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| Sujet: Charlie Eve Gubler ♥ Undisclosed Desire Sam 18 Sep 2010 - 15:58 | |
| © Bazzart
Prénom : Raphaëlle Age : 18 ans Référence : Pub sur un topsite je crois Présence : 5/7 Double compte : Non Remarques : X
L'identité de Ton personnage
Nom : Gubler Prénom(s) : Charlie Eve Age : 24 ans Lieu de naissance : Houston, Texas Statut : Célibataire
Caractère : Dynamique, caractérielle, fétarde, inconsciente, lunatique, droguée, colérique, confiante.
Physique : Charlie est une très jolie brune aux formes très avantageuses. Si elle ne se trouve pas vraiment belle, ce n'est pas l'avis des hommes qui tour à tour défilent pour la séduire, sans toujours trouvé de réponse. Elle porte les cheveux noirs et longs ; la plupart du temps détachés, sauf quand elle travaille car elle se les attache en chignon. Ses yeux sont d'un bleu éclatant et pénétrant, on a envie de s'y noyer.
Relations : Charlie est infirmière à l'hôpital central de L.A., elle connaît donc la plupart du personnel et parfois, sympathise avec les patients qui deviennent ses amis. Sinon, elle connaît les gens habitant dans son quartier, ce qui lui suffit largement.
Histoire :
ANECDOTE ... IT WAS A TIME ...
« Charlie, ouvre cette porte ». La voix grave de Jake résonnait dans la pièce avoisinant la salle de bain ; la poignée bougeait comme s'il voulait qu'elle s'ouvre mais le verrou tourné au maximum l'empêchait de rejoindre de passer. « Non » Ma voix n'avait rien de ferme, ni de dissuasif, elle ressemblait plutôt à une plainte lui demandant de me laisser tranquille, de s'en aller le plus vite possible et surtout loin de mois. Il n'avait pas passé la nuit à l'appartement, pourquoi est ce qu'il ne retournait pas dans ses endroits favoris comme au bar avec ses potes ou chez cette salope qui l'avait aguiché hier et pour qui il m'avait planté. Non, il ne m'avait rien avoué mais j'étais sûre que c'était chez elle qu'il avait été. Je le savais parce que c'était dans sa nature, il avait toujours été comme ça, séducteur, aimant faire la fête et coucher à droite à gauche avant que je n'arrive et lui parasite tous ses plans cul. « Ouvre moi bébé ... » Cette fois, sa voix était plus douce, il essayait de m'amadouer, mais cela n'eut pour effet que de me faire pleurer en silence. « Ouvre cette putain de porte ». Jake tapa du poing sur la porte, son énervement n'était maintenant plus dissimulé. Recroquevillée contre le mur, assise genoux contre la poitrine, je pris ma tête entre mes mains pour me calmer, essayant de stopper ces larmes et ce tremblement de peur qui venait de me saisir. Il avait toujours été comme ça, hors de tout contrôle, passant de la gentillesse à la méchanceté ; enfin, il n'avait jamais été violent contre moi, sinon je ne serais pas avec lui, sinon je ne l'aurais pas autant aimé.
Une main serrant un stylo qui menaçait de se casser, l'autre remettant sans cesse mes cheveux derrière mon oreille, j'attendais le moment fatidique où un médecin viendrait m'appeler pour que je m'occupe d'un des patients qui entrait aux urgences. Cela faisait une semaine que je travaillais pour l'hôpital de Bristol, c'était mon premier poste. J'avais déménagé il y a deux semaines de ma petite ville de campagne, brevet d'infirmière en poche et on m'avait directement assigné aux urgences, là où le plus de patients se succédaient et où les effectifs manquaient. Ici, il fallait être rapide et précis : il n'était pas question de perdre des minutes à discuter avec un patient, à se demander encore et encore ce qu'il fallait faire pour ce type de blessure … il fallait agir vite car d'autres restaient à attendre leur tour. Avant hier, j'avais dû m'occuper d'un type qui faisait un coma éthylique, un petit jeune qui avait voulu s'amuser un bon coup et qui n'avait pas vu passer les verres. J'étais tellement paniquée par cette première intervention que l'infirmière en chef à dû venir m'aider, en profitant pour libérer le stress accumulé en me hurlant dessus et en me traitant d'incapable. Aujourd'hui, en arrivant à l'hôpital, j'avais espéré n'avoir que de simples prises de sang ou des piqures, mais on m'avait de nouveau affecté au services qui me paniquait le plus. J'espérais que l'habitude me ferais progresser, histoire que je ne sois pas vue comme le boulet de Bristol. Une infirmière me fit signe de venir, me demandant de m'occuper d'un type qui s'était reçu un coup de couteau dans la cuisse, sûrement à cause d'une bagarre de rue. En m'approchant, je découvrais un jeune homme plutôt grand, âgé de la vingtaine, qui appuyait sur sa plaie pour que le sang cesse de s'en échapper. Il leva les yeux vers moi, de beaux yeux verts même si l'un était recouvert d'un bleu. Rapidement, je pris du désinfectant, appliquant une compresse sur la plaie pour que le sang cesse de couler. Je sentais le regard de ce type sur moi, ce type qui avait l'air étrangement relaxé malgré la douleur. « Vous êtes une nouvelle. » Mon incompétence était donc tellement flagrante ? Sa phrase ressemblais plus à une affirmation qu'à une question mais je répondis quand même. « Oui, mais je suis aussi qualifiée qu'une autre infirmière de cette établissement. » Oh le beau mensonge, j'étais loin d'être aussi douée que mes aînées. « Je n'en doute pas, ce n'était pas pour vous blesser. » Je relevais la tête vers lui ; il me souriait d'un air mi amusé mi compatissant, une chose est sûre, il avait l'air sincère. Je lui rendais son sourire en enlevant la compresse, attrapant du fil et des aiguilles pour faire les points de suture. « Ça risque de faire un peu mal. »
« Putain Charlie, qu'est ce que tu me reproches encore ? J'en ais marre de toi, va te faire f**tre, je me casse. ». Il disait ça à chaque fois ; je disais ça aussi quand c'était moi qui hurlais. J'entendais ses pas résonner dans l'appartement, s'en allant vers la sortie. Je relevais doucement la tête, comme si l'orage été passé mais restais toujours dans mon coin, bien à l'abri dans ma salle de bain car je savais que ce n'était pas fini, qu'il allait revenir d'ici une minute ou deux. Ce n'était jamais fini.
