Chacun son truc. Lui, il m'insulte et moi, je lui fais des doigts d'honneur. J'adore ça, c'est pas ma faute comme lui, adore le mot "pétasse" apparemment. Je sens un nouveau malaise s'installer entre nous quand je lui avoue que Naomie est un obstacle. À la base, ce n'est pas pour ça que je l'aime pas, c'est tout simplement parce qu'elle ne m'aime pas et que c'est contagieux. En plus, faut être réaliste, elle m'a piqué ouvertement Freddy qui aurait du m'appartenir. Célibataire, j'aurais pu lui sortir le grand jeu et l'avoir peut-être alors que elle, elle a débarqué. Elle m'énerve cette blondasse. Je n'ai rien dit de méchant, pour une fois. On en revient à nos petites allusions sexuelles, pour pas changer. Tu ne rêves pas puis tu devrais savoir que j'aime ça. J'aime être soumise. J'aime quand c'est sauvage, quand ça claque, quand ça fait mal. J'aime la violence dans le sexe mon amour et je compte sur toi pour me faire voir ce qu'est un homme, un vrai. Faut vraiment que j'arrête car là, je deviens un tantinet sérieuse. On finit par entrer chez moi et j'abandonne Freddy dans l'entrée pour aller jusqu'au bar pour y préparer des cocktails. Ce qu'il dit me fait faire volte-face. J'en avais presque oublié qu'il avait vécu ici pendant un moment. Si tes mains doivent se poser quelque part, nul part ailleurs que sur moi, d'accord ? Je souris amusée, même si je risque de l'être moins si jamais il détruit tout mon beau rangement. Je supporte pas le bazar et encore moins la poussière. Faut que tout soit chrome nickel et pas autrement. Je te laisse faire alors ou tu m'apprends à devenir la reine du cocktail, comme tu veux ?

Il me cherche ou j'hallucine ? S'il veut que je rectifie mes paroles en y ajoutant une pointe de blondasse et un soupçon d'affreuse, il me le dit. Et encore, c'est gentil ça contrairement à ce que je pourrais dire d'habitude. On peut pas se voir, on peut pas se voir, c'est tout. Et bien oui, j'ai fais des efforts mais si ça t'offusques tant, je peux me corriger et l'insulter comme je le fais si bien ? Même quand elle est pas là, elle me pourrit la vie cette fille. C'est en voyant sa réaction que j'ai envie de rire. Bah quoi ? Au fond, c'est vrai, j'ai pas menti, je lui ai décris l'homme parfait à mes yeux sur le plan sexuel. J'aime vraiment tout ça et je suis pas maso pour autant. Disons que j'aime ressentir les choses. Je veux pas d'un homme qui se contente de jouer les moules cuites en me regardant dans les yeux. Je veux de l'action et je sais qu'il sait y faire de ce côté. N'ai pas peur va. Je le rassure tant bien que mal car je sais, au fond que même si sa chambre est encore là, il risque de dormir avec moi et je le laisserais pas aller dans un autre lit que le mien. Comme au bon vieux temps. Je souris en le voyant lever les mains, en signe de paix. Au moins, il ne dérangera pas tout ce que je met du temps à ranger au carré. Je passe pas mal de temps à trouver mes emplacements pour que ça soit juste parfait et pratique à trouver et à utiliser. Ah bon, lesquels ? Là, je dois avouer que je suis vraiment perdue. Il me met une pression d'enfer pour la conception des cocktails au point que j'en perd mes moyens. J'étais partie pour faire un truc rapide mais je sais plus ce que je dois faire. Si c'est pas bon, il va me le recracher à la tronche le barman. Promis, je t'obéirais. Je jouerais les esclaves et les bonnes élèves rien que pour toi. Je souris et hausse doucement les épaules à sa question, après qu'il se soit glissé derrière moi. Celui que tu préfères.

