C'était une bonne journée, enfin, le soleil n'était pas au rendez-vous à cause de la pluie, mais j'avais passé une bonne journée. Steven était partie voir une amie à lui, alors j'avais invité Freddy a passé la journée avec Anaëlle et moi. Et on avait tout le trois passaient une bonne journée, bon j'avais dû disputer quelquefois la petite pour la façon dont elle avait parlé à Freddy, mais après ça, tout c'était bien passé. Il devait être vers dix-sept heures, presque même dix-huis heures quand la petite est venue me réclamer son bain comme tous les lundis de la semaine. Alors, j'étais en ce moment calé dans les bras de mon cher copain en train de rigoler et même parler tranquillement, je me suis levé alors avant de lui donner un baiser sur ses lèvres et de lui avoir dit que s'il voulait regarder la télé il pouvait, c'était gratuit . Je pars pendant ce temps dans la salle de bain, étant donné qu'on était des filles, on avait pris tout notre temps et je savais très bien que mon cher amour n'était pas pressé. Alors, après avoir mis du shampooing dans les cheveux, de lui avoir mis du gel douche partout sur elle je l'ai rincé doucement. Je coupais l'eau et je l'entourais autour d'une serviette pour qu'elle puisse sécher. Alors que j'étais en train de l'habiller pour la nuit, j'entendis la porte sonnée, comme tout le monde dans cette maison d'ailleurs, mais comme j'étais occupé avec la petite puce je dis : « Mon coeur ? Tu peux aller ouvrir la porte s'il te plait ? Je n'ai pas encore finis avec la miss. » Mais bien-sûr, comme je ne suis pas voyante, je ne pouvais pas savoir que mes parents se cachent derrière la porte.

Malgré la pluie et le fait que la petite c’est montré capricieuse u prés de Freddy, j’avais passé une bonne journée. Depuis qu’il était sortis de cure, j’essayé de les rapprocher un peu tout simplement parce qu’il était maintenant cline, il y aussi le faite qu’elle allait devenir grand sœur dans pas très longtemps, mais surtout parce qu’elle avait besoin d’un père, d’un modèle masculin, il y avait peut-être Steven, mais c’était son oncle et Anaëlle avait besoin d’un père. Freddy était peut-être l’homme parfait (sauf à mes yeux), je savais qu’il pouvait être une personne avec un grand cœur et qu’il pouvait être un bon père pour lui. Enfin bref, c’était ce que je pensais. J’étais en ce moment dans la salle de bain en train de m’occuper de la petite qui voulais prendre un bain et se faire jolie pour la nuit, la porte venait de se mettre à sonner et comme j’étais occuper j’avais demandé à Freddy à aller ouvrir à la porte. Mais je n’avais pas capté que les deux personnes qui était en ce moment était mes parents. Monsieur & Madame Holzer avait décidé de faire une surprise à leur fille et petite-fille, alors ils étaient rendus chez elle. Ils avaient u grand sourire sur les lèvres et attendit qu’on vienne l’ouvrir, mais quand ils ont vu que la personne qui venait d’ouvrir juste devant leur yeux. « Qu’est-ce que tu fou ici toi ? Tu ne devrais pas être là après ce que tu as fait à ma fille !! » dit-il presque énervé d’un ton sec. Quand j’entendis que Freddy venait de m’appeler pour me dire que j’avais de la visite, je finis la natte de ma fille avant de la laisser dans sa chambre toute seule et toute belle. Je descendis en me refessant une couette et je dis : « J’arrive » Une fois devant la porte j’eu la grand surprise de voir mes parents, j’eus un grand sourire sur mes lèvres avant de les serrer contre moi. « Papa Maman, mais qu’est-ce que vous faites ici ? »

