Oh je n'ai pas envie d'en parler si ca ne te dérange pas ... Ne t'en fais pas ce n'est pas parce que c'est toi mais je suis sortie de chez moi en m jurant de ne pas y penser et c'est trop tard alors autant ne pas en parler. J'en ai mrre, je dois redémarrer et grâce à toi, aujourd'hui je suis ortie et j'arrve a avoir une conversation normale, à penser à autre chose alors je ne préfère pas en parler. Je t'expliquerai peut-être, un jour.

S'en suis ce fameux compliment qui gêna tant Ava. Mais au fond, elle était contente, ca lui faisait chaud au coeur que quelqun fasse attention à elle, qu'on la remarque. Ca faisait longtemps ca aussi. Elle souriait interieurement et finit par vraiment sourire. Elle l'écouta s'excuser sans cesse et compris qu'il était aussi géné qu'elle pour finir. Se retournant pour lui faire face à nouveau et le regarder elle lui répondit.

Arrête de t'excuser ... C'est gentil ce que tu dis, ca me fait chaud au coeur. Encore merci.

La demoiselle baissa les yeux et ils se fixèrent sur la main de Ricky. Elle avait comme une irrésistible envie de le toucher. Comm si ce simple compliment avait déclencher en elle un besoin, celui de sentir sa peau. Juste la frpoler suffirait. Alors, les yeux toujours posés sur cette min, elle avanca la sienne, la déposa par dessus celle du jeune homme et la caressa de son pousse, après quoi elle resta immobile, les yeux admirant ces deux mains l'une sur l'autre. Le souffle court elle respirait à peine. Elle avait peur qu'il la prenne pour une folle, qu'il la repousse violemment ne comprenant pas ce qu'elle faisait, qu'il l'insulte. Elle était là, à attendre à nouveau qu'il réagisse. Elle n'avait plus le choix ce qui était fait était fait et elle le regrettait déja.

Ava l'écouta lui répeter qu'elle était belle et elle sourit à nouveau. Qu'elle femme n'aimait pas les compliments ? Elle n'en connaissait pas et elle, en tout cas, appréciait qu'on lui dise qu'elle soit belle. Elle savait bien qu'elle n'était pas vraimnt moche. Quoi que ... Quand elle voyait sa tête dans le mirroir certain matin, surtout ceux qui suivaient les nuits ou elle avait mal dormis, elle se trouvait vraiment horrible. Et c'était es jours la qu'elle bénissait le maquillage pour son simple fait d'exister.
La main d'Ava toujours posée sur la sienne, elle attendait qu'il réagisse. Et ca ne tarda pas. Elle redoutait vraiment sa réaction mais soupira de soulagement quand elle compris qu'il nela repoussait pas. Elle ne pensait pas avoir les mains spécialement douces mais bon ca lui faisait un deuxième compliment. Elle avait bien peur qu'à ce train là elle s'attache trop à lui. La demoiselle retira brusquemetn sa main et se recula le plus loin possible de lui en restant assise dans le canapé.

Euh ... Je suis vraiment désolée...

Elle ne savait pas quoi dire, ni quoi faire, mais elle était incapable de le regarder, les joues rouge, elle évitait tout contact avec Ricky.

Elle était désolée parce que cela ne se faisait pas, pas comme ca du moins. Elle le connaissait à peine au fond et elle n'avait pas à faire ca. Ava s sentait terriblement honteuse de son comportement, elle-même ne savait pas ce qui lui avait prit. Elle avait juste agit par instinct, comme un animal elle avait suvui ses pulsions. Il fallait avouer qu'elle était en manque d'affection et d'attention. Depuis qu'elle vivait toute seule elle n'avait presque plus de contacts avec d'autres personnes. Ca devait être la raison de ce qu'elle venait de faire, oui ca devait être ca. Ricky était la première personne qui s'intéressait à elle depuis longtemps et elle s'en sentait tellement flatée, tellement bien qu'elle avait besoin de réagir et qu'elle faisait un petit peu n'importe quoi il fallait l'avouer.

Je ne dois pas faire ca, ca ne se fait pas. Qu'est ce que tu vas penser de moi maintenant, de mes intentions et ... Voila quoi ce n'est pas correct c'est tout et je ne m reconnais pas parce que je ne suis pas comme ca habituellement. Je voulais que tu le saches parce que ....

Un trou, Ava ne savait plus quoi dire, elle avait parler vite, en bégayant presque. Elle se rendait compte qu'elle ne respirait pas assez et qu'elle allait vite mnquer d'air si elle continuait. Essayant de reprendre son calme, elle respira doucement. Elle n'osaot toujours pasle regarder et venait de se promettre de ne plus rien faire du tout.

La jeune femme écouta Ricy qui essayait de la rassurer comm il le pouvait. Il était vraimnt mignion, de s'occuper d'elle comme il le faisait, de veiller à ce qu'elle se sente bien. Elle sourit sans qu'il s'en apercoive et l'écouta de plus belle. Elle entendit son prénom : Béatriz. Ca lui fit tellement bizarre ... Tous le monde l'apellait Ava. Pourquoi, elle ne le savait pas vraiment ses parents le faisaient depuis qu'elle était petite et puis elle avait pris cette habitude et demandait aux gens de faire de même. Elle se rapella ne pas l'avoir fait avec Ricky, elle se rapella s'être présentée sous le nom de Béatriz le jour de leur rencontre, chose qu'elle ne faisait jamais. Comme si dès ce jour là tout avait été différent avec lui. Mais elle allait quand même lui dire de l'appeller Ava.

Je préfère que tu m'apelles Ava ... C'est une habitude ...

