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 |  Sujet: Jade - Est-ce vraiment une vie ? Mar 27 Déc 2011 - 21:41 | |
| curriculum vitae
Jade est une jeune femme élégante et élancée. Elle attire beaucoup le regard des hommes mais malheureusement aujourd'hui cela la gène et l'effraie. Elle regrette le temps ou elle appréciait cela. Elle a de long cheveux châtains qu'elle laisse souvent retomber en cascade sur ses épaules. elle peut les porte bouclé naturellement ou bien lissé et même quelque fois attaché. Ses yeux sont marrons, banals, et pourtant ils s'accordent parfaitement avec son teint mat. La jeune femme est jolie au naturelle est n'à pas besoin de quatre couche de fond de teint, ni de maquillage exubérant. Un rien lui suffit. Elle aime être habillée à la mode sans être provocante.
| Le caractère de Jade à beaucoup changé ces derniers temps, mais elle n'en reste pas moins polie et sociable. Même si elle est moins ouverte envers les hommes à présent, elle peut les remercier si ils l'aident. La jeune femme à toujours été de nature optimiste et même aujourd'hui, elle le reste. Elle sait qu'un jour tout s'arrangera pour elle, qu'elle ira mieux, qu'elle se sentira plus à l'aise en présence des hommes et qu'elle pourra faire des nuits complètes. Mais elle n'en est pas moins caractérielle et parfois, elle pique des crises de colère que personne n'à prévu. Elle est en effet assez imprévisible et sous ses airs de petit ange elle peut se transformer parfois en vrai démon. Pour finir, Jade est assez jalouse et possessive envers ses proches et les personnes qui comptent pour elle.
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Des cris retentissent dans la salle d’accouchement de l’hôpital de Los Angeles le 24 mai 1986. Dehors il fait très chaud, et on peine à respirer correctement tellement la chaleur est étouffante. Mais moi j’ai froid. Je ne comprends pas, je me sentais si bien là-dedans à nager à longueur de journée. Bon c’est vrai que ça devenait un peu étroit, surtout que je suis un grand bébé, mais bon c’était ma maison. De nombreuses personnes me regardent l’air ébahies et moi j’hurle ! On me dépose sur le ventre de ma maman qui pleure à chaude larmes. Ça doit être l’émotion. Je remarque qu’un homme lui tiens la main, il a lui aussi les larmes aux yeux. Je suppose que c’est mon papa et j’espère lui ressembler plus tard. On m’embarque à nouveau et on me plonge dans de l’eau tiède. Ah … Je retrouve un peu la vie que j’avais avant de naître. Mais ce n’est que de courte durée. Ensuite je me retrouve recouvert de coton, pourquoi est-ce qu’on m’habille ? Je suis bien tout nu moi ! On m’emporte à nouveau. Je retrouve les visages que j’ai vu tout à l’heure. Mes parents, ils sont si beaux. Ils décidèrent de m’appeler Jade.
Très vite, je me suis retrouvée à l’école et directement j’ai détesté. Je pleure tous les matins quand mes parents me quittent. J’ai l’impression qu’ils m’y abandonnent. La maîtresse essaie de nous faire faire des activités, mais moi je ne veux rien faire avec elle. Alors je boude et elle me met au coin ! Génial, au moins là je ne dois rien faire : D, et elle ne se rend même pas compte que ça me convient parfaitement. Je me bats parfois avec les autres filles de ma classe, ça m’amuse et ça fait passer le temps. Et puis, elles m’ennuient, j’ai bien le droit de me venger non ? Avec les garçons par contre, c’est autre chose. J’essaie parfois de leur donner un bisou sur la bouche, mais ils me poussent. Pourtant ça se fait j’en suis certain j’ai vu maman et papa le faire ! Mais chut, ne dites rien. Trois ans dans ce même bâtiment ! Pff que ça m’a semblé long ! Maintenant, direction les primaires ! Je m’y habitue très vite et me rends compte que j’adore travailler. Du coup, je ne pleure plus et suis toujours contente d’y aller. Il me semble que je suis intelligente, mais parfois j’éprouve quand même des difficultés. Alors maman ou papa m’aide. Eux c’est certain qu’ils sont super intelligent ! Quand on est avocat ou médecin on ne peut que l’être.