T'enfonces pas Foster ... T'enfonces pas Foster ... Va te faire foutre Cooper, j'aime pas ta blonde et je l'aimerais jamais. En plus, c'est un rude obstacle celle-là ... Je m'abstiens de lui communiquer le fond de ma pensée au risque de lui faire vraiment mal et j'ai pas envie car je sais qu'il tient à elle. Je me résout donc, intérieurement, à part de ce moment précis, à mesurer l'étendu de la gravité que pourrait avoir mes mots à l'égard de sa chère et tendre petite-amie, ou fiancée, j'en sais rien. Je ne dirais plus rien de blessant la concernant et l'appellerais même par son prénom. C'est peut-être ce que je cherche au fond. Réveiller ton inconscient puis maintenant que tu sais tout, je vois plus pourquoi je dois me cacher bien que si, il y a Naomïe. Te rendre ivre ? Il faut que tu sois ivre pour me tomber dans les bras ? J'en doute mais si tu veux, je doserais bien le tiens. Faut vraiment que j'évite de l'effrayer le pauvre mais c'est plus fort que moi et le pire, c'est qu'il y a une part de vérité dans chacun de mes propos. Un énorme frisson me parcoure le corps lorsque sa main vient se placer sur ma taille et que son corps se colle à moi, après qu'il se soit placé derrière moi. Je ne sais pas si il se rend compte de l'effet que ce genre de comportement peut produire sur une femme amoureuse. Balades-le, je t'en prie et embrasses-moi. Disons que là, c'est un peu incontrôlée et que je cherche pas à lui faire peur. Je me retourne vers lui et plonge mon regard dans le sien. Jamais je ne t'empoisonnerais voyons. Mon regard toujours plongé dans le sien, j'attends qu'une chose, c'est qu'il passe à l'action, tout de suite maintenant même si l'image de Stefan me hantera surement, je suis prête à prendre le risque. Soit il agit, soit il fuit. C'est l'un ou l'autre après tout. Poses tes bouteilles, on verra ça après beau brun ... Mes mains se posent sur son torse et glissent doucement.

Je hoche la tête à ce qu'il dit. Il a raison au fond car que ça soit lui ou moi, on est un peu pareil. Ivre, on a tendance à faire des bêtises alors que à jeun, c'est différent, on se contrôle nettement plus. Quand je lui demande de m'embrasser, c'est pas un ordre mais il le prend comme il veut tant qu'il agit mais à mon avis, il doit avoir un remord de conscience parce qu'il hésite et refuse carrément. C'est une grande déception pour moi mais que faire ? Je vais le violer non plus. Il me cherche et une fois que je suis à cran, il lâche l'affaire, c'est pas très gentil mais je comprend. Il y a Naomïe après tout et ça serait un sacré manque de respect sachant ce qu'il s'est passé entre nous déjà tout à l'heure. Si on aurait été dans un endroit tranquille, je doute fort qu'il se serait arrêté là et moi aussi. Je sais ... Les mots qu'il prononcent à l'égard de Naomïe me font mal à un point qu'il ne peut même pas s'imaginer. Je prend sur moi et prends les deux bouteilles dans mes mains. Les deux, ça doit pas être mauvais. Montres-moi. Qu'est-ce que je peux faire d'autres à part revenir à mes occupations après tout ? Il veut pas de moi, je vais pas le forcer. Me remettant dos à lui, j'attends ses explications.

