Cameron mesure un peu plus d'un mètre soixante quinze pour ses soixante neuf kilogrammes. Il est très sportif donc évidement, le physique en suit. A première vu il est plutôt beau goss, il prend soin de son physique sans trop en faire non plus. Il a les cheveux châtain, plutôt clair, mais n'hésite pas à enchainer les teintures, il aime le changement. Il possède de magnifique yeux bleus qui font tout sont charme. Il a un tatouage sur le bras et aucun autre signe particulier.

Cameron est avant tout un garçon fort sympathique, attentionné et généreux envers les autres il faut l'admettre même si il a quelques défauts que j'aurais l'occasion d'énoncer. Il se trouve être imprévisible par moment , mais plutôt positivement. Il est plutôt du genre a faire des surprises et gâté ou encore a faire des choix qu'on aurait pas forcément attendu de sa part mais tout ce qui fait est toujours instinctif de toute manière. Il n'a pas un avenir tout écrit dans sa tête , il vit au jour le jour et s'en ai toujours très bien sortir comme sa. Cameron est un jeune homme plutôt solitaire. Oui il aime être entouré d'amis et apprécier , mais ce n'est pas pour autant qu'il ouvre facilement son coeur et exprime ses sentiments. Il reste un jeune homme mystérieux aux yeux des autres et d'ailleurs heureusement qu'il ne cherche pas a exprimer ses sentiments car ceux la se trouve être plutôt compliqués la plupart du temps. Mais sa n'empêche pas le jeune homme d'être direct, quand il pense quelques choses, il ne le cache pas, ce qui peux parfois posé soucis. Avec les filles , il se trouve être très romantique : une facette cachée qu'on ne découvre que si on atteint son coeur. Il est aussi assez protecteur envers sa partenaire. Un peu trop possessif et jaloux parfois d'ailleurs. Sinon pour parler de tout les jours sans développer Cameron est plutôt drôle, enfin il faut aimé son humour qui peut aussi paraitre débile. Il est très taquin voir lourd des fois, il faut savoir le remettre à sa place. Il est très impatient donc ponctuel, il ne va pas infligé ce qu'il déteste aux autres. Il est plutôt mature comme il l'a toujours était d'ailleurs et très réaliste , les pieds sur terre et non pas un de ses hommes avec la tête dans les nuages. Il est courageux et déterminé , il sais ce qu'il veut la plupart du temps. Il reste avant tout un homme ce qui le rend très bordélique et sportif par contre mais il ne dit pas non a une journée au lit ou a toute manœuvre de fainéantise

Ma vie début un mardi de l'année mille neuf cent quatre vingt huit. Je suis né au sein d'un couple, dans le sud de l'Espagne, à Alméria plus précisément. Mon père était un grand avocat, plutôt réputé dans le pays. Ma mère, elle, ne travaillait pas. Elle venait d'arriver d'Angleterre lorsqu'elle rencontra mon père. Tout se passa très vite et en une année, ils se marièrent et madame Hernandez tomba enceinte. Son mari ayant de bons moyens financier, elle n'eut pas besoin de trouver de travail.
Cela faisait bien neuf mois que ma mère était enceinte lorsqu'elle sentit que c'était enfin le bon moment de mettre au monde son bout de chou. Étant seule à la maison ce jour là, elle dut demander à la femme de ménage, Maria de l'emmener au plus vite à la maternité. Bien sur, elle demanda son cher et tendre mari durant l'accouchement, mais celui ci avait mieux à faire. Le business avant tout, avait-il l'habitude de dire. Fort heureusement, cela n'empêcha pas la charmante britannique à mettre au monde son enfant. Elle fut seule pour me trouver un nom, et c'est après des heures d'hésitation qu'elle se décida sur Cameron. Ce prénom n'a jamais eu aucune signification précise, il lui plaisait bien, c'est tout, et puis elle avait l'habitude d'aimer les prénoms espagnols. Mon deuxième prénom par contre est un hommage à mon arrière grand père, autrefois très admiré par ma mère.
Mon enfance se passa plutôt bien, rien ne sert de s'y attarder, elle a été comme celle de n'importe qui. Il n'a pas fallut plus de deux ans après ma naissance pour que mon père nous quitte. Ma mère en avait assez de son mari fantôme, qui en plus de ça était loin d'être fidèle. Avec la séparation des biens et la pension mensuelle, elle n'a jamais eu besoin de re-travaillé. Elle s'est alors occupé de moi. Elle m'a élevé, éduqué et aimé de tout son être. Concernant mon père, il a déménager pour Las Vegas avec l'une de ses blondasse et il a tout perdu en jouant dans les casino. Il s'est retrouvé seul, pauvre, sans rien, et il est tombé dans l'alcool à ce qu'on m'a raconté. Je le voyais de temps à autre au début, puis plus du tout, je ne sais pas ce qu'il est devenu par la suite. Quoi qu'il en soit, même avec l'absence du père, j'eus une enfance très heureuse, ne vous inquiétez pas. J'étais un bon garçon, sympathique, un vrai petit ange. Si je vous dis ça c'est parce que ça ne dura pas éternellement. Le jour de mes dix huit ans changea ma vie. Ce matin là, ma mère était sortie pour aller sur le marché, et elle n'est jamais rentré. Une voiture l'a percuté, m'a t-ont expliqué. Le choc. Celle qui avait tout été pour moi disparu en quelques heures. Je n'eus pas le temps de lui dire au revoir, pas le temps de la remercier pour tout ce qu'elle avait fait pour moi et la merveilleuse mère qu'elle avait été. Ce fut une véritable tragédie. En plus de faire face à tout ça, je me retrouvais seul et je dus apprendre à me débrouiller.
Après quelques mois à essayer de vivre seul en Espagne, je remarqua très vite que c'était cause perdu. Je choisis alors de prendre mes clics et mes clacs et de partir en Californie, à Los Angeles plus précisément. Pourquoi là ? Et bien au début je voulais retrouver mon père, vraiment, mais n'ayant pas d'autre indice que la Californie, je choisis la ville la plus dynamique en espérant que l'insertion soit facile. Ce fut le cas d'ailleurs ! Là bas je trouva rapidement un travail. Bon rien d'impressionnant, dans un bar de la ville mais c'était suffisant pour payer un loyer. Ce travail ne me demandait en plus aucun diplôme, ce qui tombait bien, même si au début c'était difficile, je m'y suis vite fait. Pour preuve aujourd'hui, ça fait cinq ans que je travail là bas, je suis un habitué, très ami avec le grand patron je n'ai pas à me plaindre. La vie à Los Angeles est très différente de celle en Espagne et même si tout ça me manque, je trouve que je m'en suis plutôt pas mal sortit. Je n'ai toujours pas retrouvé mon père, malgré mes recherches il ne donne aucun signe de vie, mais bon, l'espoir fait vivre.