J’étais en deuxième lorsque mes parents m’annoncèrent que j’allais avoir une petite sœur ! J’étais absolument ravie, depuis le temps que j’en rêvais. Bon d’accord j’aurais préféré un frère mais bon une sœur s’était bien aussi. Aussi jeune que je suis, je me jure de la protéger comme il se doit. Elle nait, ils l’appellent Coleen. Je veux toujours la prendre dans mes bras, mais elle pleure alors maman me la reprends …
Les années passent à une vitesse folle, Coleen entre à l’école elle aussi et moi j’arrive au bord de la porte des secondaires. Déjà. J’ai toujours autant de facilité et ça m’arrange bien parce que ça me permet d’avoir pleins de temps libre. J’apprends alors le dessin et ça devient vite une très grande passion pour moi. Je peux jouer avec ma sœur aussi. Parfois, la nuit quand elle a peur, je me glisse dans son lit et prends sa main dans la mienne. Alors elle s’endort et je la regarde jusqu’au petit matin ou je retourne vite dans mon lit pour ne pas me faire gronder par maman. Mes parents sont fiers de moi, j’ai des bons résultats, je suis sage et ne leur cause pas trop de problème. Juste une petite bagarre de temps en temps, rien de bien grave.
Je termine mes secondaires, mes parents ont quelques rides et ma sœur est en pleine crise d’adolescence. Je ne me souviens pas avoir été aussi difficile qu’elle ! Elle en fait voir de toutes les couleurs à nos parents et ils sont vraiment à bout parfois. Je lui dis d’arrêter. J’ai 21 ans, elle pourrait m’écouter un peu ! Mais non, elle n’en fait qu’à sa tête, ce qui fait qu’on s’éloigne un peu surtout quand je quitte la maison pour un logement étudiant et que je ne reviens que les week-ends. Mais je suis toujours attachée à elle, je me souviens m’être juré de la protéger quoi qu’il arrive. Un jour, un coup de téléphone. Je sors justement de cours, c’est ma mère. Elle pleure, elle crie et je ne comprends absolument rien. J’entends juste quelques bribes de phrase. Coleen, papa, dispute, mort … MORT ?! C’est impossible qui peut bien être mort ? Je lui demande de répéter, c’est Coleen. Elle à encore fait n’importe quoi et mon père est entré dans une rage folle, il la étrangler et n’à pas pu s’arrêter. Elle est encore à l’hôpital mais ils vont la débrancher à ce que dit ma mère. Je prends ma voiture et conduit jusque-là bas. Les larmes ruissellent sur mes joues, je suis incapable de les contenir. Je cours dans le couloir jusqu’à arriver devant elle. Elle est allongée sur un lit, elle est pâle et a les yeux fermés. Je réalise alors que je ne la serrerai plus dans mes bras, que je n’entendrai plus son rire cristallin et que j’ai échoué ! Je devais la protégé c’était mon devoir. Mon père était déjà au commissariat, heureusement parce que je l’aurais tué de mes propres mains sinon !
Aujourd’hui, j’ai 25 ans, j’ai terminé mes études d’art avec une année de retard, le drame de ma sœur m’ayant fait perdre tous mes moyens pendant un bon bout de temps. Mais je me suis reprise. Je vais la voir une fois par semaine au cimetière. Par contre, mon père je ne veux plus jamais le revoir ni lui adresser la parole. Il est sorti de prison il y a peu et rien que cette idée me glace le sang. J’aurais voulu qu’il y crève ! J’ai réussi à me trouver un bon boulot et je ne manque de rien mais on ne peut pas dire que je roule sur l’or non plus. Côté cœur par contre, c’est on ne peut plus compliquer ! Je vous explique. Il y à environ quatre ans je suis allée à une soirée chez des amis et il était là. Elle, c’est Liam. On a tout de suite sympathisé, on a échangé nos numéros de portable, on a discuté au bout du fil pendant des heures entières et on s’envoyait des textos à longueurs de temps. Puis, on s’est vu, rien que nous deux, une fois, deux fois, trois fois. Je me suis vite rendue compte que j’étais amoureuse. C’est la première fois que ça m’arrivait, avant j’avais juste eu des petites aventures comme ça mais sans vraiment éprouver de sentiments. Les mois ont défilé, on ne vivait pas ensemble mais c’était comme si car on dormait toujours l’un chez l’autre. On s’aimait.
