Raconte nous l'histoire de ton personnage :
Milieu des années 80’s, une femme pulpeuse et aguicheuse accosta au cours d’une soirée privée un homme de dix ans son aîné. Elle avait 19 ans, il en avait 29. Marié et un projet d’enfant en vue, l’homme au charme princier s’enticha de cette jeune étudiante le temps d’une nuit. Le souvenir de cet écart fut oublié et ramené au stade de secret tabou dès le week-end suivant. Il ne comptait pas dévoiler un jour à son épouse ce qu’il fit cette nuit là par pure lâcheté et amour-propre. Il avait de plus travaillé si dur tant d’années pour pouvoir s’offrir cette vie typiquement américaine et confortable qu’il ne souhaitait pas tout mettre en danger par soucis de sincérité. Malhonnête ? Oui, et qui ne l’est pas ? Il avait pris du bon temps car il pensait le méritait et comme le disait si bien le proverbe : « Pas vu, pas pris. »
Cependant, un mois plus tard, des appels répétés dérangèrent les nuits déjà agitées de Mrs Andrew. Enceinte d'un mois, le téléphone de la maison ne cessait de sonner dans les quatre coins de la maison alors que son époux était en voyage d’affaire à l’autre bout du pays. Étonnamment, l’interlocuteur raccrochait dès que la femme émettait un « Allô » exténuée par ces dérangements répétitifs. Au bout d’une semaine, les appels cessèrent et Mr Andrew rentra. Lorsque sa femme lui parla des appels, il ne sembla pas surpris mais plutôt fiévreux. Il avait reçu des appels à son bureau également et son collègue lui avait donné l’identité de la personne qui appelait. L’étudiante était enceinte. De cinq mois, de lui. Morgane, elle s’appelait Morgane Cavendish. Elle ne demandait pas la reconnaissance du père bien qu’elle fut totalement paniquée et désemparée par la situation. Elle ne comptait pas briser le couple de son amant d’un soir. Tout ce qu’elle demandait, c’était de l’argent pour élever le gosse. Car oui, elle comptait le garder. Question de foi.
Mr Andrew, ayant la garantie que l’envoi régulier d’argent cèlerai à jamais leur secret accepta à contre cœur. Ainsi, Morgane accoucha du fils adultérin au cours d’une brûlante journée d’été : le 16 novembre 1985. Un magnifique bébé né d’une union sans amour mais élevé d’une affection sans égale de la part de sa mère et surtout de sa grand-mère. Nommé Stefen Nathan Andrew d’après son grand-père décédé en début de cette même année, sa mère lui donna clandestinement le nom de famille de son père.
Stefen grandit donc dans la grande demeure que possédait sa grand-mère et tous les trois formèrent une famille distordue et peu commune mais soudée comme aucune autre. Un grand domaine faisant parti du patrimoine familial mais mal entretenu offrit à l’enfance du gamin un terrain d’exception. Pouvant y déverser toute l’énergie que pouvait posséder un môme de 7 ans et la frustration d’un manque d’une présence masculine dans sa vie, il passait le plus clair de son temps à s’y défouler avec ses petits amis et entreprit même de construire une cabane dans l’immense chêne qui se présentait derrière la maison. Peut-être parce que personne ne lui apprit à jouer au football que lui, il s’amusait à créer des vêtements aux poupées artisanales que lui glissaient entre les mains sa grand-mère. Ce fut également à cet âge qu’il entra dans l’École primaire du quartier. Avouons-le, avec son air gringalet, ses inaptitudes aux sports dis viriles et ses gestes maniérés, le jeune Stefen n’eut pas beaucoup d’amis masculins jusqu’à ses années lycéennes. Doué naturellement mais vite enflemmardi, l’adolescent réussit toutes ses années en figurant dans les dix premiers de la classe. Ce fut d’ailleurs durant cette période de sa vie qu’il vécut ses plus belles rencontres. En effet, étonnamment, son aspect élancé et ses airs de jeunes premiers lui permirent de séduire bien des jeunes demoiselles de son âge ou plus âgées. Tout juste âgé de 15 ans, il vécut un été passionnel et tumulteux avec une demoiselle venue passée ses vacances estivales a Los Angeles. La fin de l’été venue, ils se séparèrent dans un commun accord, sans larme ni remords. Il s’était agit d’une phase qu’ils savaient tous les deux éphémères et ne valant que le titre d’ « amour d’été ».