Mieux vaut oublier ce petit incident tout comme celui qui a eu lieu au Seven. Je suis quasiment prête à parier ma propre vie que je vais plus voir Freddy durant quelques jours après ça et ça m'étonne pas car c'est beaucoup mieux ainsi. En général, quand il y a trop de tension entre nous, et c'est malheureusement souvent sexuel, on fait ça et ça fonctionne relativement bien ou du moins, ça fonctionnait quand je n'étais pas amoureuse de lui. Là, c'est de la torture mais je préfère garder le silence. Je sens qu'il s'écarte vers le côté et moi, je fais en sorte d'oublier ce petit incident pour me comporter enfin, comme sa meilleure-amie et non comme une aguicheuse de première. Je prends le risque puis j'en ai besoin. Il parait que c'est bon pour le moral ce genre de mélange. Je souris et attends ses instructions avant de me tourner vers lui et de lui lancer un regard surpris. Tu sais plus où ça se trouve ? Remarque, je change toujours tout de place. Je vais te chercher ça. Je pose les bouteilles et me rend jusque la cuisine pour y prendre le filet de citrons et le sucre en poudre avant de revenir. Question conne mais c'est du sucre de canne que tu veux ou du sucre en poudre ? Je réfléchis un peu bêtement et me trouve idiote car logiquement, c'est du sucre liquide, donc spécialement conçu pour les cocktails alcoolisés que l'on utilise. Je sors la bouteille du bar et la dépose sur la table avant tout les ingrédients qu'il lui faut. Au boulot barman, je te regarde.

J'appréhende déjà ce moment ou durant plusieurs jours, on fera tout les deux les morts. Durant ce laps de temps, je suis toujours tentée de l'appeler pour savoir ou ça en ai et pour le supplier de venir me voir mais je m'abstiens car c'est pour le bien de notre relation. On déraille totalement depuis pas mal de temps ou plutôt, je déraille car souvent, c'est moi la fautive. Mais non, j'encaisse très bien, tu verras. Par contre, je te promet pas de pas faire un coma éthylique avec la descente que tu crois que j'ai et que j'ai pas. Je souris amusée, m'imaginant mal boire autant au risque de me retrouver allongée par terre, plongée dans l'inconscience puis faut dire qu'on a déjà pas mal bu avant de venir ici même si on est pas saoule et heureusement. J'y pense, heureusement qu'on s'est pas fait arrêter. En plus de ne pas avoir de permis, je me serais fait arrêter pour ivresse sur la voix publique si ils me faisaient souffler dans le ballon. Ça aurait pu me servir de leçon mais je me vois mal derrière les barreaux pour toute une nuit et passer devant un tribunal pour délits mineurs. Sexiste ... Qu'est-ce qu'il peut m'énerver avec ses propos sexiste. Freddy a une drôle de conception de la femme. Pour lui, elle sert qu'à tenir un foyer en gros.. Je sais pas si tu sais Charles Ingalls mais aujourd'hui, la femme est égale à l'homme. Les temps ont changé. Et encore, je suis gentille car Charles Ingalls était l'exemple même de l'homme parfait de son époque. Je reviens avec les ingrédients et rougis légèrement parce que je me rend compte que parfois, je parle trop vite. C'était évident qu'il ne pouvait s'agir que de sirop de canne. Remarque, le sucre en poudre, ça fonctionne aussi, ce qui apaise le malaise. Je suis pas si idiote que ça alors. Je soupire quand il me force à me mettre à la tâche. Il a vraiment pas peur le pauvre garçon de me laisser faire ce genre de chose, surtout que ce qu'il me dit, ça ressemble plus à du charabia qu'à autre chose. Prenant le shaker dans mes mains, je dis : Et en anglais, ça donne quoi ? Je m'en vais chercher le presseur de citron, un couteau et presse le citron complet parce que ses dosages à la con, risque de plus me faire chier qu'autre chose. J'ajoute les ingrédients, au pifomètre dans le shaker et le secoue énergiquement, un petit sourire aux lèvres. Tu goûtes le premier, d'accord ? Je sors deux verres à cocktail et en vide le contenu dedans avant d'en tendre un à mon meilleur-ami.

