La journée était plutôt tranquille, il y avait du soleil, les s’oiseaux chantaient, aucun nuage à l’horizon, c’était une belle journée. La petite avait décidé de passé la journée avec son cher oncle, Steven. Mais sans moi, je ne savais pas pourquoi enfaite, mais pour moi ça m’arranger tous simplement parce que je pourrais passer mon après-midi avec mon cher Freddy d’amour. Je m’attachai mes cheveux cours et blonde avant de partir de chez moi. J’avais envie de marché jusqu’à chez lui, surtout que ce n’était pas très loin en plus. Une fois arrivé, je toquai à la porte, heureusement il était là et en bonne forme. Je pénétrais l’intérieur et resta un moment dans sa villa. Deux bonnes heures plus tard, ils décidèrent d’aller se promener à la plage, mais comme ce n’étais pas à côté ils prient la voiture de Freddy, mais feignant comme il est, il me donna les clés pour que je conduise. Je n’allais pas refuser sinon il allait se plaindre pendant tout le voyage alors, je pris les clés et alla du côté du conducteur. Une fois installé, et que monsieur le paresseux aussi soit installé. Je mis les clés dans le contacte puis pris en sortis la voiture de l’allé pour prendre en suite en direction de la plage. Pour l’instant tout aller pour le mieux, enfin pour l’instant.

J’avais la charge de sa voiture, quel exploit ! Il devait avoir vraiment confiance en moi (même un peu trop) pour me donner les clés et m’autorisé à conduire dedans. « Désolé de pas montrer mon enthousiaste, excuse-moi » Dis-je avant de monter dans la voiture. Une fois la ceinture mise et que lui aussi soit installé, je pris en direction de la plage. Le soleil se faisait voir simplement parce qu’on avait du mal à voir la route, et en plus le grand feignant à cotée. Mais voilà ce qu’y se passa arriva, j’étais malgré tout concentré sur la route sans vraiment l’être quand Freddy s’affala sur moi pour pouvoir tournée à toute vitesse – puisque doué comme je suis je n’avais pas vue qu’il fallait tournée - et on se prit bien-sûr le première arbre qu’il avait. Puis après, le trou noir. Qu’est-ce qu’il c’était passé ? Je ne savais plus, j’étais resté figé. Je repris mes esprit peu de temps avant que l’ambulance arrive. J’avais mal à l’épaule, elle me faisait souffrir même et à cause du par brise brisé je m’étais ouverte un peu sur l’un de mes joues. Je tournai ma tête vers lui et dit paniqué : « Freddy, je suis désolé ! Excuse-moi. Ca va tu vas bien toi ? Rien de casser ? »

Oui, j’avais une chance pas possible de montrer aux garçons qu’on allait croisé sur la route, qu’on pouvait avoir confiance à certaine femme en voiture. Mais bien-sûr je pensé trop vite car, moi qui pensé que j’étais doué au volant et que je pouvais faire aucun dégâts sur la route. Ce n’étaient pas le cas aujourd’hui, au lieu de me concentrer au maximum sur la route, je parlais avec Freddy et en plus le soleil qui nous éblouissait je n’avais pas vue la voiture qui était juste devant nous, mais Freddy oui et c’est même grâce à lui qu’on est en vie et que personne n’est mort. Pendant quelques temps, j’étais resté figé, je ne savais plus ce qui c’était passé. Où est ce que j’étais aussi ? C’était le trou total. Oui, le trou total. Quand je revenais à moi, je me tournai vers Freddy qui était à moitié allonger, j’étais sous la chose et j’étais tétaniser. J’espéré qu’il ne lui soit rien arrivé parce que tout ça était de ma faute. Il était là, allonger sur moi et inconscient, mais heureusement il finit par se réveiller. Ce qui m’enleva un poids, parce que je savais qu’il n’était pas mort. « Oui, ça va t’inquiète pas, cava »dis-je d’une douce voix. Non, enfaite ça n’allait pas trop, mais je voulais le rassurer. Je fermais les yeux doucement avant de mes ré-ouvrir. Ils voyaient tous les deux qu’ils n’allaient pas bien, mais pour soulager l’un et l’autre ils mentaient. Je serai doucement sa main. Les ambulanciers arrivèrent enfin vers nous. Ils nous posèrent des tas de question avant d’arriver à nous détacher et de nous transporter dans deux ambulances séparées.

