All the girls, all the boys, want my cake...

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Paloma Willow Robinson

✎informations about myself

nom(s) : Robinson
prénom(s) : Paloma Willow
âge : 22 ans
date de naissance : 25 Janvier 1990
lieu de naissance : new-york
origine(s) : afro-américaine
orientation sexuelle : bisexuelle
situation amoureuse : célibataire
job(s) : prostituée de luxe
couleur préférée : rose
plat préféré : les nems !

✎ caractère

Folie est le maître mot de ma vie. N'ayant pas eu une enfance, ni une adolescence facile, en grandissant, j'ai gardé un certain optimisme pour éviter de sombrer dans une longue descente aux enfers. Alors voilà, j'ai pris la vie du bon côté en étant folle et délurée. Je n'ai peur de rien, je dois être téméraire et inconsciente mais lorsque l'on a vu la mort sous toutes ses formes, on voit le danger différemment. Déterminée, lorsque je veux quelque chose, je me débrouille toujours pour l'obtenir, quel qu’en soit les risques. Un peu manipulatrice sur les bords, je n'hésite pas à jouer de certaines situations pour les tourner à mon avantage. Mais jamais rien de bien méchant ou presque. Sinon, je suis loyale, envers ceux que j'aime. En fait, il vaut mieux m'avoir avec soi que contre soi ! En voici les avantages : donc en plus de ma loyauté, ma folie, mon optimisme et ma détermination, vous y gagnerez une femme franche. Peut-être un peu trop d'ailleurs. Je déteste mentir, lorsque je le fais c'est bien à contre coeur. Mentir, c'est contre ma nature même si parfois j'y suis obligé. Mais en général, je ne dis que ce que je pense, quitte à m'attirer des ennuis. Partant du principe que je vous aime bien, je ne supporterais pas vous savoir mal alors je serais là, prête à vous écouter et vous soutenir comme je le pourrais. Je serais prête à vous faire rire ou plus s'il le faut. Et je n'hésiterais jamais à vous prendre dans mes bras. J'aime me sentir aimée ce qui me pousse toujours à être tactile. Mais voilà, là il y a un petit soucis que l'on pourrait mettre dans la colonne des choses désagréables : je suis très jalouse. Possessive, je ne supporte pas de devoir partager ceux que j'aime. La peur de les perdre est sûrement ce qui me pousse à demander l'exclusivité. Pas de chance, lors de mes crises de jalousie, je peux devenir très agressive. Mes crises de fureur sont très animées. Entre mes cris et le fait que je balance tout ce qui passe avant de vous sauter à la gorge... Je ne sais ce qui est le pire ! Je cache néanmoins quelques petits secrets et pour cela, j'affiche souvent mon côté prétentieux et narcissique. Je vous donnerais sûrement l'impression de vous mépriser. Je semble également froide, distante et même réservée. Je ne dévoile pas ma vie à tout le monde alors je me suis fais cette carapace de fille hautaine insensible. En plus de tout ça, j'ai des sautes d'humeurs. Bah oui, je suis lunatique et pas qu'un peu ! Il m'arrive parfois d'être dans un état proche de l'ivresse tant je suis heureuse mais voilà tout peut changer d'un seul coup. Et voilà que je déprime, que j'ai des envies suicidaires. Je ne supporte plus rien, je pleure, je hurle. En plus, je suis encore plus susceptible dans ces moments là donc méfiez vous de ce que vous pourriez dire...

✎ physique

Physiquement, je mesure 1m75 et je pèse 60kg. J'ai la peau métissée. Mes yeux tendent entre le vert et le noisette. En fait, ça dépend de la lumière et de mon humeur. J'ai un petit nez et des jolies lèvres pulpeuses. Mon visage est fin. Je suis mince mais avec de jolies formes. Autant dire que j'ai ce qu'il faut là où il faut Wink

. Quoi ? Je n'ai pas parlé de mes cheveux ? Normal ! Je n'ai jamais la même coiffure plus de deux semaines. En ce moment, j'ai les cheveux auburn-chocolat wavy. Mais ne vous méprenez surtout pas car il m'arrive d'avoir les cheveux courts, rouge pétant. Rien de tel pour ne pas passer inaperçue. D'ailleurs mes coiffures vont avec mes tenues. Je peux avoir un style très classe comme un style sexy voir provoquant. Je me balade souvent en talons haut de 10 centimètres mais il m'arrive de m'être des claquettes ou des baskets. J'aime mettre mes formes en valeurs donc, je n'ai jamais peur de porter des mini short ou des décolletés.

✎ once upon a time ..