Qu’elle bonne surprise je venais d’apercevoir derrière la porte ; les deux personne qui venaient d’arriver était mes parents. J’étais heureuse de les voir parce que ça faisait longtemps mais en fin de compte j’étais un peu gêné vis-à-vis de Freddy. Oui parce que je n’avais toujours pas dit à mes parents que j’avais donné une dernière chance à Freddy et que j’étais heureuse avec lui, même si certains membres de ma famille croient le contraire. J’avais dit à mes parents que je l’avais revu, mais qu’on était que des amis. Que des amis ? Qu’elle beau mensonge je leur avais dit, mais je n’avais pas prévue de tombé enceinte et surtout je n’avais pas prévue qu’ils viennent me rendre un petit visite, surtout aujourd’hui. Le jour où Steven est chez des amis à lui et que moi je peux me retrouver chez moi avec mes deux amours il fallait qu’on vienne me gâcher ce petit moment. Je ne pouvais trop rien dire c’était mes parents quand même. Après les avoirs serrés dans mes bras, chacun d’entre eux, je les fis rentrés dans mon petit appart qui devait vraiment petit. . Je ne savais pas trop quoi faire sur le coup. « Avec ta mère, on rentré de chez ta tante, alors on eut envie de passer pour te faire une petite surprise, mais c’est nous qui on était surprient de voir la personne qui vous a ouverte. » Je regardais doucement mon beau brun puis je repris. « Ah, mais il était en train de me rendre service. La télé à eu un problème et il vient de réglé le problème. C’est tout après vous me connaissais je suis trèèès rancunière. » Ok, j’étais en train de mentir à mes parents, mais c’était plus fort que moi. « Mais tu aurais du demander à ton cousin qu’il voir ce qu’il se passe, au lieu de lui. Mais ça tombe bien qu’il soit là, comme ça on va parler et on règlera ce qu’il faut réglé. » « C’est vrai j’ai pas pensé. Je ne pense pas qu’il doit rester, je pense que ça petite amie doit l’attendre et elle va se faire du souci. » Il le regarda d’un air genre, ce n’ai pas négociable, tu restes. « On va chercher quelques petits trucs à boire, installez-vous dans le salon. » Je partis donc avec Freddy dans la cuisine presque en lui tirant le bras, une fois dans la cuisine je dis tout bas et super genet. « Freddy, je suis désolé. Je ne savais pas qu’ils viendraient je te le promets. »

Je mentais depuis quelques temps à mes parents pour mes relations amoureux et là, je n’ai pas trouvé mieux que réparateur de télé. Sur le coup, là, j’étais en train de me dire que je n’aurais pas dû leurs mentir et que j’aurais dû leur dire plutôt après tout j’étais adulte. Mais bon, déjà j’ai essayé de lui sauver la vie en le faisant sortir de chez moi aussi normale que possible, mais c’était pas gagné pour l’instant. J’espéré que mon père n’allait pas trop lui faire du mal, je préféré d’ailleurs qu’il ne le touche pas sa serait mieux. J’avais même eu l’idée de lui trouver une petite copine imaginaire pour l’aider. Mais ça n’a pas marché. Après les avoirs invité à s’assoir dans le salon, je pris presque Freddy par le bras pour me diriger avec lui dans la cuisine, au moins j’avais une cuisine fermé, mais on va quand même parler doucement. Je levais les yeux quand il dit que ‘’copine l’attend’’ et ben elle va attendre encore longtemps. « Je ne sais pas, pour qu’il ne débarque pas du jour au lendemain en te mettant en garde ou alors il aurait passé directement à la fasse, enterrement. Je ne voulais pas désolé. Où tu veux peut-être que je leur dise maintenant ‘’ Enfaite, papa et maman, sa copine légèrement un peu maso sur les bords c’est moi.’’ Je suis sûr qu’ils vont être ravis. » Je le regardais droit dans les yeux avant de dire : « Calme toi Freddy, je t’en prie. Tu veux que je, non qu’on leur dise la vérité. Sinon appel Alaska qu’elle vienne te sauver la vie. Ah non, elle je ne la veux pas chez moi. Donc on écoute ce qu’il a te dire et on leurs dis après la vérité d’accord ? » Je le regardais. Avant d’aller prendre dans le placard les verres, que je mis par la suite dans un plateau. « Freddy, je t’aime et tu as raison j’aurais dû faire preuve d’un plus de maturité pour leur dire quand j’en avais l’occasion. Désolée te mettre dans ce pétrin. » Je lui fis un petit sourire. Avant de sortir les bouteilles du frigo. Je lui tendis : « Tu prends les bouteilles s’il te plait ? »