Au finale, j'étais soulagé, soulager qu'il n'est pas eu de mort et que la petite ne soit pas dans la voiture avec nous. Déjà que j'étais en train de culpabiliser à cause de notre accident de voiture, je n'imagerai pas si la petite aurait été avec nous. Enfin Bref, le plus important c'est qu'on aille bien tous les deux mêmes si on sort de cet accident avec quelques marques. J'avais serré la main de ce celui-ci doucement avant que le secours arrive. Après leurs différentes questions posées pour savoir si tout aller bien ou pas, ils ont fini par nous sortir de la voiture. Pauvre petite voiture, elle en avait pris un choque aussi. Bien-sûr j'allais réparer les réparations sans soucis. Une fois arrivée à l'hôpital, on passa une bonne heure à l'hôpital. Elle avait un bleu à l'épaule et cinq petits points de suture sur ça joue qui était ouvert à cause du par brise brisé. L'infirmière me pris un peu de sang à mon tour, comme je vis que Freddy au loin qu'il était tout seul, j'allai le rejoindre doucement avant de dire : « Salut toi, alors tout va bien pour toi ? J'suis encore désolé Freddy, je payerai les réparations. » dis-doucement.

Une fois m'a prise de sang faite, je sortis de la pièce où j'étais installé depuis mon arrivée. J'avais peur qu'il arrive quelque chose à Freddy, j'avais peur qu'on vienne me voir et qu'on me dire que Freddy était dans une chambre d'hôpital inconscient ou alors qu'il est en train de se opérait de je ne sais quoi. Mais heureusement non, il était en ce moment sous mes yeux et je ne pus m'empêcher de lui sourire un peu. Quand j'avais vu son n'atèlle, je fis une petite grimace. J'étais en ce moment en face de lui et dit : « Pauvre petit bras de Freddy. » Je le regardai doucement avant de lui sourire. « Oui, ça va. Je sors avec quelques égratignures. Mais ça va t'inquiète pas. » Oui, j'étais en train de culpabilisé pour sa voiture. Je le regardai droit dans les yeux avant de mettre mes mains sur ses bras et lui caressai doucement. Avant de dire : « Non, mais si tu n'aurais pas intervenue on ne sera peut-être plus là. » J'allai dans ses bras quelques instants après lui avoir donné un baiser sur sa joue.

Pendant quelques temps, il n'allait pas pouvoir servir au bar à cause de sa petite entorse qui devait lui faire et en plus tout ça par ma faute. Peut-être que je devais avoir besoin de lunette, aussi je n'avais pas pensé à prendre mes lunettes de soleil. Quelle idiote de les avoir oubliés, c'était peut-être le début d'une maladie comme l'Alzheimer. « J'espère pour lui en tout cas. » dis-je doucement en le regardant dans les yeux. C'est vrai que sur le coup j'avais de la chance et lui aussi de ne pas avoir finis comme mon cousin d'amour (a). Au finale, qui se serait occupé de nous trois ? La petite ? Non bien trop jeune. Sa aurait était surement mes parents et en plus, si on serait ennuyer, on aurait fait des courses de fauteuil roulant. « Mais ça va, je suis entière et j'ai un peu mal à l'épaule à cause du bleu, mais après ça je pète la forme. » j'étais en train de culpabiliser , mais je n'y pouvais rien, c'était plus fort que moi. Je sortis un petit : « D'accord. » Je le regardais dans les yeux aussi avant de prolonger le baiser qu'il venait de m'offrir. Après quelques longues minutes de patiente, on vint enfin vers nous pour nous dire si on pouvait partir de cet hôpital. « Je vous rassure tout de suite en vous disant que vous pouvez rentrer chez vous pour vous reposer Monsieur Cooper et Mademoiselle Holzer. » Je souris de soulagement, j'étais bien contente de ne pas passer la nuit ici. L'infirmière repris ensuite : « Et aussi, toutes mes félicitations Mademoiselle Holzer, vous êtes enceinte. » Mes yeux sont devenus assez gros avant de dire : « Je ... je... je suis enceinte ? » Je me retournais vers Freddy pour le regarder avec un grand sourire aux lèvres et des yeux presque pétillant.

