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 |  Sujet: JUNE → le diable murmure Jeu 15 Sep 2011 - 9:38 | |
| ❝ Andromède June Eliott-Sullivan ❞ curriculum vitae
Je mesure dans les un mètre soixante, soit une taille plus ou moins moyenne me correspondant parfaitement. Je n'ai pas la taille d'un mannequin puisque mes parents n'étaient pas spécialement grands. Commençons par le haut : je possède une chevelure blonde. Ma couleur de cheveux étant naturelle, je n'aime pas spécialement me faire colorer les cheveux d'une couleur autre que celle que je possède déjà. Disons que cela fonctionne avec mon caractère et surtout mes envies. Je possède donc, une chevelure des plus basiques avec quelques mèches effilées au-devant mes yeux. Mon visage à présent, ovale et fin, d'une couleur naturellement bronzée quoique très légèrement, recouvrant ainsi toute ma peau. Mes yeux sont quelque peu bridés comme ceux de ma mère. Ils sont d'une couleur marron virant au vert, les faisant ainsi scintiller au soleil. Je possède également des lèvres plus ou moins pulpeuses que je laisse généralement sèches, ne les ornant en aucune façon de gloss à lèvre. Mon poids est également bien proportionné avec ma taille. Pratiquant régulièrement du sport, je n'ai pas trop de problème là-dessus même s'il m'arrive de me gaver de temps à autres de sucreries (j'adore les gâteaux au chocolat).
Après côté vestimentaire, j'aime bien être au gout du jour et surtout ne pas être comme toutes les autres. Me démarquer, voilà ce que j'aime. Certains vous diront qu'on ne peut pas changer de style vestimentaire en un claquement de doigts, moi je vous dirai que tout est possible. Le côté bohème chic me va à ravir, on me l'a souvent dis alors je préfère m'habiller ainsi.
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On comprendra que sa principale qualité est bien entendu sa perfection, son don d'exceller dans n'importe quelle matière et ce, peu importe le nombre de temps qu'elle a consacré à ses études, sa capacité d'apprentissage grandissante est irréprochable, cela ne serait rien sans sa soif de perfection, son envie de se surpasser à chaque fois. On peut définir ce trait de caractère comme étant une détermination excessive, June ne voit pas cela de la même manière, non elle le voit comme étant du courage, de la force de caractère. Ne jamais baisser les bras, voila sa principale devise qu'elle respecte chaque jours de sa vie, profiter du moment présent en est un autre cependant, ne profite pas des moments opportuns préférant peut-être les consacrer davantage dans ses études ?A vous de voir, enfin avec sa détermination, on peut voir le subtil mélange de sa patience et de son sens des responsabilités. Elle entretient intelligemment ses relations et en déduis toujours les pours et les contres et c'est à partir de ces observations qu'elle peut en déduire si la personne en vaut la peine ; Petite Futée ? Je dirais même que June est bien plus que ça : prévoir ses conséquences à l'avance, voilà un énorme progrès dans ce qu'on peut appeller la maturité. La manipulation est-ce véritablement un défaut ? Non puisque sans un talent d'actrice, jamais ses tentatives de manipulation seraient crédibles, alors étant excessivement futée, la demoiselle cachera généralement bien son jeu la plupart du temps pour arriver à ses fins ... Cruel ? inhumain, faire croire aux autres qu'ils détiennent exactement ce qu'ils veulent sans pour autant leur laisser la moindre chance c'est ce qu'on appelle un brin de génie.
D'autre part, June fonce et n’a pas peur de dire ce qu'elle pense. Elle possède une technique imbattable pour combattre ses peurs ; elle ferme les yeux et compte jusqu'à cinq, à partir de ce moment-là elle doit oublier sa frayeur et continuer. La douceur, la demoiselle est très douce et attentionnée, privilégiant ses amis et ses proches à tout autre chose dans le monde. C’est aussi une très grande passionnée de musique, de théâtre, de cinéma, de peinture. La jeune femme est également très franche, ne mâchant pas ses mots pourrait on dire. Elle à tout simplement horreur de garder les choses pour elle, elle va droit au but sans se soucier des répercutions que certaines choses peuvent faire sur la personne en question. Bien entendu, elle est beaucoup plus douce sur ce point-là avec les gens qu’elle aime, afin de ne pas les blesser.