C'était la fin de ma journée, je me rendais aux vestiaires pour me changer. Jetant un coup d'oeil dans la glace, je pu constater que j'avais taché ma blouse ; à cause du type de tout à l'heure, ou de celui qui était passé après, ou d'un autre encore. Avec un soupire, j'enlevais ma tenue blanche pour enfiler un jean et un débardeur gris clair, remettant à mon poignet mes bracelets en argent et attrapant mon sac avant de filer. Une fois dehors, je sortis mon paquet de cigarette et en allumais une quand une voix me fit sursauter. « Mademoiselle ... ». Je tournais la tête, prête à voir un médecin sollicitant mon aide mais c'est ce type au genou ouvert qui se présenta devant moi, un sourire étrange mais plaisant sur les lèvres. Je haussais les sourcils, intriguée qu'il ne soit pas rentré chez lui, cela faisait plus de deux heures que je l'avais soigné et qu'il était libre de sortir. « J'ai oublié de vous demander votre nom. ». J'eus un léger rire en entendant le motif de son appel. « Charlie … Charlie Gubler. Vous m'avez attendu pour me juste me demander votre nom ? ». Le jeune homme eut un sourire, s'approchant un peu plus de moi. « Et pour vous offrir un verre aussi. Moi, c'est Jake. »
Il était de retour, une nouvelle fois, mais ne tapais plus contre la porte, ne criait plus, n'essayait même plus de forcer la serrure ; il attendant devant la porte, je l'entendais glisser le long du mur. « Charlie, ouvre la porte, je suis désolé de m'être énervé. ». Doucement, je me relevais. Ma tête tournait un peu mais j'avais arrêté de pleurer. Je tournais le loquait et ouvrais la porte, trouvant Jake assis contre le mur, les yeux relevés vers moi. Je me penchais vers lui, posant ma main sur la sienne. « Je t'aime Jake . ». Le brun passa son bras autours de moi, me serrant contre lui. Tous ces cris, toutes ses tromperies, cette violence c'était nous, un amour trop puissant et destructeur mais bien réel. « Moi aussi je t'aime Charlie, plus que tout. »
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SUMMARY ... AND IN REALITY ...
« Charlie ? Oh, elle a toujours été un peu à part … vous savez, à part. Je sais pas si c'est ce type là, Jake, qui l'a fait devenir … comme ça. Enfin vous savez. Mais je l'aime ; elle reste mon petit bébé. Bon, elle aurait dû épouser un médecin plutôt que de traîner avec n'importe qui mais c'est la vie enfin, vous savez. » Lydie Gubler, sa mère.
« Charlie ? Je ne veux plus en entendre parler. » Marc Gubler, son père.
« Hum, Miss Gubler était une élève plutôt discrète pendant les premières années de collège et est tout d'un coup devenue agressive, elle finissait souvent dans mon bureau d'ailleurs. Sinon, au niveau de ses résultats scolaires … moyens. Sauf en langues. » M. Johnson, principal.
« Ah, Charlie … Je veux dire Miss Gubler. Et bien, elle m'a laissé quelques très bons souvenir, elle était très douée en langue … si vous voyez ce que je veux dire. » M. Kynneth, professeur de langue.
« C. et moi, ça fait longtemps qu'on se voit plus. Elle a trop changé depuis qu'elle a rencontré ce type, Jake. C'est devenue une traînée, une droguée. Je veux plus entendre parler d'elle. » Jordanne, ex meilleure amie.
« Charlie … ouah, c'était vraiment une fille géniale, la plus belle de toutes et surtout différente. Elle avait ce petit quelque chose, ce … Charlie quoi ! Je l'ai pas revu depuis le bal de promo. Elle m'avait planté pour un certain Jake, ils sont même plus ensemble je crois. » Brian, premier amour.
« Ouais, ce que j'ai vécu avec Charlie c'était vraiment fort, on s'aimait plus que tout mais elle était trop comme moi. C'est ma faute d'ailleurs, la drogue ça change les gens. » Jake, dernier ex en date.
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Dernière édition par Charlie E. Gubler le Lun 20 Sep 2010 - 15:08, édité 9 fois |
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| Sujet: Re: Charlie Eve Gubler ♥ Undisclosed Desire Sam 18 Sep 2010 - 16:14 | |
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