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Your story
Cher Journal, Je m'appelle Elena, Luna Mitchelli et je suis née le 2 Octobre 1989 à New-York, l'une des plus grandes villes américaines qui soit. Je suis née de l'union désastreuse de Milana Torres, seize ans à l'époque et de son mari, de dix ans son aîné, Enzo Mitchelli. À l'époque, le fait de demander à être émancipé n'était apparemment pas un crime mais plutôt une grosse erreur que beaucoup regrettent. Bizarrement, aujourd'hui, quand les jeunes parlent d'émancipation, c'est la crise et quand une demoiselle se met à fréquenter un homme plus âgé qu'elle ou majeur, on parle de détournement de mineur. Mais où va le monde ? C'est comme ça que ça aurait du être il y a plus de vingt ans ... J'avoue ... Heureusement, j'ai été la seule erreur de ce misérable couple qui vola en éclat peu de temps après ma naissance. C'est ma mère, bien trop jeune à l'époque, qui me prit en charge avant de m'abandonner à mon triste sort, devant la porte d'un orphelinat, un soir glacial d'hiver, à peine emmitouflée dans une couverture polaire. J'avais à peine quelques semaines mais heureusement qu'il y a un Dieu pour les plus méritants car on me trouva rapidement. Là, vous devez surement vous imaginer une suite très courante comme une adoption ? Vous avez plus ou moins raison. En fait, si, vous avez raison car j'ai bien été adopté mais pas qu'une fois. Je n'ai jamais été capable de rester plus de quelques semaines dans la même famille dans la mesure ou j'étais une enfant très turbulente. Allez savoir pourquoi ... Peut être étais ce du au fait que je n'avais pas de racines auxquelles m'accrocher par exemple ? Peut être étais ce du au fait qu'on m'annonça très jeune que je n'avais pas de famille ? Peut être étais ce du au fait que le mot "Bâtarde" revenait sans cesse à mes oreilles ? Beaucoup de choses font que j'étais quelqu'un de peu fréquentable et que plus le temps passait, plus mon état se dégradait. Moi même je me suis demandé, arrivée à l'adolescence, s'il ne me manquait pas un boulon mais non, tout allait bien et je le savais au fond de moi. Disons que c'était juste une réaction un peu osée. Cela dit, avec l'âge, j'ai franchi une étape en m'assagissant. Qu'est ce qui a déclenché ça ? Tout simplement la dernière famille dans laquelle j'ai vécu. J'avais à peine douze ans et pourtant, mon calvaire était loin d'être terminé car il commencé à peine. Mon abandon et tout ce qui va avec n'est rien par rapport à ce que j'ai vécu pendant ses longs mois où je suis restée prisonnière de mes bourreaux. Oui, pour une fois j'ai dépassé le stade des quelques semaines mais non pour mon plus grand bonheur. La rebelle que j'étais n'avait pas encore disparue, la preuve, j'étais toujours la même, en pire. Sauf que là, je suis tombée sur plus fort que moi. Autrefois, on perdait patience, certes mais ça n'allait pas plus loin. On se contentait de me renvoyer à l'orphelinat après que la petite goutte d'eau eut fait déborder le vase. Là, on ne me renvoya pas à l'orphelinat. Chaque bêtise me coûtait la peau des fesses, c'est le cas de le dire. Mes bourreaux commencèrent par m'insulter. "Si tu crois que ça me touche, tu te met le doigt dans l'oeil sale folle !" m'amusais je à répondre comme pour défier l'autorité et pousser un peu plus le bouchon. Après les insultes, ce fut les coups. "Laisse tomber vieille taré, tu peux me frapper autant que tu veux, je suis aussi dure que la pierre." disais je. En réalité, je suis humaine comme tout le monde et je me contentais d'encaisser alors qu'intérieurement comme extérieurement, je souffrais le martyre. Aucun cri ne sortit de ma bouche et aucune larme ne coula jamais le long de mes joues. La seule