Un jour, je sortais de l’hôpital après avoir fait une simple prise de sang de contrôle et je repris les ruelles pour rejoindre mon appartement. J’étais assez pressée parce que j’avais encore pas mal de dessins et de croquis à faire avant de pouvoir aller me coucher. Mais une force me retînt, on me tirait par le bras. Ma tête sembla tourné un moment, ca devait être dû a la prise de sang et je cru m’être évanouie et avoir rêvé mais non, mon corps frêle claqua contre le mur glacé de la ruelle et sans que j’aie eu le temps de régir la plupart de mes vêtements se retrouvèrent en lambeaux ou sur le sol. C’était un cauchemar réel. Je parvins à hurler malgré tout, une seule et unique fois après quoi une main s’abattit sur ma bouche, me forçant à me taire. Je ne prenais aucun plaisir mais ca ne semblait pas être le cas de mon agresseur qui s’était glissé entre mes cuisses. Un homme apparu au coin de la ruelle et il frappa fort celui qui était la cause de mon mal-être. Je m’effondrai sur le sol, en larme, je n’avais même pas la force de les regarder se battre. Des pas se firent entendre, ils s’éloignaient. Mes yeux se relevèrent sur le visage de celui qui m’avait sauvée. Je refusais de me rendre à l’hôpital alors il m’amena chez lui. Il se prénommait Caleb et il travaillait à l’hôpital s’était tout ce que je savais. Il me soigna lui-même, c’était très dur parce qu’à chaque fois qu’il posait la main sur moi je revoyais cet homme. Mais je n’avais pas le choix je devais me faire soigner. La nuit même, je ne suis pas parvenue à dormir, dès que je fermais les yeux la scène repassait dans ma tête et j’étais prise de tremblements. Le lendemain matin, je suis rentrée chez moi, j’avais refusé que Caleb m’y raccompagne prétendant que j’allais bien mais c’était en réalité le contraire. J’essayais quand meme de reprendre ma vie, j’allais travailler mais sourire m’étais devenu difficile, je dormais mal car les cauchemars peuplaient constamment mes nuits et je ne supportais presque plus la présence proche d’un homme. Leur faire la bise en arrivant au boulot était un calvaire et je devais lutter pour ne pas reculer lorsqu’ils posaient gentiment leur main sur mon épaule ou sur mon bras. Mon petit ami ne pouvait plus me toucher, mais je refusais de lui expliquer ce qu’il m’était arrivé. Il ne tarda pas à prendre la fuite et je me suis retrouvée toute seule. J’essayais de ne pas me trouver en présence d’homme, j’avais peur d’en côtoyer un en colère, ou trop proche de moi. Je ne vivais casi plus et me contentais de sortir pour aller travailler et faire mes courses. Après, je m’enfermais chez moi et ressassait sans cesse cette soirée, la plus sombre de mon existence.
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A. Evangeline Watts
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| | Sujet: Re: Jade - Est-ce vraiment une vie ? Mar 27 Déc 2011 - 21:51 | |
| Bienvenue
Code validé , j'atttend l'avis du créateur pour te validé ^^ |
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| | Sujet: Re: Jade - Est-ce vraiment une vie ? Mar 27 Déc 2011 - 21:52 | |
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| | Sujet: Re: Jade - Est-ce vraiment une vie ? Mar 27 Déc 2011 - 21:54 | |
| Merci à vous deux  |
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| | Sujet: Re: Jade - Est-ce vraiment une vie ? Mar 27 Déc 2011 - 22:06 | |
| Bienvenue (:
Merci d'avoir pris aussi vite mon personnage.
Tout est parfait pour ma part Eve (: |
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| | Sujet: Re: Jade - Est-ce vraiment une vie ? Mar 27 Déc 2011 - 22:07 | |
| Re-Bienvenue  |
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A. Evangeline Watts
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| | Sujet: Re: Jade - Est-ce vraiment une vie ? Mar 27 Déc 2011 - 22:08 | |
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| | Sujet: Re: Jade - Est-ce vraiment une vie ? Mar 27 Déc 2011 - 22:11 | |
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| | Sujet: Re: Jade - Est-ce vraiment une vie ? | |
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