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 |  Sujet: JUDAS ∞ Le désir, c'est l'anarchie. Mar 25 Déc 2012 - 20:42 | |
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Anarch-Ivy Judas Henderson
✎informations about myself
nom(s) : Henderson
prénom(s) : Anarchy-Ivy Judas
âge : 25 ans
date de naissance : 19 Septembre
lieu de naissance : Lawrence, Texas
origine(s) : américaines
orientation sexuelle : bi, pas de jaloux tout me convient.
situation amoureuse : Je je, suis libertine, je suis une catin ♪
job(s) : Aucun pour l'instant.
couleur préférée : Bleu
plat préféré : Il n'en a pas, le temps que ce qu'il mange soit comestible il s'en fiche, il aime tout, il vit pour manger.
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✎ caractère
Déterminé 
Quand j’ai une idée en tête, en général je ne lâche pas prise. Je fais en sorte de réaliser mes idées, je fais en sorte de les appliquer et surtout je fonce tête la première en général tant je suis sûr de moi. J’ai une confiance en moi tellement incroyable que je suis sûr que la moitié de la population n’ont pas une confiance en soit aussi énorme. Quand j’ai une idée, quelque chose à faire je le fais quitte à être buté.
Direct
Tourner autour du pot, ça va cinq minutes. Je suis plutôt du genre à tout dire, directement. En gros, ça passe ou ça casse, si j’ai envie de te dire merde je vais te le dire même tes quatre vérités en pleine figure. Je n’aime pas jouer le faux cul. Quand je parle mal de quelqu’un je fais toujours en sorte qu’il l’entende ou même, je m’adresse directement à lui. Agir dans le dos des gens, c’est tellement lâche.
Sadique
J’aime beaucoup observer les gens et titiller là où ça fait mal. De nos jours, c’est tellement simple de trouver le point faible des gens et de jouer avec qu’honnêtement je joue avec. J’aime jouer avec les gens, les prendre pour mes petites marionnettes, j’aime les manipuler avec soin, tirer sur les ficelles et m’en faire des petites poupées. J’aime faire du mal aux gens mais pas physiquement. Physiquement en général ce sont des sévices qui ne restent pas à vie, surtout lorsque l’on se bat. Les mots vous prennent aux tripes, ça vous marque toute votre vie, et c’est beaucoup plus direct.
Séducteur
J’aime beaucoup séduire tout ce qu’il me passe sous la main. Je suis un grand coureur de jupons, oh bien sûr il n’y a pas que les filles qui y passent mais aussi les hommes. Je suis quelqu’un de très ouvert, qui ne finit jamais la nuit seul. Je m’arrange toujours pour finir dans le lit d’une demoiselle ou d’un beau jeune homme.
Narcissique
Comme je l’ai dis, j’ai une très haute estime de moi-même. Je ne peux pas m’empêcher de me lancer des fleurs, de prendre des airs hautains, de me vanter ou même de me mettre au dessus de tout le monde, que quand je croise un miroir je m’observe dedans, remettant en place les quelques mèches de cheveux rebelles. Je suis cependant conscient que je ne suis pas au dessus de tout le monde, mais mieux vaut que le monde me craigne est être respecté plutôt que d’être respecté et de n’être craint de personnes.
Menteur
Je mens comme je respire. Je mens à tout le monde autour de moi, bien sûr à part mes proches du moins …ce qu’il en reste. Je préfère ne pas non plus crier sur tous les toits que j’ai été en prison, que je vis actuellement d’hôtel en hôtel le temps de retrouver un boulot et d’avoir fini ces travaux d’intérêts généraux. Je n’aime pas dévoiler ma vraie identité, seulement à ceux qui me connaissent depuis fort longtemps mais, rares ils sont.