C'est de pire en pire mais c'est le destin. On a commencé doucement et progressivement, on augmente nos conneries et un jour, on aura atteint le sommet et là, je ne sais franchement pas où ça nous mènera. Je te le prouverais. Je ris quand je vois la tête qu'il tire quand je parle de coma. C'était exagéré de ma part sachant qu'il faut vraiment pousser le bouchon pour tomber là-dedans. T'inquiète pas, je suis une dure. Jamais tu me verras sombrer là-dedans pour la simple et bonne raison que j'ai une résistance à toute épreuve et qu'en plus, Dieu veut pas de moi, je suis trop chiante il parait. Sans savoir que je vais finir par y sombrer mais de manière plus dramatique, suite à un accident de la route. Ah bon ? Répètes, j'ai mal entendu. Merde alors, Freddy me complimente une nouvelle fois sur ma façon désastreuse de conduire. Il a trop bu ou il est sincère ? Quoi qu'il en soit, je suis quasi persuadée qu'il réagit comme ça parce qu'il s'en ai sorti indemne et que sa voiture aussi par la même occasion. Si j'aurais griffé sa caisse, démoli la carrosserie ou encore égratigné sa gueule d'ange, ça aurait peut-être pas forcément été comme ça. Je finis par sourire. En même temps, je change toujours mes affaires de place donc y avait peu de chance que tu trouvais ton bonheur. Mon plus gros défaut, c'est d'être maniaque et en plus de me pourrir la vie, ça a pourrit la vie de mon meilleur-ami pendant longtemps et encore maintenant je suis sur. Il a d'ailleurs de la chance que je lui ai pas demandé d'enlever ses chaussures en rentrant. Comme quoi je me soigne. Je le gratifie d'un nouveau sourire avant de préparer les cocktails et de lui laisser l'honneur de le goûter le premier après les avoir servi. J'ai fais ça au pif et j'espère qu'il va pas gerber tripes et boyaux suite à ça. J'ai peur de vomir, c'est tout. Quand je vomis, j'ai l'impression de mourir alors vaut mieux pas que ça arrive. Je souris amusée et le regarde faire, le perdant progressivement suite à son petit manège. C'est si mauvais que ça ? Finalement, il se rattrape. Cul sec bébé. Je vide mon verre d'une traite, sentant bien l'alcool me brûler l'alcool et le mélange assez sympathique au final. Fort, mais sympathique. Je souffle et dis : C'est fort bon dieu !

Dans ma tête, c'est clair que je ne le laisserais jamais tout seul mais malheureusement, les cartes, ce n'est pas forcément moi qui les tient. Ça marche dans les deux sens Cooper. Je m'imagine vraiment pas vivre seule, sans Freddy s'il lui arrivait quelque chose. Je crois même que je m'en remettrais jamais. C'est l'homme de ma vie après tout, comme je l'ai toujours dit. On est complémentaire lui et moi et sans lui, je ne suis rien mais SHHH. Merci bébé, j'adore te l'entendre dire. Je souris d'un air satisfait et l'embrasse sur la joue comme guise de récompense. Après tout, je peux bien faire ça sachant que ça a du lui arracher la gueule de l'avouer. Des progrès, ah bon ? Tu veux dire que je suis moins chiante qu'avant ? Je comprendrais parfaitement qu'il me trouve ainsi sachant que je le suis réellement. C'est pas le seul, ni le premier et encore le dernier qui me le dira. Tout les jours je l'entends. J'ignore ce qu'il dit et décide de rester sage. Pas de claque derrière la tête, pas de doigt d'honneur et encore moins d'insultes. Je peux être relativement sage quand je veux puis c'est une façon de bien me conduire par rapport à tout ce qui s'est passé depuis tout à l'heure. Buvant mon verre cul sec, je grimace et hoche la tête. Pour une fois, il avait raison et j'aurais peut-être du l'écouter. Il verse le reste du shaker dans mon verre. Je vais surtout être saoule si je continue à boire jusqu'à ne plus rien sentir. Tu m'accompagnes, je bois pas seule. Allez, si il le dit, c'est que ça doit être vrai. Je vide d'une traite ce nouveau verre et grimace une nouvelle fois. Au bout de combien de verre je le sentirais plus ?