chose qui déclencha mes cris et mes pleurs fut quand l'homme qui me servait de père adoptif, commença à me toucher. M'insulter, je veux bien. Me frapper, ça passe encore mais me toucher, ça passe plus du tout. J'étais comme figée par la peur chaque fois qu'il s'approchait de moi et qu'il posait ses grosses pattes sur mon corps si pur. Je hurlais à en cracher mes poumons chaque fois qu'il me pénétrait pendant que sa femme me bloquer de manière à ce que je ne bouge plus. Le seul moyen de me faire taire était les coups qui pleuvait et qui finissait par m'assommer. Cette période de ma vie fut un vrai calvaire. Cette histoire, personne ne l'a connait car je n'ai jamais su en parler. Personne à part moi ne connaît ce passé qui me traque tout partout où je vais. Aujourd'hui, je ne suis plus celle que j'étais avant. J'ai grandi ... J'ai mûri ... J'ai appris les valeurs de la vie ... Le seul moyen pour moi d'oublier cette vie à laquelle j'ai voulu plus d'une fois mettre un terme, c'est de la quitter à jamais. Pour ça, j'ai pris la décision de m'installer à Paris, en France, pour y faire mon école de mode, un rêve d'enfant jamais exploré. Il est temps de tirer un trait, définitivement, sur la Elena Mitchelli d'autrefois pour laisser place à Elena Mitchelli, un petit bout de femme qui ne rêve que d'une chose, repartir de zéro. Cependant, je suis désormais de retour aux sources et je souhaite qu'une chose, oublier Paris pour faire comme si je n'avais jamais quitté New-York.
Je suis consciente d'une chose en ce moment, c'est que chaque personnalité est tout aussi différente qu'attrayante, selon la personne qui l'a possède. Je sais moi même que deux cas du même genre que le mien ne se trouve nul part. Je suis unique en mon genre et j'aime ça. On dit de moi que je suis une personne organisée, curieuse, modeste, perfectionniste, obstinée, enthousiaste, sociable, disponible, calme, susceptible, créative, ponctuelle, studieuse, impatiente, timide, maniaque, indépendante, raisonnable, autoritaire, mature, bavarde, rêveuse, à l'écoute, logique, intuitive, autonome, ambitieuse, concentrée, discrète, prévoyante, fiable, appliquée, distraite ... Et j'en passe ... J'ai une personnalité plus qu'enrichie et diversifiée que je m'efforce de maintenir dans le droit chemin en faisant par exemple de mes plus gros défauts, des qualités. Ce n'est pas une tâche à succès mais pourtant, je sais une chose, c'est qu'en vieillissant, je parviens à améliorer deux ou trois petites choses, ce qui est plutôt un bon début. Physiquement parlant, je sais ce que je vaux car j'ai le mérite de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour parvenir à mes fins. J'aime être belle et pour ça, je dois me sacrifier sur beaucoup de choses. Mes longs cheveux bruns, mes magnifiques yeux noisettes, mon sourire étincelant et ma silhouette fine et élancée sont mis en valeur du mieux qu'il le peuvent. J'aime passer du temps chez le coiffeur, chez l'esthéticienne, chez la manucure, dans les boutiques et j'en passe car être belle est une priorité pour moi. D'ailleurs, pour travailler dans la mode comme je le souhaite, le physique est très important alors autant continuer dans le bon chemin.
J'ai quelques piercings et tatouages.
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You
Prénom : HaHaaHaaa ! Age : 21. Référence : Par Partenariat. Présence : 5/7. Double Compte : Non. Remarques : Je n'ai rien à dire à part que LILA est parfait ♥
Your character
Nom : Mitchelli. Prénom(s) : Elena, Luna. Age : 21. Lieu de Naissance : New-York. Origine(s) : Italo-Espagnole. Statut : Célibataire - Fiancé(e) - Marié(e) Orientation : Hétérosexuel - Bisexuel - Homosexuel
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