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✎ physique
Je suis quelqu'un de très grand, touchant presque les deux mètres. Grand, mince et costaud. J'aime beaucoup entretenir mon corps, sans me vanter j'ai un très beau V et de belles tablettes de chocolats. Bien sûr, étant un géant j'ai tout de grands. Les jambes, les pieds, les mains...surtout les mains, il ne vaudrait mieux pas s'en prendre une. Niveau vestimentaire je m'habille comme les gens normaux. Jeans, chemises & t-shirts ou même pantacourt, tout dépend. J'ai des cheveux mi-court, j'en suis assez fier d'ailleurs mais disons que certains me préfèrent un peu moins long. Je me laisse souvent pousser la barbe une semaine et demi grand maximum, n'aimant pas non plus ressembler à Noé. J'ai des yeux verts/bleus qui, en général en font tomber plus d'une. Je n'ai cependant aucun piercing mais un tatouage sur le torse, un pentagramme. J'ai également quelques cicatrices sur le corps et une qui s'estompe avec le temps mais tout de même visible au niveau de l'oeil, le "coupant en deux". |
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« Quand j'étais petit, ma mère m'a dit que le bonheur était la clé de la vie. A l'école, quand on m'a demandé d'écrire ce que je voulais être plus tard, j'ai répondu "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, je leur ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie. »
- John Lennon
Parfois on dit que l’erreur est humaine, mais pourtant l’humain commet des erreurs tellement énormes, plus grosses que lui. Il en commet tellement que ça lui couterait toute sa vie pour se racheter. L’erreur est humaine, oui. L’être humain n’est absolument pas parfait, c’est l’être le plus abominable, le plus crétin qui ne peut exister. Il en existe des sortes, ceux qui se rapprochent quelque peu de cette perfection, puis d’autres qui s’en éloignent et qui ne seront jamais parfaits. Quand on est c*n, on reste c*n. Moi, je fais parti de ceux qui s’en éloignent, de ceux qui font tout de travers, de ceux qui brisent tous ce qu’ils touchent. Moi, j’ai foutu ma vie en l’air, en l’espace de quelques minutes, de quelques paroles. J’ai laissé filer la femme de ma vie, je lui ai fais du mal, je me suis comporté comme un monstre avec elle, et pourtant, Dieu seul sait combien je l’aime, combien je rêve de la retrouver, d’être à nouveau à ses côtés, de m’excuser, de recoller les morceaux mais, Dieu sait aussi que cela ne sera pas facile, sa ne se fera pas en un claquement de doigt non. Il faudra du temps, des cris, des larmes, des pleurs, des gifles peut-être, puis cela finira par des caresses, des excuses exposant nos remords, notre mal-être pour finalement ressouder ce qui avait été brisé il y a quelques années. C’est plus facile à écrire, qu’à faire mais j’y arriverais. Cette fois, je n’agirais pas comme un faible.
Can you feel the love ?
Nous faisons des rencontres incroyables en l’espace d’une vie, des rencontres qui deviennent des amis, des amis qui deviennent des copains, et des copains qui deviennent d’ancien pote que l’on a connu à l’adolescence ou alors des copains qui deviennent des inconnus, dont on ne se souvient plus. Pourtant, il y a bien une seule fille dont je me souviendrais toute ma vie. Une fille qui a été importante tout au long de ma vie.
C’était à la sortie de l’école, un groupe de garçons l’entouraient tout en la cherchant, la persécutant et même l’insultant. J’avais observé la scène de la fenêtre, et je descendis plus rapidement les escaliers, pour me rendre vers ce petit groupe là avant de m’interposer entre le gros balèze et elle, haut comme dix pommes, je n’avais peur de rien. J’étais plutôt celui qui s’attirait les ennuis, le petit rebel qui était toujours au centre des bagarres et pourtant, j’avais promis à mon père de ne plus me battre sans raison, de laisser les abrutis parler dans le vide et faire comme si cela ne m’atteignait pas et pourtant, là, je devais réagir. De un, on ne s’en prend pas à une fille, et de deux on ne ramène pas ses potes avec soit pour la coincer, c’est très, comment dirais-je…lâche.
« Hé ! On s’en prend pas à une fille ! »
« Je ne t’ai pas sonné Henderson, ce n’est pas ton problème. Dégage de là où je te refais ton portrait ! »
Lui ? Me refaire le portrait ? Il avait de l’espoir. Je me jetais sur lui, lui administrant plusieurs coups en pleine figure, sentant même son nez craquer sous mes poings, j’étais assis sur lui à califourchon pour ne pas qu’il bouge avant de m’enlever, jugeant qu’il était bien amoché. Ses amis partent, et lui ne tarda pas à en faire de même se tenant le nez, étant plutôt préférable pour lui de s’en aller plutôt que de me chercher encore les noises. Je me tourne vers la jeune fille, lui faisant un petit sourire.
« Je pense qu’il ne t’embêtera plus …moi, c’est Judas. »
« Et moi, Lullaby. C’est très courageux de ta part …merci ! »
Elle me fit un petit sourire, gêner avant de me donner un baiser sur la joue et de s’en aller. Je sens mes pommettes rougir sous ce baiser, avant de me tourner face à elle, l’observant s’en aller. La plus jolie fille de l’école m’a donné un baiser sur la joue, je n’en revenais tout simplement pas mais ce que je savais, c’est que j’avais de la chance, pas tout le monde aurait pu en avoir de sa part.