Il était une fois, une riche et heureuse famille du nom de Robinson. Elle vivait dans un quartier riche de Manhattan. Dans la famille Robinson, il y avait Papa Gabriel, Maman Erika et Bébé Paloma. Ça ne faisait que quelques semaines qu’elle découvrait sa riche maison. La famille Robinson était heureuse dans leur grande maison, lorsque la Bonne Fée qui servait de marraine à Paloma arriva…
Vous y croyez ? Une histoire digne d’un conte de fée n’est pas ? Pourtant, le début de ma vie ressemble à ça… Mon père possédait une société qui lui faisait gagner beaucoup d’argent. Du coup, ma mère n’avait pas vraiment besoin de travailler. Elle se comptait de vivre une belle vie avec moi. Mais voilà, ma mère me raconta quelque chose qui changea toute notre vie. Le F.B.I. débarqua chez moi. Ils avaient enfoncé la porte en braquant des armes à feu et des papiers les autorisant à perquisitionner la maison et à confisquer les biens de mon père. La raison : mon cher père avait détourné l’argent venant de l’Etat. Il avait gagné des millions, peut-être même des milliards. Il fut menotté et emmené. Après ce jour, je n’ai vu mon père qu’en photo et derrière la vitre du parloir. Dépossédée de tous les biens de mon père, ma mère a fini à la rue, sans emploi et avec un bébé de quelques semaines. Les amis de la famille…Bizarrement, ils étaient tous très occupés. A quoi ? Allez savoir ! Enfin bon… Maman s’est donc retrouvée toute seule. Nous avons longtemps vécues dans des foyers d’accueil. Maman faisait des petits boulots que personne ne voulait faire. Elle était prête à tout faire pour me nourrir. Femme de ménage, plongeuse dans les restaurants etc. Pendant ce temps, moi je m’ennuyais ferme au foyer. Enfin, il y avait toujours un monsieur ou une dame pour venir me parler et me tenir compagnie. Mais parfois, je n’en pouvais plus et malgré l’interdiction de Maman, je sortais dehors. Maman ne voulait pas que je sorte car nous vivions à présent dans les quartiers mal famés de New-York. Ca l’effrayait de savoir que sa petite fille de 10 ans traîne dehors. Mais bon, moi ça m’amusait. Je jouais avec d’autres enfants, qui comme moi traînaient. Finalement, moi aussi je voulais gagner de l’argent. J’en avais marre de rester à ne rien faire pendant que Maman se tuait au travail pour moi. Mais personne n’aurait engagé une petite fille de 10 ans !! Alors, je faisais comme tous les enfants voulant gagner un peu de sous : je tondais les pelouses des habitants, je nettoyais les pare-brise au feu rouge. Voilà ce que je faisais pour essayer d’aider ma pauvre mère. Elle avait fini par trouver un appartement miteux dans le Queens. Ça n’avait rien à voir avec la maison luxueuse que nous avions mais au moins, nous avions enfin notre chez nous. Jusqu’à l’âge de 13 ans, j’effectuais mes misérables petits boulots lorsqu’un jour, pendant que je faisais le ménage chez une vieille dame, un reportage passait à la télé. Au début, je n’y prêtais pas attention mais une jeune femme prit la parole. C’était une prostituée qui expliquait que son boulot lui rapportait près de 500 dollars par client. J’en restais bouche-bée. Vous n’imaginez pas ce que cela représentait pour moi cette somme. Mes 10 dollars gagnés étaient tout simplement dérisoires ! Je me doutais que si j’en parlais à ma mère, elle me ferait toute une leçon de morale sur l’éthique du jeune fille, surtout à mon âge. Alors, je me gardai de lui en parler. Et quelques jours plus tard, je traînais dans la nuit. J’avais piqué des affaires à ma mère, je faisais plus vieille avec sa minijupe en jean et son haut dos nu. Moi qui avais toujours caché mes seins qui poussaient… Là, je les exhibais presque. Ce fut pour moi comme une obsession pour moi, je devais ramener de l’argent ! Et comme les célibataires en manque de sexe et les vieux pervers couraient les rues, ce fut facile pour moi de trouver des clients… Et voilà, comment j’ai perdu ma virginité… Dans une voiture d’occasion, sur une banquette arrière puant le chou, par un homme qui devait avoir la trentaine. Un véritable inconnu. En découvrant qu’il m’avait pris ma virginité, il m’avait jeté 200 dollars à la figure avant de me hurler de sortir de sa caisse et de ne surtout pas parler de lui à qui que ce soit. Je ne l’avais plus jamais revu. Dès lors, je me fis