J’avais eu la bonne idée d’avoir une cuisiné fermé, on peut parler doucement pour pas que les personnes qui se trouve dans le salon ne peuvent pas entendre les conversations. Sur le coup, j’avais était assez intelligente pour acheter un appart avec une cuisine fermé. J’étais d’accord, mon idée n’était pas l’une des meilleures, mais bon c’était mieux que l’idée de ce jeté par la fenêtre . « A part ton idée de te jeter par la fenêtre, tu as une meilleure idée ? » Bon sa m’étonnerais fortement qu’il est une meilleure idée que la mienne, mais peut-être que son petit poids qu’il lui sert de cerveau a eu d’un seul coup l’idée du siècle ? Il fallait qu’il se calme parce qu’il était en train de me stresser encore plus et c’est mauvais pour le bébé . Je levais les yeux au ciel avant de souffler doucement. J’avais eu une deuxième idée, appeler sa colocataire pour qu’elle se fasse passer pour sa copine. Mais c’est vrai qu’il avait raison, ça va peut-être se terminé en dispute mais c’est pour lui après. « Pour qu’elle se fasse passer pour ta copine, qu’elle te sorte de là, mais tu as raison je n’ai pas la tête à ma disputer avec elle aujourd’hui. » Mon super plant, j’en avait même pas de super plant. Je ne savais pas trop quoi faire mes mensonges venait de m’être remonté à la surface. J’avais presque envie de partir de chez moi là et de les laisse tout seuls comme des grands. « Ne fait pas l’enfant s’il te plait. On va aller avec eux et on va écouter ce qu’il a à te dire et on lui dit la vérité après. Et s’il te plait écoute le de A à Z. J’n’ai pas envie qu’il te déteste plus. » J’avais bougé pour prendre quelques bouteilles, enfin ce qu’il me rester et je les avait tendu à mon cher réparateur de télé pour qu’il les prend. « On va s’en sortir comme à chaque fois. » Je fermais le frigo avant de prendre le plateau avec les verres. « Merci » Je passais ensuite pour me rendre dans le salon où se trouvait mes parents. Ils étaient calmes, bien trop calme. Par la suite, je leur servis un verre à chacun puis je m’assois en donnant le dernier verre servi à Freddy.
Pendant un long moment, il y eut un gros blanc dans l’appartement on pouvait entendre les mouches voler. Ils nous regardèrent sans rien dire, mais au bout de quelques minutes mon père se lança, il posa le verre et dit : « Pourquoi ? Pourquoi tu es revu dans sa vie ? Elle était beaucoup mieux dans toi, tu ne fais que gâcher sa vie à chaque fois qu’elle croisse ton regard. En plus de l’avoir lassé tombé comme de la merde, tu oses venir habitait dans la même ville qu’elle, en plus avec ‘’petite copine’’ d’ailleurs, elle du courage de te supportais. Non, mais franchement Naomïe, comment tu peux laisser cet homme rentré de nouveau dans ta vie. Tu sais ce qu’il t’a fait endurer quand vous étiez ensemble. Alors pourquoi tu le laisse rentrer chez toi ? » J’avais du mal à le regarder. J’avais envie d’être une souris et de creuser un trou.