C’est à cet instant là que je me suis dis que jouer au héros avait du bon finalement, savoir se battre et avoir un sale caractère apportait des avantages, et franchement j’étais plutôt fier. Après cela, on se disait salut, on se côtoyait jusqu’à même se rapprocher et je me suis rendu compte qu’en fait cette fille avait réussi à me charmer. J’étais devenu accro à elle et puis, disons, qu’entre nous deux c’était pas pareil, étrange même et ce n’est pas une relation qu’entretenait des amis, non, nous étions plus, une relation ambigüe.
It’s a confession, of a broken heart.
Il nous arrive de tout perdre, du jour au lendemain. Enfin tout …quand nous perdons les deux êtres qui font que nous sommes là, nous avons l’impression d’être vide, de n’être plus rien. Je sais ce que ça fait de perdre ses parents, je l’ai vu, je l’ai ressenti, je l’ai vécu. Je pensais pas qu’un jour, on me les enlèverait aussitôt, je ne pensais pas qu’un jour, on m’arracherait mes parents, en un claquement de doigts.
On rentrait d’une petite journée chez des amis à mes parents, j’étais à l’arrière de la voiture et j’étais bien content de rentrer après une longue journée où je me suis ennuyé, à envoyer des textos à Leven et même, j’étais forcé d’emmener mes devoirs –que je n’avais pas fait- pour les faire, au moins là je n’avais pas d’excuses pour dire que je m’ennuyais. Il avait beaucoup neiger et il était tard, il devait être minuit tout au plus et je commençais à sombrer dans un profond sommeil, ce n’est rien que de la mauvaise fatigue, mais le fait que ce soit aussi silencieux, et les virages me berçaient mais très vite quelque chose me réveillait. Mon père n’a freiné d’un seul coup, laissant un renard passer et voilà que la voiture commence à dévier, et même à glisser sous le verglas et la neige. Je m’agrippe comme je peux mais la voiture part très vite dans le décor et de manière brutale. Je pousse des cris, effrayés, me cognant de partout, à moitié conscient.
J’ignorais depuis combien de temps nous étions là, mais je ne sentais plus mes doigts. Une chance que la voiture ne s’est pas retrouvée sur le toit, il ne manquerait plus que sa. Je reprends petit à petit conscience, ayant mal partout et ayant du mal à revenir parmi les vivants, ayant du mal à réaliser ce qui s’est passé. Je vois mes parents, inconscient à première vue puis je vois du sang, rien que cette vue m’horrifie. Je secoue un peu plus ma mère mais rien. Mon père se trouve la tête contre le volant, inconscient lui aussi.
« Maman …Papa !! »
Mais rien. Je commençais à sangloter, comprenant très vite ce qui se passait. J’avais perdu mes parents, j’avais perdu ceux que j’aimais le plus. J’avais perdu ceux qui avaient fait de moi celui que je suis aujourd’hui. J’avais tellement mal, pendant des mois je ne voulais en parler à personne, et encore aujourd’hui ça me fait mal. Je n’ai pas pu leur dire Adieu comme il se doit, jamais je n’aurais imaginé les perdre ...comme ça, d’une seconde à l’autre.
Sweet little words made for silence. Not talk, Not heartache...
Je n’imaginais pas être papa aussitôt, mais cette idée ne me déplaisait pas. J’allais avoir un enfant avec la femme de ma vie, que demander de plus ? J’étais l’homme le plus heureux oui, j’avais demandé, quelques semaines après avoir su qu’elle était enceinte, Lullaby en mariage. Nous n’avions que dix huit ans mais je savais que je ne faisais pas de bêtises. Nous étions heureux, on s’entendait bien, je travaillais déjà…tout ce que je voulais, c’est qu’elle soit officiellement mienne, qu’elle porte mon nom, qu’elle soit non plus Mlle. Hawkins mais Mme. Henderson. Sauf qu’évidemment, il y a toujours un couac dans toutes les histoires d’amour … et ce drame, c’était un drame en trop.
J’enfile rapidement ma veste, prend la voiture et me dirige rapidement jusqu’à l’hôpital après avoir su que Lullaby avait eu un accident. J’étais dans tous mes états, quitte à me faire enlever le permis je m’en fiche, c’est limite si je ne grille pas tous les feux rouges, là il s’agit de ma future femme et de mon futur enfant. J’arrive très vite à l’hôpital et demande vite dans quelle chambre elle se trouve et un médecin vint à moi. Je déteste leur air de crétin qu’ils prennent, cet air tellement désolé alors qu’ils s’en fichent éperdument et pourtant, je refusais de croire le pire face à cette moue là. J’espérais avoir mal compris et pourtant non. Il m’annonça que Lullaby a perdu le bébé suite à cet accident. Je l’observe, ayant du mal à réaliser.