Lui feignant ? Non jamais. C'est le poil dans la main en faite qui a beaucoup trop poussé ^^. *Okayje sors*. Un massage, ça serait avec un trèèès grand plaisir. Je ne pouvais as le refusé ça . « Oh, avec grand plaisir, je ne refuserai pour rien au monde et surtout si ça vient de toi ^^. » Après cette longue journée, un petit massage ne serait pas de refus. Je l'aurais bien-sûr si on ne reste pas dormir dans cet hôpital. D'un parce que tous comme plusieurs personnes, je n'aimais pas les hôpitaux et de deux parce que j'allais devoir prévenir mon Steven pour cet accident et je n'avais pas envie de l'a foller. C'est vrai qu'on commençait à s'ennuyer et le temps ne passer pas doucement, mais une infirmière vena d'arriver, enfin c'était pas trop tôt on n'allait pas mourir sur place . Bonne nouvelle, on était vivant et on n'avait pas besoin de rester ici pour passer toute sorte de teste. Mais ce n'étais pas tout parce qu'on venait de nous annoncer une autre nouvelle et meilleure que celle-là aussi. ON ALLE ÊTRE PARENTS, ça c'est une surprise dans laquelle on ne c'était pas attendus et je te rassure mon petit Freddounet, tu es bien le papa il n'y a pas de doute là-dessus ^^. Je le serais dans mes bras doucement avant de le regarder droit dans les yeux, de l'embrasser doucement et dire : « Tu te rencontres Freddy ; on va devenir parents. C'est merveilleux. »

J'étais contente, heureuse et même émut de pouvoir devenir maman, une deuxième fois. Je savais que c'était un bonheur même si je n'avais pas vraiment vue les toutes premières choses d'Anaëlle. J'espère qu'elle serait contente d'avoir une petite soeur ou un petit frère, même si le papa était Freddy. Oui parce que la relation Freddy Anaëlle, ce n'était pas tellement cela et je le savais très bien. Enfin Bref, je ne cessais pas de montrer ma joie avec un grand sourire sur mes lèvres. J'avais embrassé et serré mon Freddy dans les bras. « Moi aussi je suis heureuse, je t'aime Freddy moi aussi » Dis-Je en posant mon frontle siens. Camper ici ? Ce n'était pas une mauvaise idée, pourquoi pas ? Non je rigole parce que je ne voulais pas rester ici toute seule, je préfére être avec le futur père de mon enfant. Je rigolais à sa remarque et dit : « Non, je préfère rester avec toi, ne me laisse pas ici . » Dis-je avant de lui prendre la main (celle qui n'était pas dans l'attelle) On signa les papiers, puis on se dirigea vers la sortis, une fois sorties je dis : « On prend quoi ? Le bus ? Un taxi ? Ou on marche ? »

J'espérais que cela se passerai bien puisque en fait, on en jamais parlé toutes les deux, elle ne m'a jamais demandé si elle avait envie d'un petit frère ou d'une petite soeur, on verra quand je lui dirais. Oui j'avais eu l'idée de marcher un peu ça ne pouvait que leur faire du bien après tout, comme sa on pollue moins la planète MONSIEUR. Non, mais enfaite j'ai proposé ça comme ça, c'est sortis de ma petite tête blonde. Non, en faite je ne sais même pas pourquoi j'ai posé la question parce que je connaissais déjà la réponse de mon Freddy. J'avais rigolé à sa réaction avant de dire : « Ben quoi ? Il faut faire du sport, même après un accident » Non, je disais ça seulement pour le faire chier. « D'accord, c'est comme tu veux. Mais c'est vrait que tu as raison, le taxi c'est mieux ^^. » Oui, j'avais pris sa seule et uniquement libre et il fallait que j'y fasse trèèès gaffe alors. Je dis par la suite en lui faisant un ''oui'' de la tête : « Sa marche, je te suis alors . » Comme-ci je ne connaissais pas le chemin de chez lui. Je le suivis dehors et une fois qu'un taxi fini décida de s'arrêta, on rentra dedans. Une fois qu'on soit tous les deux attachaient, je donnais au chauffeur, l'adresse de mon chéri.

Au la pauvre petite voiture, mais qu'est-ce qu'il lui est arrivé ? Parce que ce matin, quand je suis arrivée chez toi, elle pettait la forme. Bon okay je me tais c'est miiieux. Le transport en commun ou le taxi était la seule solution, ou alors, mais comme il ne voulait pas, on aurait pu marcher. « Non, je n'ai pas envie de le faire toute seule, ce n'est pas marrant. Tant pis, ça ne se fera pas. » Je n'avais pas envie de marcher de toute façon, j'avais plutôt envie de me reposer en ce moment. Sa réplique, me fit beaucoup rire, lui toujours raison ? Je n'en suis pas sûr. Pour ne pas le vexé je dis : « Oui si tu veux ^^ » Une fois installée dans le taxi, je pris la responsabilité de donnerl'adresse de Freddy et pas chance cet accident ne m'a pas fait oublier la mémoire ^^. On était arrivé en moins de 8 minutes chez mon chéri et une fois qu'il a payé, je sortis avec lui après avoir aussi remercier le chauffeur. Je le regardai et je dis : « Je l'espère aussi pour toi . » Dormir sous les étoiles, mais oui je vais le croire. Je le regardai chercher ses clés puis je dis : « Mais non, au pire tu viendras dormir à la maison, ce n'est pas bien grave. » Oui, parce qu'il était Hors de question qu'on dorme sous les étoiles. Je dis ensuite : « Tu trouves ? »

