Une simple belle journée. Je venais tout juste de regarder un DVD et je voulais maintenant prendre l'air. Prendre du temps pour moi. Je n'aimais plus la vie que j'avais auparavant. Donc j'ai décidé de la laissée de côté, mais je voulais revoir Maverik et Sam. Le seul problème c'est que la drogue m'avait envahit. Je ne pouvais en sortir, mais il avait confiance en moi. Je devais me sortir de où j'étais tomber pour revenir d'où j'étais déjà. J'arrivais finalement à la forêt où je m'y promenais tranquillement avec mon IPod où j'avais mes écouteurs dans les oreilles. Je ne voulais pas entendre le bruit de la nature aujourd'hui. Je voulais simplement être moi et ne pas être quelqu'un qui se calme ! Je continuais de marcher tout en regardant devant moi.

Je ne voulais pas tomber sur quelqu'un. Je voulais tout simplement me promener. Je reste finalement sur le petit pont et je regardais l'eau couler. Je continuais de la fixer et comme par magie, je vu apparaitre le visage de Maverik et Sam. Je secouais la tête et je fermais les yeux. Je ne pouvais pas penser à eux toujours. Je prend mon téléphone et je compose le numéro de Maverik pour finalement pousser le bouton ''talk''. J'entends finalement au bout du fil ; Oui allô ... ? Qui est-ce ? Allôôô ! Allôôôô ! Ça dois être un mauvais numéro... et il raccrocha. Je soupirais et je fixe mon cellulaire sans rien dire.

Je continuais de le fixer quand je sursautais. Juste en me retournant, j'apperçois finalement Nathaniel. Je soupire. Pourquoi fallait-il vraiment qu'il m'adresse la parole à chaque fois qu'il me croise. Je n'avais pas envie de parler avec des gens. Sauf avec Sam, mon fils, il me manquait tellement. Je continuais de le fixer et puis je regardais mon portable. Je le remet dans ma poche et je croisais les bras pour ler regarder. Sincèrement, que voulait-il? «Quelle belle journée pour te soucier de ma vie !» Je le regardais et je me demandais très bien ce qu'il allait répondre. Je n'étais pas tellement sociable aujourd'hui...

Je continuais de le regarder les bras croiser. Il adorait taper sur les nerfs des gens. Mais surtout moi. Ce que je détestait le plus ! Je soupirais. Fallait-il toujours qu'il se rabaisse et qu'ensuite il change d'humeur ? Je continuais de le regarder et tout en l'écoutant j'allais répondre à sa réponse. Je ne voulais pas continuer de lui parler et c'est bien pour cela que j'allais mettre la conversation close. «Bon alors tu veux savoir comment je vais. Je vais bien. Maintenant si tu me barre la route, tu le payeras, je te le garantis.» Je le regardais et je tournais finalement les talons pour continuer de marcher. Je le connais très bien et il allait venir encore une fois me barrer la route.

J'écoutais ce qu'il avait à me dire et je roulais les yeux. Après tout, il n'avait pas toujours raison. Je me retournais et j'avançais de reculons. Je le regardais et j'ajoutais un gros sourire pour lui faire plaisir. «Regarde, ce sera le seul sourire que tu vas avoir.» Il n'allait pas laisser tomber parce qu'il me rattrape aussitôt et me barre la passage. Je soupire. Comment pouvait-il faire toujours ça. Je ne l'aimais pas ni pour être mon petit ami ni pour être mon ennemi. Sauf quand j'avais besoin de drogue dans ce cas, c'était bien différent. «Petit un. Laisse le princesse, je ne suis pas celle qui attend le prince charmant dans sa tour. Petit deux. Je ne suis pas interessé. Tu le sais très bien. Je vais pas bien, là maintenant tu le sais. Plus de question.» Dis-je tout en fessant des signes avec mes doigts de un & deux.