« Je… »
Je souhaite tout de même la voir, intérieurement je suis dans tous mes états, extérieurement seules mes larmes menacent de dévaler rapidement le long de mes joues. Je me dirige alors jusqu’à sa chambre, poussant un long soupire, prenant ensuite une profonde inspiration. Il faut que je sois fort, pour elle. J’entre, ayant réussi tant bien que mal à chasser mes larmes mais mon regard m’a trahit. Je m’approche d’elle, m’allongeant à ses côtés, la serrant contre moi ne pouvant plus retenir ses larmes qui menaçaient de couler. Les gestes ont parlé à notre place. Je voulais qu’elle sache que je ne lui en voulais pas et que, de toute façon ce n’était pas de sa faute. Je voulais qu’elle sache que malgré tout je serais toujours là pour elle et que je ne l’abandonnerais pas. Je voulais qu’elle sache que cette épreuve, on la surmontera à deux, ensemble, comme les autres épreuves que l’on a surmonté, moins dures, certes.
Suite à sa, je me suis réfugié dans l’alcool, pour noyer mes peines, préférant le bien être de ma future femme, ne pas lui parler de cette perte qu’elle a déjà du mal à digérer. Je n’ai pas supporté, non, c’était la perte de trop. Mes parents, puis ensuite mon enfant …et puis bientôt, elle ? Non. Non je ne pouvais pas y croire. Et pourtant si. J’ai perdu mes raisons de vivre, et celle qui me rendait heureux, c’est à cause de ma débilité profonde, de cette nouvelle « lubie » dans laquelle je me suis noyé, m’y engouffrant petit à petit.
C’était le Jour-J, j’étais complètement affalé sur le comptoir du bar, un verre de vodka, vide, à la main et ce n’était pas le premier. Un de mes témoins arriva, mon meilleur ami, Marlon. Il me secoua et même me mit une tape derrière la tête. Je relève la tête, me réveillant et me frotte l’arrière de cette dernière.
« Jude’, merde ! Tu vas te marier là ! Qu’est-ce qui se passe dans ta tête ? »
« Mec, j’ai encore trois heures d’vant moi … »
« Non, il te reste cinq minutes. »
Je le regarde faisant de gros yeux avant de me lever mais je tangue légèrement, disons que …là, pour moi, la terre tourne trop vite. Je file ensuite me préparer, malgré que je sois légèrement torché je ressemblais encore à quelque chose, grâce à Marlon. Cependant j’avais quelque peu honte de mon retard, me rendant compte petit à petit que cette femme ne me méritait pas. Je faisais absolument tout de travers depuis la perte de l’enfant moi, qui lui avait promis d’être là quoiqu’il arrivait alors que là …là je ne suis même pas foutu d’être à l’heure à mon mariage, de la rendre heureuse en buvant tous les jours, comme un trou sans fond.
Nous étions tous les deux, face à face. Je la trouvais vraiment magnifique dans sa robe de mariée, on aurait dit un ange…que dis-je, cette femme est un ange. Un ange tombé du ciel parmi tous ces démons. Je me permets même de la déshabiller du regard, sans trop abuser non plus, je suis sous le charme, comme au premier jour. J’aime cette femme, depuis qu’elle a déposé un baiser sur ma joue, depuis que son regard a croisé le mien. J’aime cette femme vraiment plus que tout au monde. Je tuerais pour elle, je traverserais ciel et mer si jamais elle viendrait à s’en aller, je lui offrirais toutes les merveilles du monde, je lui offrirais tout ce qu’elle désirait le plus au monde, qu’importe la valeur je m’en fiche, tout ce qui m’importait c’est de voir ce sourire dessiner sur son visage toujours aussi rayonnant malgré tout ce que l’on a pu endurer.
« Vous pouvez embrasser la mariée. »
J’attrape ses mains, rapprochant mon visage du sien, venant vite sceller mes lèvres aux siennes, ce bonheur se dissipant peu à peu, ayant entendu ces mots, ces mots qui pourtant n’auraient pu rien me faire, mais m’ont fait réaliser à quel point, j’étais tombé bien bas.
