Caractère : Drôle - Attentionnée - Fragile - Forte tête - Chiante - Agressive - Jalouse - Rancunière - Semble fuir le bonheur comme la peste - Volage - Blessée - Sociable - Lunatique - Intelligente - Fond devant le sourire ou le rire d'un enfant - Pense souvent aux autres avant elle, ce qui ne l'avantage pas souvent, même jamais - (...) .
Physique : Tasya est une magnifique blonde. Soyons sérieux un instant, l'Angleterre nous donne de vraies bombes quand même. De longs cheveux blonds bouclés, qu'elle tient de sa mère. La beauté, c'est génétique chez elles. Quoi qu'elle a déjà teint en noir pendant son adolescence, faut bien montrer sa rébellion d'une façon après tout. Des yeux bleus/verts, ceux de son père d'après sa mère. Ce sont d'ailleurs ces derniers qui l'ont faite craquer la première fois. Des petites fossettes, un sourire à faire fondre la banquise, de longues jambes, et toutes les formes qui vont avec. Oui, je pense que l'on peut conclure en disant que Tasya n'est pas vilaine à regarder.
Relations : Tasya vient d'arriver en ville, et ne connait donc pas grand monde. Quelques noms par-ci, par-là, mais elle serait ravie de rencontrer plus de personnes.
Histoire : Juste une mise au point, sur les clichés trop pâles de ma vie. J'ai toujours supposé qu'on naissait chanceux, ou pas. C'est pas un truc qu'on gagne avec le temps. Non, soit tu l'as, soit tu l'as pas. Et je vous laisse deviner de quel côté je me trouve. D'abord, je suis née sans mon père. Une partie de moi qui n'était pas là, vous vous en rendez compte ? Puis, ma mère, une névrosée. Toujours à voir le mal partout, à ne plus avoir confiance en elle, et à accumuler les relations à échec. On peut donc déjà dire que côté familial je n'ai pas été la plus gâtée au monde. Puis, j'ai dû faire face à la vie toute seule. Sérieusement, l'adolescence, et tout ce monde qui m'ouvrait les bras, j'ai dû me le façonner toute seule, comme une grande. Et voilà donc que mon monde allait peu à peu à la dérive de cette façon. Combien de bêtises j'ai faites durant mon adolescence, combien ? Il fallait donc que je tire la sonnette d'alarme, en décidant de partir, à dix-huit ans. Partir où, je ne le savais pas très bien, mais je devais m'enfuir de tout ça. Et durant toutes ces années, j'ai tenté de trouver ma voie, en restant chez des amis ou autres. Puis, chez ma tante, ici, dans cette ville. Ça fait quelques mois, trois je crois, que je suis à Los Angeles, et je pensais avoir tiré la tête hors de l'eau. Mais je me suis trompée. Je suis toujours à fuir mes vieux démons. Je suis strip-teaseuse, mais ma tante ne le sait pas. Il faut que je cesse de sombrer petit à petit. Mais si après tout, ma vie me plaisait telle qu'elle est ?