Encore une journée des plus banales pour Devon. Il avait passer son temps a flâner dans les rues, au volant de sa décapotable rouge, et a fréquenter les boutiques les plus classes. IL était asser fière, et arrogant, rien a voir avec ce qu'il était, avant qu'ELLE ne le trompe.. il ne voulait plus prononcer son nom. Des lunettes de soleil sur le nez, et une chemise blanche qui n'était pas boutonnée jusqu'en haut, et un jean, voila l'allure qu'il avait, alors qu'il déambulait dans les rues, a pied a présent. Et puis, il décida de prendre une autre alternative, et d'aller a la piscine, heureusement, il avait anticiper, et prit un maillot . Il retourna a sa voiture, et fonça jusque la bas, ca n'était pas très loin. Une foi arrivé, il se gara, et entra. Une foi qu'il eut payer son entrée, il se dirigea vers les vestiaires, ou il enfila un maillot noir, puis prit une serviette. Il s'avança vers une des chaises longues, ou il posa sa serviette.

Dès qu'il entendit la refléction de cette fille, un long soupir s'échappa de ses lèvres. Encore une emm*rdeuse, comme il les aimait tant.. c'était ironique, évidemment. Il prit alors la serviette, faisant face a la fille en question.. a vrai dire, son coeur manqua un battement. C'était elle, elle qu'il avait éviter depuis des années ! quel manque de chance. Il ne prit pas la peine de s'enerver, il lui fit juste une remarque..

- Retourne donc au lit avec ton jules, au lieu de vouloir profiter du soleil, je suis certain qu'il sera ravit..

Après quoi, il tourna les talons, allant plus loin.

Devon venait donc de s'en aller plus loin, il ne voulait pas lui parler, ni la voir. Elle l'avait fait beaucoup trop souffrir.. A entendre sa voix, elle avait dut le suivre. Il poussa un soupire, et répondit, sans la regarder

- Fiche moi la paix, j'ai pas envie de m'enerver a cause de toi, pas encore..

Il lui lança un regard noir, avant de se lever en prenant ses affaires, pour se diriger vers les vestiaires. Il ne pouvait pasrester dans la même pièce qu'elle, impossible..

Quand elle se planta devant lui a nouveau, il soupira encore une foi, en la regardant, toujours avec ce regard noir.. haineu.

- Et bien on peut dire que tu l'a vraiment enterré.. ton fiancé avec.

Dit-il, en la poussant pour qu'elle le laisse passer, et ensuite aller se changer. Il ne pouvait pas lui pardonner, il était bien trop fière, et avait été pronfondément affecté en découvrant sa copine au lit avec un autre..

Décidément, elle ne lui ficherais jamais la paix !

- Imagine toi que c'est se que j'ai essayer de faire, mais comme tu continu a me pomper l'air, je risque pas de t'oublier !

Dit-il, pour ensuite sortir de la cabine, habillé. Il se dirigea ensuite vers l'extérieur de la piscine, puis vers sa voiture ..

Et voila, a peine dehors, elle était encore a ses basques. Il n'eut pas le temps de se tourner, que déja, il se prenait une baffe. C'était justement une erreur a ne pas faire, une raison pour qu'il voit rouge. Il la prise par les bras, et la plaqua contre sa voiture. Elle devait s'attendre a ce qu'il la frappe...
Et bien non, au contraire, il venait de poser ses lèvres sur les siennes, et de lui donner un baiser passionné.

Après avoir réaliser se qu'il était entrain de faire, Devon se recula, et soupira. Il monta dans sa voiture, démarale contacte, et lui lança un " Désoler" avant de démarer en trombe, et de partir.

Devon ne voulait pas recasser le passer, mais l'embrasser avait été un geste incontroler. Il avait fuit, parce qu'il était un peut lache surement, et qu'il ne se voyait pas lui dire qu'il lui pardonait. Rentrer chez lui, il se laissa tomber sur le canaper, en soupirant

Devon tournait en rond, il faisait les cents pas dans son appartement. Il était a la foi enerver, mais aussi troubler, ses emotions se mélangeaient.. Quand il entendit sonner, il se dirigea vers la porte, et ouvrit. Voyant de qui il s'agissait, il referma directement

Devon soupira fortement, entendre cette sonette l'agaçait fortement. Une voisine, alertée par le bruit, sortit de chez elle

- Arretez immédiatement votre bordel, ou j'appel les flics !

Oula, spéciale la voisine.. Devon ne sortit pas, il ne voulait pas ceder

Devon finit par ouvrir, entrainant sa "harceleuse" dans son appartement, et fermant la porte après.

- Mais t'est dingue ?! t'a envie qu'ont m'envoie les flics ou quoi ?! qu'est-ce que tu veux ???

Il l'avait plaquer contre la porte et la regardait dans les yeux

- Et pourquoi ??? y'a des tas d'autres hommes sur terre !

Il la regardait fixement lui aussi, comme pour la défiée, lui dire quelque chose du genre " Alors, va y agis !"