La tête baissée, la demoiselle sentit la main du jeune homme appuyer légèrement sur sa joue. sous cette pression elle tourna la tête et son regard rencontra celui de Ricky. Il tenait à ce qu'Ava ne s'inquiète pas mais c'était plus fort qu'elle. Elle ne pensait qu'à ca, jusqu'à ce qu'elle voie le visage du jeune homme se rapprocher dangeureusement du sien. Là ses pensées divaguèrent, elle se posait mille questions : Que s'apprêtait-il de faire ? Est-ce qu'il allait l'embrasser ? Parce qu'elle en avait l'impression. Ne bougeant pas d'un millimètre, le coeur d'Ava bondissait dans sa poitrine. Le regard rivé dans les yeux du jeune homme, l'air se faisait étouffant.

Ava savait qu'elle ne devait pas paniquer et pourtant c'était plus fort qu'elle. Mais une fois le rerd plongé dans celui de Ricky elle se calma peu à peu. Il la rassurait, l'apaisait comme il le pouvait et ca marchait. C'était à cela qu'on voyait qu'il y avait un truc inexplicable entre eux. Déja rien que le fait qu'ils se soient rencontré était inexplicable, ainsi que le fait qu'ils s'entendent si bien alors qu'au final ils sont si différents l'un de l'autre.
Le visage proche de celui du jeune homme, la demoiselle avait une respiration plus rapide et saccadée, elle avait une boule naissante dans l'estomac et elle n'avait plus aucune certitude quand au déroulement de cette soirée. Elle savait qu'il allait finir par l'embrasser, elle le sentait et elle n'avait rien vu venir. Quelque temps plus tard, ses lèvres frôlèrent celles du jeune homme dans une douceur infinies. Les yeux clos, Ava savourait, elle aimait ca et pourtant elle ne 'lavait jamais envisagé avant ce moment même. Mais qu'allait-il advenir ? Elle n'en savait rien.
Le baiser fini, c'est elle qui se recula légèrement. Juste assez pour replonger ses yeux dans le regard du jeune homme. Elle resta comme ca, sans bouger pendant au moins dix secondes après quoi elle murmura :

Euh ... Je ...

Inutile, elle avanca son visage vers le sien et déposa une nouvelle fois ses lèvres sur celles de Ricky.

Leur deuxième baiser durait, apparement cela plaisait autant à un qu'à l'autre ce qui était juste parfait. Ava ne pensait plus à rien, elle profitait juste du moment, ce magnifique moment. Au fond, elle se demandait si ce n'était pas un rêve, alors elle ouvrait les yeux de temps à autre juste une seconde pour vérifier qu'elle n'était pas entrain d'embrasser son oreiller. Mais ce n'était pas le cas, ca n'aurait pas pu car un oreiller n'embrasserait pas comme ca.
Après un temps, se recula un peu, elle posa sa main sur celle de Ricky comme elle l'avait fait tout à l'heure sauf que cette fois elle ne refretta pas son geste. S'installant plus confortablement à côté de lui, elle posa doucement sa tête sur son épaule, sans lâcher sa main. Elle essyait de réaliser ce qu'il venait de se passer. La demoiselle ferma les yeux et attendit pendant quelques minutes. Il ne disait rien, elle non plus. Mais ca n'allais pas durer, sa curiosité allait l'emporter, elle voulait savoir. Non elle devait savoir !
Ava soupira une fois et releva doucement les yeux afin d'apercevoir le visage de l'homme qu'elle venait d'embrasser.

A quoi tu penses ?

Ava n'y croyait toujours pas. Elle ne pensait pas embrasser un homme de si tôt pour tout dire. Le choc de sa dernière rupture l'envahissait encore ce matin, l'envahit probablement encore maintenant sauf que là, elle n'y pensait plus. Elle voulait oublier et elle se rendait compte que pour la première fois elle y était parvenue. Un bref instant certes mais quand même. Ellle se remémorait leut baiser alors que sa tête était posée sur l'épaule de Ricky. Elle lui posa une question à laquelle il répondit rapidement. Elle sourit, c'était mignion. Elle avait envie de lui demander quel genre d'image mais elle n'osa pas.

Moi ... Je me rappel ce qu'il vient de se passer, j'essaie de réaliser enfaite ... C'est ... incroyable. Jamais je n'aurais cru cela en passant le pas de ta porte ce soir.

La demoiselle se redressa et se mit debout, s'avancant vers la fenêtre, elle admira un instant la magnifique vue qui se dégageait derrière les rideaux. La pluie battait contre la vitre et la jeune femme fût soulagée de ne pas être dehors par un temps pareil. Elle se retourna vers le jeune homme et lui dit :

Tu me fais visiter ?

Ava s'était retourné vers le jeune homme qui se leva à son tour pour lui faire visiter. Le suivant de près, ils passèrent de pièces en pièces au rez-de-chaussée. Tout était grand, parfaitement décoré et rangé. Cette maison était magnifique même si elle devait petre bien trop grande pour son propriétaire. Ca devait prendre des heures de faire le ménage ici se dit Ava. Elle n'en revenait pas. Rien que le bas faisait au moins dix fois son appartement. Il ne fallait pas demander avec l'étage !

C'est vraiment beau ... Tu peux être fièr d'habiter dans une maison pareille !

Le sourire au lèvres, et le regard voyageant d'un endroit à l'autre, la demoiselle admirait. Elle contemplait et avait hâte de voir l'étage. Elle ne pouvait pas s'imaginer le nombre de chambre qu'il devait y avoir la haut. Quoi que, elle était persuadée qu'il y en avait beaucoup.

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