Passer par la fenêtre, mais oui bien-sûr j’allais le suivre, surtout que j’étais chez moi et que je n’allais pas partir comme ça en laissant mes parents et ma fille tous seuls. J’avais eu l’idée sinon d’appeler sa meilleure amie, mais quand il m’expliqua son plant je lui fis de gros yeux avant de dire : « D’accord, c’est une super mauvaise idée. Oublis cette idée tout de suite. C’est compris ? » Dit comme ça il pouvait oublié cette idée sur le champs ! Sinon, j’allais presque faire une de mes crises de jalouse devant mes parents. Après avoir passé du temps dans la cuisine pour essayer de trouver une super bonne idée on finit par revenir avec quelques petits trucs. Je servis tout le monde puis je m’assis sur le fauteuil. Personne ne parlaient c’était le calme absolue. Je ne savais pas trop quoi en fait. Puis mon père comme ça à prendre la parole. Je le regardais et l’écoutais je n’avais préféré ne pas prendre la parole ou le couper. Freddy lui pris la parole ensuite. « J’ai aussi perdu de quelqu’un de très cher dans mon passé, mais je ne suis pas à mis à faire la connerie que toi. J’ai réussi à me relever le matin sans prendre la moins merde pour me faire oublier le manque de la personne. Et je l’ai fait pour ma femme et ma fille. Et je parie que tu ne sais pas ce que c’est d’avoir une famille. Non, tu sais pas parce que tu es bien trop lâche pour avoir une famille. D’ailleurs ta copine c’est ce qu’il est arrivé dans le passé ? Ton envie de toute sorte de produits qui devrait être interdit d’ailleurs. Je suis sûr que tu n’étais même pas capable de lui dire. … » Je dis par la suite, avant que Freddy l’ouvre pour être sûr qu’il ne sorte pas une grosse connerie. Je dis assez fort pour arrêter cette discussion. « STOP !!! » Mes parents me regardèrent. Ma mère dit : « Ma puce, ton père à raison. » « Quoi ? Mais tu es d’accords avec lui ? Bref, Vous allez de lui faire comprendre que c’est une merde. D’accord j’ai souffert, j’ai souffert énormément qu’il est choisis la drogue que moi. J’ai grandi et j’ai fini par comprendre qu’il faisait ça par amour. Il pensé à moi quand il choisit ça et je l’ai compris seulement maintenant. Peut-être que vous ne pouvez pas voir son visage, mais moi je … je l’aime. J’ai tourné la page et on est passé à autre chose. Sa fait presque un an et … et on attend un enfant alors il est hors de question que vous le traitez comme ça parce que ce n’est pas un lâche. On fait tous des erreurs dans la vie et je le connais mieux que personne d’autre je crois. » Je tournais doucement la tête vers lui pour lui faire un petit sourire.

Au final, j’ai que des mauvaises idées et je m’en suis rendu compte quand il m’expliqua son plant une fois qu’elle serait arrivée et quand il me dit que ça ne le dérangé pas. Je lui fis un super méga regard noirs, il avait intérêt à vite oublié cette idée sinon il aurait affaire à moi . On était en ce moment dans le salon et mon père avait fini par prendre la parole. Je ne dis rien même si j’avais envie de m’en mêler je préféré rien dire par peur de me prendre une rouste par mon papa d’amour, mais j’avais trouvé qu’il y allait un peu fort. J’aimais mon père et mon copain aussi et je ne pouvais pas le laisse dire ça. Déjà parce que Freddy allait surement m’en vouloir de ne pas avoir pris sa défense et d’un autre coter parce que ça ne se faisait pas ! Après avoir dit mon ‘’Stopp’’, un blanc apparut dans toute la maison. Ma mère ‘avait pas compris pourquoi j’avais pris sa défense, alors je lui expliquais vite pourquoi en lui résument la situation, en lui disant toute la vérité et rien que la vérité. J’avais même peut-être fait une gaffe en lui disant que j’étais enceinte de Freddy et je leur avais bien fait comprendre qu’on allait le garder. Je serais doucement la main de Freddy en lui lançant un regard. Mon père ne savait plus trop quoi dire et ma mère non plus. Après quelques minutes je repris « Dites quelques choses, je vous en prie … » Ma mère vida son verre avant de dire : « Qu’est-ce que tu veux qu’on dise ? On apprend que tu es en couple avec lui depuis presque un an et qu’en plus tu es enceinte … » Je la regardais presque étonnais de sa réaction. « J’aurais pensé que vous seriez content pour nous, ou plutôt pour moi. Que vous fasiez un effort un peu, mais évidemment je me suis trompez. » Mon père repris : « On est heureux pour toi, mais on te comprend pas. Tu viens nous voir en pleur un beau jours en nous disant que toi et lui c’est terminé, puis on vient te voir par surprise et tu nous annonces que tu es enceinte d’un mec qui se dogue pour oublier tous ces malheurs, ça ne m’étonne pas que vos enfants fase la même chose, vive le modèle qu’il est. » « Il se droguait ! Ecouté sa va être clair, net et précis. Vous faites ce que vous voulez de votre vie, mais si vous ne respectez pas la mienne, pour le moment, ça ne sert à rien de venir. D’ailleurs, la porte et là et vous pouvez partir tout de suite de chez moi. »

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