Je le regardais marrer devant moi et je levais les yeux au ciel. Il n'avait que lui pour me taper sur les nerfs. Mais aussi pour me faire rager. Personne d'autre ne prenait temps le plaisir de le faire. Je le regardais dire sa petite phrase de '' j'aurais pu te retrouver dans mon lit ''. Je lève encore une fois, les yeux au ciel. «Tu te fait des idées.» Je continuais de marcher, mais il continuais de me suivre. C'est totalement n'importe quoi cette petite histoire. Quand même, je détestais qu'il me fasse rager, mais c'était son ''plaisir''. «Je peux toujours crier. Comme ça si tu es méchant, ils viendront à ma rescousse. Tu veux que j'essaie, je suis prête (a).» Je le regardais en lui lançant un regard d'encouragement.

Je connais très bien mes limites, mais j'adorais aller au dessus de mes propres limites. Parce que j'avais toujours quelques choses pour redescendre, mon téléphone portable (a). Je le regardais et j'écoutais ce qu'il dit. Je laissais un petit rire et je dis. «Pas quand c'est toi et moi.» Elle hoche la tête en un oui. Je le regardais se rapprocher et me fixer tout en croisant les bras. J'acquit encore une fois un sourcil. Je peux toujours faire même. «Temps mieux, je le fais.» Je me prépare à crier.

Je le regardais et je ne comprenais totalement pas ce qu'il manigançait. Et puis quand il était de plus en plus proche, je savais qu'il allait venir m'embrasser. Je reculais un peu, mais il réussit à m'atteindre. Il avait prévu que ma main allait lui donner une bonne giffle. Trop tard, il s'avait reculer. Je le regardais et j'ai finalement décidé de lui dire quelques mots. «Approche, je te gifflerais pas.» Elle s'approche de lui pour être quand même assez près.

Je le regardais et je lui lançais un regard noir. Mais quand il tomba, j'en fut tellement ravie que je me mise à rire. Je le regardais. Il attendait une giffle ? Non n'importe quoi. Il croyait qu'il allait recevoir une giffle? «J'ai dit que je n'utiliserais pas mes mains cette fois.» Je sourais et je lui donnais un petit coup de pied dans son entre-jambe. Pas trop fort pour qu'il tombe sous inconscience, mais assez pour qu'il sache de ne plus refaire ça.

Je le regardais faire la grimace. Il n'était pas si fort mon coup de pied. Je croyais qu'il n'était que tout petit. Je n'ai peut-être pas controlé mon lancé. Je le regardais et puis je m'éloignais. Quand il me dit les petits mots,je me retournais et je croisais les bras pour le regarder. «Tu ... As vraiment dit ça?» Je le regardais presque plier en deux. Au moins, ça lui ferra penser la prochaine fois avant de faire une chose pareille. Je restais alors où j'avais encore les bras croisé.

Il boîtait un peu, mais rien de bien grave. De toute façon, il va s'en remettre. Mais je sais que la prochaine fois qu'il voudra m'énerver ... Ce sera pire. Parce qu'il ignore tout de mon passé. Il sait tout simplement que je suis quelqu'un de normal qui continue sa vie. Mais je ne fais que noyer ma peine. Je le regardais partir. Et je décidais de changer un peu les idées. Que dire, de toute façon ... Ma tristesse reviendrait par la suite. «Si tu enlève ton chandail ... Tu serais plus beau.» Dis-je en le regardant boîter.

Je le regardais en partant a rire quand il me dit qu'il rêvait. Ce n'était pas du tout un rêve. Je continuais de le fixer revenir à mes côtés. Il venait de s'excuser ? Non me c'était n'importe quoi. J'avais envie de rigoler un peu. Juste pour voir ce qu'il allait dire juste après ... Je ne jouais pas à la séductrice. J'étais moi même. Et puis je continuais de le fixer et je lui dis. «Lève les bras bien haut.» Je me met derrière lui.

Je le regardais alors tourner sa tête pour voir ce que je manigançait je souriais en le regardant. Je mis finalement mes sur son torse pour terminer au bas du chandail. Je fouillais en même temps dans ses poche. Sans faire de bruit, je prends ses clefs pour les mettre dans ma poche. Je remontais son chandail pour lui enlever. Mais j'étais un trop petite rendu au bout des bras. «Tu peux l'enlevé toi même pour le reste. Je suis trop petite ...» Je roulais les yeux.