A la veille de son entrée au lycée de L.A, sa grand-mère décéda d’une suite d’une crise cardiaque au cours d’une nuit sans nuage de juin. Profondément affecté par cette perte soudaine d’un des êtres les plus proches de sa vie, Stefen traversa une douloureuse période qui dura plus d’un an. Mais ce fut surtout sa mère qui fut affligé. L’annonce du décès de sa vieille mère fut un véritable choc et bien que son fils avait toujours fortement besoin d’elle, elle se laissa tragiquement aller vers la dépression et la détresse. Une responsabilité cruciale pesa alors sur les épaules du jeune homme qui pour l’unique bien de sa mère prit la difficile décision de l’interner dans l’hôpital de santé le plus réputé du pays. Dès lors, Stefen projeté brutalement dans les réalités du monde adulte ressentit le besoin essentiel de retrouver la trace de son père. Ce ne fut pas une tâche difficile, sa mère gardant son numéro dans son tiroir, sous une petite photo de l’homme dont Stefen devait à présent connaître tous les détails tellement il l’avait regardé. Cet homme, il ne le connaissait qu’à titre indicatif : il l’appelait certes à chacun de ses anniversaires mais mis à part l’argent qu’il envoyait à sa mère, rien de plus ne lui parvenait. Il ne s’était jamais rencontré et d’ailleurs Stefen ne l’avait jamais proposé. Cet homme qu’il ne pensait pas un jour pouvoir appeler « papa », il ne l’aimait ni le détestait. Il avait comprit qu’il ne servait à rien d’attacher le moindre sentiment à une personne qui n’avait rien fait de plus que d’engrosser sa mère. Il l’appela alors mais tomba sur Mrs Andrew. Naïf mais surtout profondément désespéré, Stefen lui raconta tout. Dès lors, il ne sû exactement ce qu’il se passa de l’autre côté de la ville, mais à chaque fois qu’il arrivait à avoir son père au téléphone, c’était une voix abrupte et un ton sec. En revanche, depuis la révélation de l’adultère, il apprit qu’il avait une sœur. Ce fut l’unique personne de cette famille découverte qu’il pensait affectionner. Elizabeth Andrew. La fille unique, la fille légitime. Elle avait un peu tout ce qu’il aurait aimé avoir. Un père et une mère aisés, aimants et toujours près d’elle. Il l’enviait mais ne la maudissait pas. Tous les mois depuis que le secret avait éclaté – soit à la suite de la détérioration de la santé de sa mère, ils s’étaient appelés et discutaient des soirées entières. Plus le temps passait, plus un lien fraternel naissait entre eux grâce à deux simples appareils téléphoniques. Aussi peu concret et aberrant que pouvait sembler cette relation, elle se forgeait de plus en plus jusqu’à ce que Stefen accepta de qualifier Elizabeth de « p’tite sœur » (à titre affectif).
Les évènements se précipitèrent dès lors que Morgane, à bout de force et de nerfs abandonna sa vie et son fils par la même occasion. Perdu, choqué et accablé, Stefen ne vit son destin sauvé et évita à son tour une fin tragique que grâce à son père qui accepta pour la première fois de prendre toute l’ampleur de sa responsabilité en lui proposant d’intégrer l'université et payer les frais dans les plus brefs délais afin d’être rapproché de sa demi-sœur. Malgré les éclats de colère de sa femme et ses menaces de séparations, Stefen âgé de 16 ans et demi rejoignit la villa de son père, la mine déboussolé et l’âme déchirée d’avoir perdu sa mère. Il ne savait pas vraiment comment il allait pouvoir s'intégrer mais avec le temps, il y réussit. Depuis qu'il a terminer ses études, il bosse dans le bar de la ville et s'amuse a draguer les filles qui fréquente le bar. Lors d'un été, il rencontra une jeune femme avec qui le courant ne tarda pas à passer. Bien que le soir de leur rencontre, il était bourré et elle l'avait aider a rentrer chez lui, il eut le coup de foudre pour la belle blonde sur la plage de L.A. Se rapprochant petit à petit d'elle, ils restèrent de tres bon amis, malgré que tous pensent qu'ils y a plus entre eux. Vrai ou faux? Enfin Stefen l'aime plus que tout mais il ne sait pas que c'est réciproque et bien qu'il dise souvent ce qu'il pense, il n'ose pas franchir ce cap la. Peureux? Égoiste? Hypocrite? Non, il ne veut simplement pas perdre la femme qu'il aime, bien qu'ils se disputent souvent... tres souvent. Jalousie? Certe, il n'apprécie pas que Aloyssia fréquente d'autres mecs et vice versa. Complexe l'amour vous dites? Oui, enfin, tout reste a voir et surtout a discuter sans dispute pour que peut etre Aloysia et Stefen forment un couple.. Histoire a suivre.