En effet, ça serait une très belle mort mais pour finir ensemble dans une maison de retraite, encore faudrait-il que nous ayons eu une vie ensemble et si c'est le cas, on finira surement par mourir l'un à côté de l'autre, de mort naturelle, dans notre sommeil vu que le destin a décidé de nous faire croiser nos chemins et de nous unir l'un à l'autre pour la vie. C'est peu probable mais ça pourrait arriver. Au pire, on pourrait se donner la mort ensemble. xD Whow, je suis pas une cause perdue, c'est la meilleure ça. Sérieux ? Moi qui pensais que j'allais mourir conne et chiante, je vois que je m'améliore. Je souris à ce qu'il dit et me gratte légèrement la tête. Faut pas croire que ça m'ennuie pas, c'est juste que je prend sur moi. La preuve, moi-même j'ai gardé les miennes pour te prouver que je peux m'améliorer mais si tu veux, on peut les retirer, comme au bon vieux temps ? Ça me ferait tellement plaisir mais ça m'embêterais, une nouvelle fois, de devenir une chose miniature car c'est grâce à mes talons que j'atteins une taille respectable. En les retirant, je risque de perdre dix centimètres quand même. J'insiste pas, je propose et il s'exécute. Nous buvons ce nouveau verre d'une traite et autant dire que ça décoiffe pour quelqu'un qui a été habitué au champagne fraise ou à la vodka bonbon par petite dose. Chochotte ? Ta osé m'insulter de chochotte ? Je me ressers et bois mon verre une nouvelle fois cul sec. Sans accompagnement à côté, ça décalque la tête et je dois même avouer que j'ai l'impression que mes yeux, sont plus en face des trous. Whow, ça bouge autour de moi.

C'est pas forcément de genre de vie là que j'attends entre moi et Freddy mais tant qu'il reste auprès de moi, je m'en contenterais. Vivre une relation amoureuse avec lui, serait surement ma plus belle histoire mais la pire serait de le perdre, même en ami. À faire un choix, je préfère l'avoir toute la vie auprès de moi que de le voir disparaître, quitte à souffrir sentimentalement. On aurait trop la classe avec ce genre de titre, en maison de retraite : Les délinquants du troisième âge. Je serais surement pleine d'arthrose et donc, incapable de lever le petit doigt sans souffrir. Je pourrais plus lui faire de doigt et encore moins, le taper derrière la tête. La meilleure solution reste la canne qu'il boufferait à plusieurs endroits surement. Je préfère plus imaginer, ça me fait peur en fait. C'est plein d'amour tout ça dis-moi. En une phrase, il a sorti son répertoire des plus beaux mots. Je suis contagieuse apparemment. Je ris mais perd rapidement cette petite phase lorsqu'il m'appelle Minimoys. Je suis si petite que ça ? Oui, j'en meurs d'envie mais j'ai envie de t'en mettre une aussi sur le coup. Enlèves tes chaussures aussi, ça sera un bon moyen de te rattraper. Quoi que, tes pas pieds nus, rassures-moi ? J'attire Freddy dans le hall d'entrée ou nous retirons nos chaussures. Je suis surprise de le voir avec des chaussettes et moi, dégoûtée de perdre autant de centimètres d'un coup. Nous retournons vaquer à nos occupations dans le salon. Tu me lances un défi là ? Peut-être indirectement mais je le considère comme tel. Oui, je suis tarée, non la pièce ne bouge pas, c'est juste un effet de l'alcool et oui, j'en fou plein à côté. Je m'approche de lui, comme il me le demande tandis qu'il s'avance en même temps et que je le percute légèrement et le laisse essuyer les traces d'alcool sur ma peau. Je le regarde s'éloigner vers le matériel audio, en souriant et reverse deux verres. Lorsqu'il me tend la main, je lâche la bouteille et m'en vais la prendre. Là. Sur l'air qu'il a choisi, je me déhanche assez sensuellement pour faire grimper la température car au final, on s'était arrêté là au Seven, par un baiser fougueux, non ? Ceci étant, je reste sage et me contente de danser en rythme avec lui, le provoquant tout de même du regard.