Je le regardais s'éloigner vers son appart, j'aurais voulu le rattraper et le retenir, je séchais mes larmes, il avait raison on n'avais partagé et je le voulais encre aujourd’hui a cette instant précis, fou de rage contre moi même.
Je sentais encore son corps chaud sous mes doigt, je fermais les yeux je revoyais son corps nu et en sueur, le goût de sa bouche, le plaisir ultime quand nous faisions l'amour, ce mouvement répétifif qui conduit à la jouissant, le sexe cette chose su simple qui amène dans un état second de bien être son sourire dément quand on n'a commencé. je courut jusqu'a sa porte et frappa lui demande pardon et me confondant en excuse, nous étions a peine en début d'après midi et je me jura de m'excusé jusqu'a ce qu'il ouvre la porte et puisions parler face à face et qui sait ce réconcilier sur l'oreiller.
Terry Watt me faire ressentir quelques chose qui m'étais inconnu, mais qui me plaisais, de l'amour non aucun rapport avec cela, du bien être surement.