Décris nous son physique et son caractère
Physique: Une tignasse blonde et ses deux grands yeux bleus-verts brillent comme des safirs et captent instantanément les regards qu’ils croisent. Un nez délicat centre son visage fin qui parait parfois trop maigre. Le reste de son physique reste très élancé et sa taille impressionnante (1m85) ne passe pas inaperçue. De plus, sa démarche est posée voire lente. Etre pressé, ça ne le connaît pas. Pour lui, rien ne sert de courir, il faut partir à point. Pas étonnant me direz vous alors qu’il soit si souvent en retard ... Il aime bien se faire désirer.
Vestimentairement parlant, Stefen porte l’uniforme scolaire depuis le collège, et de là, il apprit tôt à s’habiller avec beaucoup de sobriété et d’élégance. Toutefois, il porte beaucoup d’importance à toujours ajouter un détail à ses tenues. Histoire de donner de renforcé le caractère et la distinction de sa personne. Aussi à l’aise dans un costard Gucci qu’un jean Diesel et un polo Lacoste, Stefen porte un point d’honneur à toujours être noblement habillé. D’ailleurs, les grandes boutiques de la ville de Los Angeles n'ont pas manquées de le compter rapidement comme un habitué. Néanmoins, il sait rester vigilant financièrement.

Caractère: Stefen Nathan Andrew est une teigne aux instants de pure folie & de zèle. Paradoxe ? Toute sa vie, chaque parcelle de son être l’est. Il est un énergumène foncièrement susceptible. C’est d’ailleurs autour de ce défaut que se fixe la majorité des autres caractéristiques de sa personne. Ainsi, il suffit d’une remarque frigide, d’un regard déplacé pour le détourner complètement de ce qu’il entreprenait. Il se met alors à ruminer sévèrement un instant, le regard brûlant sur la personne l’ayant atteinte avant de se décider à aller de lui rentrer dedans. Une sorte d’instant de réflexion, de délectation à observer les derniers instants paisibles de son ennemie de l’heure.
Brutal mais pas en manque de subtilité, il n’hésite pas à déballer tout ce qui lui presse le cœur tout en respectant la majorité des bienséances. En sommes, il engueule en n’haussant pas le ton. Ce n’est pas de l’hypocrisie, c’est du savoir vivre. Souvent narquois, il en énerve plus d’un pourtant à prendre son air suffisant lorsqu’il étale ses sentiments. Pas de bol parce qu’avec lui, c’est tout ou rien.
Et quand c’est rien, c’est réellement rien. Il peut rester des heures assis sur une chaise à fumer clopes sur clopes sans dire le moindre mot. Dans ces situations, il ne vaut mieux pas tenter de le sortir de sa stagnation puisque d’une, cela ne servirait à rien et de deux, tout ce qu’on risque de récolter est la mémorisation dans l’esprit de Stefen qu’il devra à l’avenir vous éviter. Arrogant, son but est évidemment d’attirer l’attention lorsqu’il agit de la sorte. Tout est une question de démarquage.
Mais ne partez pas trop vite dans les conclusions. Stefen fréquente des gens, pas mal de gens. Il est en effet toujours en train de claquer une bise à quelqu’un – même s’il faut avouer que parfois, il ne sait pas tellement à qui il a à faire. Néanmoins, outre ces connaissances fugaces, il a de véritables amis qui l’apprécient sincèrement. En effet, au milieu de tous ces défauts dépeints, de grandes qualités inégalables l’animent. Sa sincérité d’abord. Très spontané, il avoue tout et ne reste jamais dans le secret. Très abordable dans ces beaux jours (qui sont majoritaires), Stefen peut sans arrière pensée se taper un trip grotesque en compagnie de n’importe quel inconnu. Il sait ne pas se prendre trop au sérieux lorsqu’il le faut et peut même en venir à se moquer de lui-même. Le langage facile, il sort souvent des phrases complètement idiotes aux effets comiques détonants, même lorsqu’il ne se veut pas particulièrement drôle. Rançon de la gloire.


A t-il une particularité ? (si oui, laquelle)
Électrique, il frétille littéralement lorsqu’il est d’excellente humeur ou particulièrement ravi de quelque chose. C’est d’ailleurs dans ces moments là que son maniérisme s’expose le plus. Car en effet, le jeune homme a des mimiques efféminées plus ou moins prononcées qu’il assume entièrement. Il en joue même parfois. Se glisser la main dans ses cheveux avec douceur, hausser le menton négligemment ou encore parler avec les mains sont des gestes quasi-quotidiens chez ce jeune homme pourtant entièrement hétérosexuel.
A ces mimiques féminines s’ajoutent quelques particularités de la personnalité communément rattachées à la gente du sexe opposé. En effet, Stefen est surprenant bavard lorsqu’il s’y met et peut même être indiscret dans ses interrogations. Les questions embarrassantes et déplacées, ça le connaît et ça ne lui fait pas peur. D’ailleurs, il se prend par là même souvent de violentes portes mais tout ce que cela lui fait, c’est de se dire que cette personne à forcément quelque chose à se reprocher et qu’elle mérite une enquête plus poussée sur sa personne. Commérages, médisances et mesquineries sont ses dadas fétiches lorsque le monde qui l’entoure le plonge dans un profond ennuie. Ainsi, de ses années collèges, 70% des rumeurs lancées avaient pour sources ses uniques lèvres. Naughty boy.

MDP : okByEv'

Célébrité : Alex Pettyfer

Scénario : oui, celui de Aloyssia S. Jackson

Formulaire : oui

Groupe : normaux

Prénom : bonne question
Age : 25
Référence : pub
Présence : A quel fréquence viens-tu ? ( 6/7jours)
Double compte : non
Remarques : .

Nom : Andrew
Prénom(s) : Stefen Nathan
Age : 25
Lieu de naissance : L.A
Origine(s) : américaine
Statut : Célibataire - Fiancé(e) - Marié(e)
Orientation : Hétérosexuel - Bisexuel - Homosexuel