qu’il ne considérait pas vraiment comme sa mère :« Maman, c’est mon cadeau pour toi, pour que tu m’oublies pas. »Un large sourire était maintenant visible sur son visage et il laissa tomber la terre et les vers qui étaient dans ses mains sur le sol et parti à la salle de bain se laver les mains.
« Il faut le dire, Julian avait déjà bien du caractère et aimait déjà la provocation dès son plus jeune âge. Ses parents, malgré son attitude, ne furent pas plus présent pour le petit garçon les années suivantes. Toujours aussi occupés, ils connaissaient plus les douaniers de l’aéroport que leur propre fils. Et l’idée de faire un second enfant ne leur est jamais venue en tête, bien que Julian a, à maintes reprises, évoquée l’envie d’avoir un frère ou une sœur. Bien sur, me direz-vous, ce n’est pas l’enfant qui décide, mais tout de même. Les biens matériels ne remplaçaient en aucun cas l’amour parentale qui lui manquait. Il s’est donc rapidement tourné vers des jeunes de son âge aux fréquentations douteuses et à l’attitude rebelle. Il adopta rapidement le mode de vie de ces garçons, mode de vie peu convenable pour un garçon d’à peine dix ans. C’est d’ailleurs à cette âge qu’il goûta à sa première bière. Et ce n’était que le commencement…
C’est vers l’âge de treize ans qu’il fuma son premier joint. C’était un soir, alors qu’il était à une fête organisée par on ne sait trop qui qu’on lui proposa d’essayer. Friand de sensations fortes et à la recherche de quelque chose pouvant apaiser la souffrance qu’il ressentait du à l’absence de figure paternelle, il essaya. Il en devint rapidement accro. À quatorze ans, ce fut la première piqûre. C’était maintenant la recherche de substance toujours plus forte, plus stimulante qui menait sa vie. Les cours, il s’en foutait. Il n’aimait que les femmes et les substances illicites. » ─ Anita - Sa nconfidente, nounou, presque sa seconde mère
© TUMBLR.
- Citation :
- J’ai rencontrer une jeune femme lors d’une soirée. Nous étions tous les deux défoncés, saouls, presque morts, pourtant, elle m’a tout de suite plu. Ses cheveux blonds ondulés qui tombaient en cascade sur ses épaules, cette lueur dans ses yeux que je n’aurais su décrire, son regard envoûtant, ses formes bien proportionnées, tout chez elle m’attirait. Je l’ai abordée puis rapidement, nous sommes montés à l’étage et avons tiré parti de ce que chacun pouvait offrir à l’autre. Nous avons entretenu une relation plutôt … étrange. Enfin, nous ne nous aimions que quand nous étions défoncés. Alors, disons que ça a duré un temps, mais on s’est vite lassé. Et quand elle m’a vu embrasser une autre fille à en perdre haleine, je crois que ses ardeurs ont été refroidi.
Mes parents ont continués de me discriminer, je continuais de vivre une vie de me*de, de débauche. Bien que j'aie découvert là une passion sans cesse grandissante pour le cinéma. Mes parents ne m'encouragèrent pas dans cette voie, évidemment, donc je commençai à travailler jeune pour pouvoir, à l'âge de 14 ans, me payer ma propre caméra.
J’ai continué à enchaîner relation d’un soir, alcool et drogue. Ma vie fut un désastre. Je n’ai pratiquement aucun souvenir de mon adolescence. Sauf peut-être ce soir, celui d’une soirée ou j’accompagniais une amie, j’avais probablement quinze ans à l’époque.
- Citation :
- Tout le monde sait que ce qui est plaisant dans les bals de graduation, c’est la fête qui vient après. Encore une fois, elle n’échappait pas à notre règle. Sex Drugs & Rock ‘n’ Roll. Ce qui était sensé être une soirée mémorable se transforma rapidement en cauchemar. J’avais à lors dix-sept ans. Nous buvions, avions du plaisir, embrassions à peu près qui nous voulions et couchions dans la tente d’un inconnu, se foutant du reste. Cependant, j’ai rapidement cessé de compter les bières qui passaient dans mes mains. Ma vision devint flou et je sombrai rapidement dans l’inconscience. Quelqu’un d’encore assez sobre, j’imagine, appela les secours et on dut me transporter d’urgence à l’hôpital. J’étais en plein coma éthylique. Je ne me réveillai que 7 heures après mon arrivée dans ma chambre. Mes amis attendaient, inquiets, dans la salle d’attente, ne s’abreuvant que d’eau, tandis que je me remettais tranquillement de cette soirée de débauche. J’ai pu rentrer chez moi après une nuit d’observation. Depuis ce jour, je suis vigilent avec l’alcool et je ne prends plus de substances illicites.
Je suis entré dans l’armée à l’âge de dix-huit ans. Pendant un an, j’ai servi pour mon pays jusqu’à ce que, tragiquement, je reçoive deux balles. Une qui atteint mon gilet pare-balles et l’autre qui me blessa à l’omoplate et se logea près de mon coeur. Je fus donc transporté à l’hôpital le plus rapidement possible, bien que je n’en ait pas le souvenir. Je suis resté dans le coma un moment mais finit par sortir de cet état et on me permis de rentrer à la maison. Par la suite, bien à bout de toute cette vie, je décidai de quitter le pays. J’ai donc marché longuement dans les rues de la ville, vu l’aéroport et j’y suis entré. J’avais peu d’économie, mais je pouvais me payer un allé simple n’importe où. Je pris donc le vol qui me sembla le plus attrayant, soit Sydney.
Je m’inscris à l’université pour suivre des études en cinéma à mon arrivée. J’avais alors vingt-deux ans. Je terminai avec succès mes études et fut, après de nombreuses tentatives, engagé comme réalisateur dans un studio de cinéma.
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Dernière édition par Julian T. MacBeth le Dim 5 Déc 2010 - 22:51, édité 1 fois |
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