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avatar by sulky « June? Vous voulez vraiment que je vous parle d'elle ? C'pas mon genre de raconter la vie des gens m'enfin, j'veux bien vous faire plaisir. » Elle, c'était Cherry, une fille avec qui je m'étais liée d'amitié. Je me rappelle la première fois qu'on s'était rencontrées ; elle m'avait appris les « ficelles du métier » si je peux dire, des anecdotes, des choses à faire et à ne pas faire. Une fille en or, la seule en qui je pouvais avoir pleinement confiance. « C'est une amie, une très grande amie. Je l'ai prise sous mon aile quand elle a fait ses débuts dans l'agence. Elle était éblouissante mais tellement maladroite. Les gaffes, elle les enchainaient. » En effet, je me souviendrai toujours de mon premier jour dans cette agence. J’avais mis des porte-jarretelles parce que j’avais crû que toutes les escortes girls en mettaient. J’étais nerveuse, mais pas timide. Au fond, j’étais plutôt confiante. Le patron de l’agence ne m’avait rien expliqué concernant mon premier jour de travail. « Déshabille toi et montre nous tes talents. » m’avait-il dis. Incrédule, je finis tout de même par me lancer dans un show improvisé face à un client médusé. Oui sa tête me revient encore : yeux ronds, bouche pâteuse et mine figée. Malheureusement, je me pris les pieds dans un tas de vêtements qui jonchaient le sol de la chambre et m’étais écroulée, à moitié nue, sur le client. J’étais perdue, j’aurai crû que ce geste aurait gâché toutes mes chances d’intégrer les rangs de cette agence d’escorte girl. Apparemment non, tout le monde avait été bluffé par ma prestation même Cherry. « Facile » m’étais-je soudainement dis. Tout allait me sourire dans la vie, j’en restais convaincue.
Je n’étais pas spécialement grande, dans les un mètre soixante-huit par là - adieu carrière de mannequinat – en revanche, j’étais fine et dotée d’atouts fort généreux. J’entretenais mon corps régulièrement. Je ne pouvais me faire dorer au soleil comme la plupart des femmes. La raison ? Ma peau d’albâtre ne semblait pas en accord avec mon état d’esprit. Les parties de mon corps que j’adulais restaient ma poitrine – sans commentaire – mon visage ainsi que mes cheveux. Ces derniers étaient d’un blond vénitien, très appréciés de tous. Ces cheveux ornent un visage ovale ; mes yeux sont d’un bleu pur tirant au vert/jaune lorsque luminosité il y a. Des lèvres pulpeuses semblent en faire pâlir plus d’un et c’est avec malice que j’aime les mordiller. Mon maquillage reste très frais et aéré. « Elle est très naturelle, bien qu’il lui arrive de renforcer son maquillage » renchérit Cherry. Dans mes phases nostalgiques, il m’arrive d’arborer des yeux charbonneux et des lèvres rougeâtres. J’aime le changement, le renouveau, le neuf. Mon appartement reflète qui je suis réellement ; une fille libre et pourtant emprisonnée dans un cocon destructeur. Des images de Marylin Monroe et Audrey Hepburn sont accrochées aux murs, l’ambiance reste bohème chic et de douces odeurs de tabac et tabac ondulent dans l’air.
