Quand il se retourne, il avait la chandail à la main. Je souris et puis sans le vouloir, je me mise à rire. Je me stoppe net de rire comme une folle. Je le regarde encore une fois et puis je lui dis. «Je trouve que tu ressemble à Maverik. Mais juste avec des cheveux plus courts. Juste a y penser, j'ai une folle envie de l'embrasser. » Je roulais les yeux pour finalement le regarder me fixer. Il avait l'air de songer. Or, je voulais simplement qu'il s'apperçoive que je lui raconte mon ''mal'', mais je ne voulais simplement qu'il s'apperçoivent que je fessais aussi un plan.

Je souris quand il s'approcha de moi. Il enfile finalement son chandail et je lui dis : «Peut-être qu'un jour ton rêve va se réaliser. Qui sait?» Je met a rire et puis quand il s'éloigne pour aller à sa voiture, je le vois vite regarder dans ses poches. Je vois alors qu'il se rend compte que c'est moi qui les as. Je souris et je commence à reculer en voyant qu'il se rapproche. «Des clefs? Mais ... J'ai pas de clef, moi. Tu crois que j'ai des clefs?» J'affichais un sourire et je commençais a accélèrer un peu plus.

«Tu veux dire de ton corps que je surnomme molly le mollusque?» Je savais très bien que moi aussi, j'étais capable de l'énerver. Mais pas comme lui le fesait avec moi. Je n'étais pas sa souffre douleur, mais c'était plutôt ambigue ... C'était totalement différent de bien des fois. Cette fois, c'était beaucoup plus que les limites. J'amasse un peu de terre dans mes mains. «Pff ... Obtenir tout ce que tu veux? Alors si tu obtiens tout, pourquoi comme tu le désir, je ne suis pas dans ton lit?» J'avais bien raison. Alors qu'il me court après, je me met a rire et je dis : «Crotte de moineaux en vu!» Je lui lançais toute la terre que j'avais amasé en pleins visages tout en continuant de courrir tout en riant.

«Je suis certaine que tu es impatient.» Elle continua de courrir, mais quand il la plaqua à l'arbre, elle leva les yeux au ciel. Il avait briser le fun. Il hausserait vraiment aller les chercher lui même ? Je ne le crois pas. Je soupirais et je lui dit à mon tour ; «Tu sais, je peux toujours refaire la même chose que toute à l'heure ou bien tout simplement te cracher au visage. Mais j'avoue que le cracha te rendra un air encore plus ''sexy'' comme tu le cite.»

«C'est obligatoire?» Je le regardais reculer. Il avait vraiment peur que je recommence. Je pouffais de rire. Il laisse ses mains lever vers moi. Je n'avais pas l'intention de lui donner. «Alors vas-y, vu que tu n'es pas gênée.» Je le regardais droit dans les yeux. Il hésita un peu et puis il finit par trouver la bonne poche. Je levais les yeux au ciel. J'ai remarqué qu'il commençait même par aimer mes blagues. Alors, pourquoi ne pas continuer encore ? Je commençais à danser. «Hakuna Matata. Quel phrase magnifique ! Hakuna Matata. Mais quel chant magnifique ! Ce nom signifie que tu vivras ta vie, sans aucuns soucis. Phylosogiiiiie ! Hakuna Matata.» Elle finit par lui reprendre ses clefs.

Je le regardes et je lui fais un clin d'oeil. «Ça c'est entre toi et moi, mais non. Je ne suis pas folle. J'adorais regarder le Roi Lion quand j'étais petite.» Je souriais. Elle avait tellement hâte de pouvoir lui avouez qu'elle allait fait un mauvais coup qu'elle pouvait regretter. «Tu préfère l'option monter ou marcher?» Je souriais.

Jezabel avait simplement envie de s'amuser un peu. Elle cherche autour d'elle s'il n'y avait pas de boue et puis finalement ... À gauche, elle fini par en trouver. Simplement à sa gauche. C'était assez facile. Elle l'écouta et elle voulait simplement voir un petit sourire Colgate. «Voyons voir. Oups ...» Elle lance les clefs de Nathaniel dans la boue et les reprend pour finalement lui lancer dessus. «Pendant que tu prends le plaisir d'enlever la tache, je crois que je vais alle faire une bonne sieste et en vérouillant toutes les portes de ma maison.» Elle fait même un oui de la tête quand elle dit la dernière phrase et recommence à marcher sur le sentier pour se rendre chez elle.

Je me retournais tout en marchant de reculons. Je ne regardais que le sol et puis je relevais les yeux vers lui qui ne fessait que fixer sa tache. Ne croyait-il pas que la tache pouvait partir ? Comme je vois qu'il est bien déçu ... Je devais bien l'aider à laver sa chemise. «Tu as essayé de me remonter le moral. Maintenant, c'est à mon tour. Je prend ta chemise et je fais tout pour que la tache parte. Et puis dans quelques heures, elle sera toute propre et sèche, chez toi. Tu en dis quoi?»

Je pouffais de rire quand il dit qu'il allait le faire sur un de mes habits. La tache allait partir avec ce que j'utilise comme détergeant. Je le regardais encore et puis je décidais de lui dire un truc. «Je peux toujours t'inviter au bar et te renverser ma bière sur ton jeans.» J'affichais un sourire moqueur. Lui, ce n'était pas grave si je mettais un sourire comme ça. Et puis il commença à marcher à mes côtés. Je continuais de marcher et puis j'acquit un sourcil. «N'essaie pas de faire ton galant.»

«J'ai dis que je t'inverais au bar ? Oups, je me suis trompé de conversation.» J'aime lui faire des sarcasmes, parce qu'à chacunes des fois, il le croit pour de vrai. Je continais de marcher et je traversais de l'autre côté de la rue pour rejoindre le trottoir. Je commençais à avancé et je lui dis : «J'ai toujours mon beau petit pied, mon cri qui perce les tympans et puis ma main pour une giffle.» Je continuais de marcher en me retournant.

Je le regardais je me regardais. J'étais tout trempé. Heureusement, ce n'était rien de bien grave parce que j'avais chaud dans cette si belle journée comme il l'avait mentionnée tout à l'heure. Je le regardait et j'acquis un sourcil encore une fois. Je ne pouvais pas évité de faire ça, c'était une manie chez moi. «Dis donc, tu as une folle envie que je montes dans ta voiture, toi.» Je roulais les yeux.

Je fais la même tête que sur ce gif. Je levais les yeux au ciel avant de lui dire deux mots. Enfin, je sais pas combien j'en dirais, masi bon. Juste pour lui faire encore une fois la moral. «Je ne me fais pas d'idée mon pauvre. Tu veux sans cesse que je te fasse la moral c'est ça?»