rapidement une place et un territoire. Bien sûr, ma mère n’était au courant de rien. Elle se levait aux aurores et rentrait après 23 heures, bien trop épuisée pour vérifier si j’étais bien dans ma chambre. Après tout, qu’est que je pourrais bien faire dehors à une heure pareille ? Elle se donnait un mal fou à trouver de l’argent avec ses deux jobs. Ce qu’elle gagnait par moi, je le gagnais par semaine. Lorsqu’il lui arrivait de me demander où je trouvais tout cet argent, je lui répondais souvent que j’avais un petit ami généreux qui ne supportait pas de me voir bosser. Je ne sais pas si elle me croyait mais je ne le pense pas. Je crois que ma mère savait ce que je faisais depuis le début. Mais, elle préférait fermer les yeux, se voiler la face. A 15 ans, je découvris un nouveau moyen de me faire encore plus d’argent : vendre de la drogue. C’était ma seule façon de gagner encore plus. Et puis, vendre mon corps ne me plaisait pas. D’autres aimaient, moi non. Je détestais sentir les vilaines pates des vieux excités. Je détestais me faire ploter en pleine rue. Je haïssais cette tenue vulgaire, sans aucune classe que je devais porter. Mais bon, depuis que j’avais cet argent, je pouvais me permettre des folies. Je découvris que j’aimais les vêtements sexys, pas vulgaires. Les chaussures à talons hauts qui donnaient l’impression d’avoir de belles jambes, fines et longues. Mais si je voulais avoir tout ça… Et me voilà prostituée et dealeuse. L’argent coulait à flots. De l’argent sale mais ça restait de l’argent. A 18 ans, je quittai ma mère en lui laissant une grosse d’argent. Je pris un appartement pour enfin vivre ma vie sans avoir à me cacher. Pour ma mère, ce fut comme une trahison. Elle pensait que je resterais avec elle encore un peu plus longtemps. Elle se retrouvait seule. Mon père allait finir ses jours en prison et moi, je décidai de vivre ma vie. Elle m’en voulait tellement qu’une nuit où je travaillais, elle me prit en flagrant délit. Après m’avoir insulté de tous les noms, elle s’en alla. Je n’ai jamais eu de nouvelle depuis… C’est ce jour que pour la première fois, je décidai de goûter à la marchandise que je vendais. Je commençais par fumer du shit. Ca me plaisait bien… Puis, je me mis à snifer de la coke. Pendant ce cours moment où je planais loin de mes problèmes. J’oubliais ma mère et ses insultes qui m’avaient arraché le cœur. J’oubliais mon métier qui m’obligeait à être réduit à l’état de simple objet. J’oubliais tout.
Je me fis une place dans le milieu. L’une des meilleures prostituées du quartier vendait de la bonne coke et du shit de meilleure qualité. Quelqu’un a besoin d’une dose, on l’emmenait voir Wilow. J’avais mon bisness à la manière d’une mafieuse. Il ne manquait plus que je ne sois une meurtrière et j’aurais sûrement étais la femme la plus crainte de tout le quartier. Mais une nuit où je vendais mes différents services à un petit jeune bourge, qui se révélait être un indic de la police, je décidai de m’enfuir de New-York comme une voleuse. Je vous épargne la course poursuite, moi essoufflée, tremblante etc. Je n’avais pas connu d’autre ville à part New-York mais je l’avais quitté… Je m’étais cachée quelque temps à Boston puis à Chicago. Pendant deux ans, je travaillais comme serveuse dans un fast-food. Je gagnais beaucoup moins qu’en étant une prostituée-dealeuse mais au moins, je n’avais plus la peur de voir des flics me courir après. Une journée où je devais nettoyer les tables, je retrouvais un ancien client et ami. Il prit de mes nouvelles, étonné de me voir en gentille petite serveuse, quand on sait de quoi j’étais capable… Je lui racontais pourquoi j’avais quitté New-York et je lui avouais que je détestais ce job de serveuse. Ca me rendait malade de savoir que je pouvais gagner le même salaire en une nuit. Il me parlait alors du bon vieux temps. Ca m'énervait tant que la nuit même, je décidai de tout quitter pour aller vivre à Los Angeles !

✎ encore un petit effort !

prénom/pseudo : Honeey L.
âge : 19 ANS
ta présence sur le rpg : 7/7
comment as-tu connu le forum ? : Comme Mickaël
comment le trouves-tu ? : Je l'adore
PV ou inventé ? : Inventé
célébrité sur l'avatar : Rihanna
groupe choisi : I'M A BITCH
double compte ? : Mickaël S. Cooper
un dernier mot pour la fin ? : Non
code :