Au bout de trois mois, j’ai laissé tomber les agences d’escorte. Pas assez payant et les jarretelles, trop compliquées. Alors j’ai décidé de travailler seule. Dégourdie et autonome, j’ai finalement investi à la création d’un site web pour une valeur de 8 000$. J’ai actuellement vingt-quatre ans, et beaucoup de clients qui se font un plaisir de visiter mon site. Il s’agit surtout d’hommes d’affaires de passage à New-York, des hommes qui s’ennuient, qui ne savent pas quoi faire entre deux réunions. Bien entendu, je voyage, j’ai toujours aimé d’ailleurs ; Boston, Los Angelès, Toronto. Je recrute mes clients via mon site. Je gagne assez d’argent, environ dans les 200 000$ dans l’année. Mes tarifs restent élevés certes mais le prix en vaut la chandelle. Je fais peu de week-end. Ce n’est pas facile pour moi d’être souriante, de faire semblant durant quelques heures. Alors vous imaginez un week-end entier ? Et puis, je n’aime pas passer une nuit avec un client .. Ou du moins c’est assez rare que j’accepte. Trop intime probablement. Je suis une prostituée de luxe, une courtisane si je peux me permettre. Mais je préfère qu’on dise de moi que c’est une femme d’affaire, ce qui s’avère la plupart du temps véridique. Les agences ? Ce n’était pas très payant. Je gagnais quelques sous. Mais c’était moins exigeant que maintenant. Je me rappelle qu’après le travail, je pouvais rentrer chez moi, m’installer devant la télé avec mon chien. Maintenant, il me faut gérer mes voyages, réserver des chambres d’hôtels, planifier les trajets. Je suis toujours autant pressée et incalculable. Certains clients arrivent en avance et d’autres sont en retard : je déteste quand les clients se croisent et pourtant, ça arrive de temps à autres.
Comment suis-je devenue prostituée ? Par choix. Née d’une mère dépressive et d’un père continuellement absent – je le soupçonnais d’avoir une maîtresse – j’ai très vite abandonné l’école. Les cours, très peu pour moi. En revanche, j’avais la côte chez les garçons ainsi que chez les filles. Ces dernières enviaient ma beauté et mon tact si flagrant. Les garçons eux, appréciaient mon physique principalement et moi, en cruel manque d’affection, je les laissais venir tranquillement à moi. Je me faisais passer pour la fille facile à la beauté froide. Je ne suis jamais tombée amoureuse d’un homme et même dans mon métier. Il m’arrive souvent de croiser des clients qui tombent en amour devant moi ou d’autres qui tentent de me sauver. Je trouve leur attitude lamentable et pathétique. Il y a également des clients trop collants, qui veulent sans cesse me voir à leur côtés. Seulement ça ne marche pas comme ça avec moi. Quand ça ne marche pas avec un client, je lui dis « Reprends ton argent et étouffe toi avec. » Je n’ai jamais mâché mes mots. Les miens sonnent justes et sont crus. J’ai déjà eu des clients impulsifs qui calmaient leur nerfs sur moi. Un jour j’ai terminé à l’hôpital car l’un d’entre eux m’avaient cognée tellement fort que j’en ai divagué. Depuis, ce type a été mis en prison et j’ai le privilège d’obtenir une protection rapprochée dès que j’en ai besoin ; c’est-à-dire jamais. Je n’aime pas que des malabars habillés en smoking Burberry rôdent à côté de ma chambre où m’accompagnent à l’extérieur. Je veux être libre.
Il y a deux ans, j’ai contacté Cherry, cette fille avec qui j’avais entretenue une très bonne relation à mes débuts. Je lui avais montré toutes mes faiblesses ; ma maladresse, mon ironie, mon désarroi et mon émotivité. Elle est devenue une de mes plus fidèles amies, presque une associée. Les clients ? On les triait sur le volet, ne prenant que les riches hommes d’affaires, les professeurs d’école sélective, des hommes qui n’avaient pas en tête de me sauver. « L'homme sait qu'il est un client et moi, une escorte. Il est là pour le plaisir, moi pour l'argent. Il n'y a pas de complications, pas de bitchage. » avais-je souvent répété à Cherry. Nous n’étions là que pour récolter de l’argent, faire notre métier, rien de plus. |
et toi, derrière ton écran ! | ▬ PRÉNOM/PSEUDO: écrire ici | ▬ ÂGE: Entre 10 et 25 ans  | ▬ TA PRÉSENCE SUR LE RPG : 5/7 |
| ▬ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM?: Je le connaissais déjà |
| ▬ COMMENT LE TROUVES-TU?: Très beau, j'aime le design ♥ |
| ▬ PV OU INVENTE?: Inventé | ▬ DOUBLES COMPTES? : Non |
| ▬ FORMULAIRE D'AVATAR REMPLI?: Pas encore mais bientôt. | ▬ CODE? : |
▬ UN DERNIER MOT POUR LA FIN? : Bloup, j'vous aimes tous les choux  |
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Dernière édition par A. June E-Sullivan le Sam 17 Sep 2011 - 9:40, édité 4 fois |
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