• Il suffit d'un seul regard pour que je fondent face à lui. Il l'ignore surement mais il a une folle emprise sur moi, emprise de laquelle je n'arrive pas à me débarrasser et dont je ne cherche pas à me débarrasser tout court. Je suis heureuse de retrouvée un Jason fraîchement refait à neuf, quand on omet pas le fait que c'était un drogué par le passé. Ne quittant pas ses lèvres, je le laisse me soulever du sol et me reposer assise, sur une table qui se trouvait derrière moi. Posant mes mains contre sa nuque et écartant les jambes, je l'attire bien contre moi, allant provoquer sa langue avec la mienne.

• Je le laisse s'attaquer à mon pantalon pendant que mes mains à moi s'attaquent au sien. Je le fais glisser au maximum que je le peux de mon perchoir sans quitter ses lèvres, appréciant le contact de sa langue qui roule autour de la mienne. Saisissant les extrémités de son boxer, j'en fais claquer une, doucement avant de le faire glisser lui aussi, frissonnant sous ses caresses.

• Dégageant la table, Jason finit par m'allonger dessus et par me monter dessus pour venir chercher mes lèvres de manière assez sauvage, chose qui me plu. Passant un bras autour de son cou et l'autre autour de sa taille, je lève un peu les fesses pour l'aider à me retirer mon string. Agrippant ses lèvres, je tire dessus par moment pour finalement répondre à ses baisers, enroulant l'une de mes jambes autour de l'une des siennes.

• Voilà qu'il recommençait, il me provoquait en ondulant son bassin contre le sien. Entrant dans son jeu, je fais de même tout en prolongeant son baiser, tout aussi langoureusement. Ma langue caresse la sienne avant de rouler de nouveau autour tandis que mes mains, elles, elles glissent dans ses cheveux pour l'une et sur ses fesses que je malaxe, pour l'autre.

• Malheureusement, on ne peut pas s'éterniser car d'autres médecins, internes ou infirmiers auront surement la même idée que nous lors d'une petite pause. Prends-moi ... Prenant un petit air coquin, j'agrippe à nouveau ses lèvres avant d'y déposer un baiser. Je veux qu'il me fassent l'amour mais malheureusement, on a pas autant de temps que chez nous pour le faire.

• Quand Jason me pénètrent, je mordille ma lèvre pour ne pas m'exprimer car si je me laisse aller, on va m'entendre dans tout Haley. Sa douceur et la profondeur qu'atteint ses mouvements me font frémir. Quand je l'entend soupirer de plaisir, je souris et je me laisse aller moi aussi, de manière très discrète ou du moins, j'essaie. Mon corps ondulant au même rythme que le sien, je resserre l'étreinte de mes jambes autour de sa taille pour donner plus de profondeur à ses gestes.

• Il devenait sauvage et j'aimais ça. Je devais me taire car tout le monde serait alarmé si je m'exprimais. Quand il entrelace les doigts de ses mains aux miens, je les plaque au dessus de ma tête, contre la table pour lui donner un meilleur appui. Je serre ses mains dans les siennes, me mordillant la lèvre inférieure pour me contenir au maximum.

• Le poids de Jason s'appuya contre sa prise qui se trouve sur mes mains, je ne peux plus bouger et je me sens comme dominée, chose qui me plait beaucoup. Je prolonge son baiser, tout aussi tendrement, moyen très efficace qui permet d'étouffer le moindre soupir. Lâchant ma prise autour de sa taille, je suis le rythme de ses mouvements en ondulant toujours mon corps avec le sien, sentant ces coups de bassin entrer plus profondément en moi.

• Me maintenant fermement plaquée contre la table, il accentua ses coups de bassin, un peu plus fort et plus profond. Mes jambes se mirent à trembler, signe que l'orgasme n'était pas loin. Quand je le sens se vider en moi, j'explose, moi aussi, à ma manière. Je le laisse se reculer et je me redresse en serrant un peu les cuisses pour éviter d'avoir la semence de Jason qui me coulent sur les cuisses. J'ai cru que j'allais hurler de plaisir.

• Je m'en fou, je veux que le monde entier sachent que mon homme, c'est toi. Je veux que tout le monde le sachent pour éviter principalement les mauvaises surprises comme des autres femmes médecins qui essaierait de t'attirer dans leur filet. Moi aussi je suis jalouse même si je fais tout pour la contenir. M'habillant moi aussi, je me recoiffe un peu car mes cheveux sont légèrement en bataille. Je réajuste ma tenue chirurgicale ainsi que ma blouse. Présentable ?

• Maintenant qu'on forment un magnifique petit couple, oui mais dis-moi pas que tu n'as pas flashé sur d'autres médecins quand tu étais célibataire ? Je suis sur que tu t'es envoyé en l'air avec l'une d'entre elle. Si tu me dis pas de non, je n'irais pas la massacrer, t'inquiète pas. Il se rend compte que je peux me montrer jalouse et apparemment, il trouve ça mignon. Faudra que je cachent mieux mon jeu à l'occasion. Il débloque la porte et s'approche de moi pour remettre quelques mèches de cheveux à leur place mais aussi, pour me voler un baiser. Vous êtes parfait Docteur O'Smith. Je souris et lui vole moi aussi un baiser avant de jeter un oeil à ma montre. Il est un peu plus d'une heure du matin. Faudrait peut-être qu'on se remettent au travail, qu'en dis-tu ? Je finis mon service à huit heures. Et toi ?

• Je m'en doutais, j'en ai entendu parler et j'attendais que tu me le disent. Pour être honnête avec moi, j'ai eu une petite relation d'ordre sexuelle avec un chirurgien moi aussi mais ce n'était que du sexe et rien de plus. Comme tu l'as dit pour moi, il ne t'arrive pas à la cheville. Je préfère lui dire avant qu'il ne l'apprend de la bouche du chirurgien en question qui aiment beaucoup se vanter. La preuve, le lendemain, une bonne partie du personnel savait déjà qu'on avait couché ensemble. J'ai encore quelques nuits à faire mais après, je suis de matin moi aussi. Ok, on se retrouve à huit heures devant l'hôpital. File pas comme ça, embrasse-moi avant. M'approchant de lui, je l'embrasse tendrement avant de le laisser filer.

• Ça ne m'étonne pas, il s'est envoyé la moitié du personnel féminin. Malgré tout, c'était un bon coup. Je le taquine rien que pour le mettre hors de lui là. Prenant un petit air innocent, j'éclate de rire en voyant sa tête. Je plaisante. L'embrassant, nos lèvres finirent par se détacher. Moi aussi je t'aime. À tout à l'heure. Le regardant partir, je fais de même, en sens inverse pour rejoindre le service des urgences qui est plus animé.