Je m’étais esquivé ensuite, me rendant au bar le plus proche pour finir ce que j’avais commencé. A cet instant je me sentais vraiment comme un idiot. A cet instant je me détestais d’être aussi lâche, d’être aussi faible et de trouver refuge que simplement dans l’alcool, abandonnant la femme que j’aime le plus au monde et que jamais je ne permettrais de manquer de respect. J’ai tout simplement détruit la femme de ma vie. Ces mots m’ont montré à quel point je la décevais. Je ne suis pas l’homme de ses rêves, je ne suis pas celui qu’elle attendait, ce prince qui viendrait sur son beau cheval blanc et où, à la fin ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Je suis cet homme, alcoolique, s’étant réfugié dans l’alcool n’ayant pas trouvé la force de se ressaisir, cet homme qui, s’est rendu compte qu’au final il a bien plus fait de mal que de bien à celle qu’il aime éperdument. J’ai détruit la seule qui comptait à mes yeux et ça, je ne pourrais jamais me le pardonner.
Je suis rentré chez nous, et je savais pertinemment qu’elle était là. Je lis dans son regard de la colère et de l’inquiétude. Il faut que je lui dise, il faut que je lui dise tout, ce soir et que cela cesse mais pourtant, un simple « Je » sortis de ma bouche. Je l’observe, ne sachant pas quoi dire, me retrouvant bête. Je rapporte alors à nouveau le goulot à mes lèvres, comme si une gorgée de plus arriverait à me faire parler. Je l’observe, j’ai envie de lui répondre, je me rends compte que …que je ne suis vraiment pas l’homme dont elle rêvait d’avoir. Je ne tiens à aucune de mes promesses, je tiens à peine debout, j’ai foutu cette journée de mariage en l’air. Il faut que je trouve une solution pour mettre fin à tout sa, pour mettre fin à sa souffrance, fin à cette douleur qu’elle ressent depuis quelques temps maintenant…par ma faute.
« Je veux qu’tu partes d’ici….je veux plus d’ça …en plus j’ai couché avec une autre… »
Je baisse mes yeux. Tant de mensonges, des mensonges qui font mal à entendre, des mensonges qui lui feront mal mais qui lui permettront de s’éloigner de moi, de m’oublier. Je me mange une sacrée gifle, ma tête partant sur le côté. Je serre les dents, ravalant mes larmes, la gorge serrée et la laisse partir, l’observant. C’est le lendemain que ma sœur me réveille, de manière pas très agréable, me disant que Lullaby est partie …partie de Lawrence.
Is be more like me and be less like you.
J'ai décidé de déménager ensuite ici, à Los Angeles quittant le Texas histoire de laisser tous mes souvenirs là-bas, derrière moi. Oui, certes je le regrette ce que j'ai fais à Lullaby mais honnêtement, je me dis que ce n'est pas plus mal car c'est vraiment trop jeune, nous avons encore la vie devant nous pour profiter et un enfant + le mariage faisait trop. Bien sûr que ça me fait quelque chose mais en prenant du recul, je me dis que ce n'était certainement pas la bonne ou alors, nous n'étions fait que pour être de simples amis. Soit. Cela fait déjà un bon bout de temps que je suis ici, je me suis vraiment bien intégrer, tellement que j'ai même été emprisonné pendant deux ans suite à un vol à main armée et agression sur une personne. Bien sûr je suis loin d'être le plus aimable, au contraire je suis le plus grand abruti de tous les temps. Pour la peine, je me tape des travaux d'intérêts généraux, une petite punition en plus, disons mais honnêtement, je suis fiché et quand ils me croisent, les flics me reconnaissent facilement. Je ne travaille pas, pas encore. Quand j'ai du temps libre, je picole, je me drogue et je me tape tout ce qui bouge. Je n'ai pas vraiment de logements, je "vis" dans une chambre d'hôtel, me baladant entre chaque hôtel histoire de ne pas me faire jeter mais j'attends d'avoir de quoi me payer un petit studio ou un appartement mais pour le moment, je n'en ai pas les moyens. Je suis devenu une tout autre personne après tout ce qui m'est arrivé, je suis beaucoup moins romantique, beaucoup moins cul-cul la praline. Maintenant, pas d'pitié, pas d'tendresse.
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✎ encore un petit effort !
prénom/pseudo : Morphée
âge : 18 ans & toutes mes dents !
ta présence sur le rpg : 5 ou 6/7
comment as-tu connu le forum ? : ça fait longtemps.
comment le trouves-tu ? : bien sinon je n'aurais pas un certain nombre de messages avec un certain russe && un D.C 
PV ou inventé ? : PV
célébrité sur l'avatar : JARED TRISTAN PADALECKI, SIR !
groupe choisi : I am on the street.
double compte ? : Daaa !
un dernier mot pour la fin ? : EXPELLIARMUS !
code : OkByAngel
© JESSOU* |
Dernière édition par A-I. Judas Henderson le Ven 28 Déc 2012 - 19:47, édité 8 fois |
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