Moi ? En ce moment je me fiche de lui, mais non jamais je ne pourrais faire surtout à mon Freddounet d'amour. En faite si, je me foutais de lui, mais un peu pas beaucoup et ce n'était pas méchant. Je dis en souriant : « Mais non pas du tout. Je ne vois pas de quoi tu parles mon chou » C'est vrait que lui il pourrait dormir dans les bois avec un ourse à cotée, mister Cooper et trèèèès courageux, mais c'est un homme et moi je suis une fille pas trèès courageuse. « Mais tu sais mon coeur, moi je peux rentrer chez moi je ne suis pas obligé de te suivre et de dormir dehors, on va nous prendre pour des SDF's. » Non, il dormira tout seul, sauf si on a une tente et qu'il y a des étoiles filantes au-dessus de nous ça serait super romantique, si non JAMAIS . J'étais contente de voir qu'il y avait retrouvé ses clés quand même. Je rentrais dans sa belle villa et je retirais mon blouson avant de m'asseoir sur le canapé et de dire : « Je ne sais pas toi, mais cette journée ma épuisé. »

C'est la faute à qui si je deviens sadique, pas la mienne en tout cas, je crois que je te fréquente un peu trop et tu commences ou plutôt tu continus à déteindre sur moi. Je crois que je vais m'éloigner de toi pour quelques temps, le temps que je redevienne la fille que j'étais avant. Non, même ça je ne peux pas le faire, je suis tellement amoureuse et trèès proche de lui que quelques semaines sans lui me ferais que souffrir. ça m'avait fait énormément souffrir ses six semaines sans que je n'étais pas prête d'être séparé de lui . Oui, on aurait ressemblés à des SDF's je n'ai pas envie qu'on croit que du jour au lendemain j'ai tous perdu, car c'était le contraire j'avais tous gagnés : L'homme de ma vie, une fille merveilleuse, un futur Cooper/Holzer, mon cousin, mes amis. Enfin bref, mais de toute façon il serait venu avec moi je ne le laisserai pas tous seul, il n'est pas assez grand pour ça . « Mais non, tu viens avec moi si il faut. Je ne te laisserais pas tous seul n'est pas peur mon amour. » dis-je avant de lui donner un baiser sur ses lèvres. On était à l'intérieur, Halléyia ! Je n'avais pas hésité à m'asseoir sur le canapé une fois rentré et ma veste enlevée ! Oui, j'étais devenu feignante et alors « Rho c'est bon, pour une fois qu'on inverse les rôles tu ne vas pas te plaindre, si ? » demande-je en le regardant d'un air amusé. Si un massage des plus douces mains que je connaisse, je ne dis pas non. « Si je veux un de tes massages, mais tu fais gaffe à mon épaule parce que j'ai super mal, je pense que ça passera demain grâce à ton massage »

C'est sûr que je n'allais peut-être pas choper toutes les qualités de Freddy, mais plus ses petits défauts que j'aime bien sûr c'est d'ailleurs ce qui fait son charme intérieur. Alors oui, je serais fière d'hérité de ses petits défauts tout mignon. Le petit sera une vraie pile électrique, c'était obligé que ce soit un mini Freddy ou alors une minie moi, il portera forcement les défauts de son père et les qualitées de sa mère, enfin j'espère . On aura beaucoup de courage avec la petite de supportaient deux gamins, oui on peut dire que des fois mon Freddy était pire qu'un gamin. Oui, il fallait que je saches si tout va bien pour lui parce qu'il a peut-être 25 ans et toutes ses dents, mais à l'intérieur on dirait à gamin de quatre cinq ans. « On ne t'inquiète pas , je t'en fermerais dans une chambre si il le faux ^^ . » Presque il allait prévenir la presse comme quoi j'avais fait la feignante ce soir-là, sacré Freddy x). Avec lui on s'est jamais, mais c'est vraie que pour une fois je pouvait lui faire confiance. Alors j'enlevais mon haut puis attacha mes cheveux courts. Si il a besoin il dégrafera lui-même mon soutien gorge. (a) Puis, je m'allongeais sur le ventre et attendit sagement mon amour.