C'est vrai que si a mère adoptife allait surement l'acceptés, car elle ne serait peut-être jamais au courant de ce qui s'est passer ses 19 dernières année, ou plus tôt ses 10 dernières annés. Quand je suis tombés dans le coma lors de mon accident, j'ai perdu les dix premières années de ma vie et je n'es jamais pu m'en rappeller, car tous simplement quand je me suis reveillées, j'étais toute seule. La première fois que j'avais présentés mes parents adoptifs à Freddy, mon père lui avait dit que si il faisait du mal à sa petite fille il allait payé. Mais j'avais reussis à l'empecher d'aller voir Freddy, je le connaissais par coeur, quand une personne me faisait du mal, il avait toujours réglés mes problèmes avant les siens. Alors, quand il va apprendre que je ressore avec la personne qui m'a fait le plus mal, il n'allait pas être super heureux de le revoir, mais je réussirais de lui de montrer qu'il a changés et le convaincre à l'accepter même si c'était le plus grand des défis. Je trouvais sa triste que le père de Freddy lui est fermé la porte au nez quand il a plus besoin de lui. Mais c'était comme un peu moi, je pouvais rester à l'aider dans sa déprimassion avec la drogue, mais je ne l'avais pas fait. J'avais fait directement la valise et j'étais partis en claquant violament la porte derrière moi. " T'as eu aucune nouvelle ? T'as pas essayé de l'appeler n'y rien ? Tu devrais au moins essaye de l'appeler ou encore lui donner de tes nouvelles ou faire quelques choses, mais je ne voudriais pas que tu "finis" t'a vie sans avoir parlé avec ton père depuis ce qui s'est passer. " Dis-je en le regardant droit dans les yeux. Vivre sans parler à son père elle l'avait pas vécut, mais elle savait ce que c'était d'avoir un manque de sa famille. Il avait déjà perdu sa mère et son frère et elle ne voulait pas qui coupe les pons avec son père. Il venait de me demandé où j'en était de mes recherches. Rien j'étais toujours au poins de départ et je n'avais pas bougé. " Merci ... Non c'est mon nom de jeune fille. Je les gardé, car je ne voulais pas m'en séparer parce que c'était la seule chose qui me rester mon passer. Ouai, je pense qu'on devrait aller dans l'hôpital où je me suis réveillés. C'est vrai qu'on voyagera si ils sont à l'autre bout de l'Amérique, mais je ne t'oblige pas à me suivre, je te comprendrais si tu ne voudrais pas ... " Dis-je en le regardant. Je voulais savoir qui était cette et je lui possa la question et dit à sa réponse : " Non, je ne la connais pas du tout, mais je voudriais bien la connaitre ... "

Avant qu'ils aillent les voir, je ferais en sorte de convaincre mon père de l'acceptés pendant l'espace d'une repart ou alors le temps qu'on sois chez eux ou évice et versa. Je ne voudrais pas que Freddy prenne peur et reparte chez lui en courant. Un ange t'avais protégé sa dois être sa, un ange qui était en train de pleurer dans les bras de ses parents et en train de supplier à son père de ne rien faire. Ouai, c'était un ange qui l'avait aidée et cette ange c'était la charmante Cameron. le père de Freddy n'était pas le seul à avoir laissé tombés le jeune homme, la preuve j'étais partie en courant après avoir eu la réponse à ma question. J'aurais pu quand même rester avec lui et l'aider dans avec la drogue, mais j'avais prit peur et j'avais aussi respecter sans choix. " Je n'ai pas envie que votre histoire entre un père et une fils se termine maintenant. Je ne connais pas ton père comme tu le connais, mais j'ai toujours vus dans les yeux de ton père qu'il t'aimait. Quand on ira à New Yok, si tu veux on pourra essayer d'aller le voir tout dépend de toit en tout cas, moi je te suivrais. " dis-je en le regardant droit dans les yeux. Je ferais tous pour que son père lui reparle. Je savais que ce n'étais pas tellement cool de rester sans parents à nos coter pendant un moment alors je savais qu'il allait surement reprendre contacte avec lui. Je le connaissais et il était un peu Fragile. " Oui, c'est à New York, je ne suis jamais partis de New York jusqu'à notre séparation. Désoler si j'ai vexé monsieur à ce que je viens de dire, mais c'est vrai tu as raison ça nous fera balader un peu. Oui je sais sa serait même inimaginable de la retrouver depuis le temps que je la recherche. Pas de soucis, je suis curieuse de la rencontrer et de savoir comment elle a fait pour te convaincre d'arrêter. " Quand le serveur nous posa nos plats devant nous, elle remercia le serveur et dit e prenant sa fourchette : " Bon appétit mon ange ... " Je souria.

Je ne savais plus trop quoi dire, j'étais triste et aussi gêné pour lui mais je ne le montrais pas. Après tous c'était peut-être triste que son père ne l'est pas aidé, mais aussi c'était un peu de sa faute si il n'aurait pas pris cette drogue, on serait peut-être à New Yorks, peut-être que son père ne lui aurait pas fermé la porte au nez et aussi que peut-être qu'ont seraient mariés, mais non, l'avenir avait décidée autrement. Aujourd'hui, on était de nouveau réunis et j'étais très très heureuse de le retrouver et d'être de nouveau dans ses bras. C'était la personne que j'aimais et c'était aussi mon Ame soeur. Si un jour j'aurais cru tombé amoureuse comme-ça j'aurais peut-être rit au nez de la personne, mais non c'était bien réel. J'étais complêtement sous le charme de celui-ci et je voulais construire doucement quelques choses avec lui. Serte, il ne m'avait jamais parlé de son père "Biologique". Je n'étais pas au courant et je serais la première à l'aider bien-sûre. Je le regarda et je vis bien que qu'il était mal à l'aise. Il vaudrait mieux qu'on arrête de parler de ça et passer à un autre sujet de discutions. "D'accord, en tout cas quand tu partiras à New-York dis le moi, comme-ça je verrais si je viendrais ou pas." Dis-je en souriant. "Ouai". Je ne connaissais cette Elena, mais je devais déjà la remercier de ce qu'elle avait fait pour qu'il soit là sous mes yeux. Il avait raison peut-être qu'il serait mort en ce moment même, mais non c'était simplement une mauvaise image, car il était bien vivant. Je savais que c'était pas mon imagination, car les gens m'auraient pris pour une folle si je parlé seul. " Mais tu ne l'es pas. A moins que je sois folle et que je parle ton esprit ... " Dis-je en le regardant. Le serveur venais de nous passer nos plats, après l'avoir remercié, je commença à manger : " Merci mon coeur. "

C'est vrai qu'il ne savait toujours pas au je travaillée. La dernière fois que je l'avais vu, je ne lui avait pas dis où je travailler. J'avais peur qu'il vient me déranger et faire mine je ne savais pas que tu travaillés ici. Aujourd'hui ça me déranger plus du tous de le voir arriver à mon lieu de travail. Bien au contraire ça me donnerais du courage pour finir ma journée. je l'ignorée du soupçons qu'il avait par rapport à son père et elle l'aiderait avec grand plaisir. Elle savait ce que c'était de ne pas être elevée par ses vrais parents alors elle pourrait l'aider sans problème. Ils pourraient s'aider chacun dans leur recherche. Je le regarda avec un sourire aux lèvres et dit : " C'est vrai ? Je suis chanceuse alors. Ouai, je pourrais trouver quelques-qui me remplacera. Tu n'as pas internet à partir sans moi sinon, je prendrais le premier avions et je te rejoindrais." Dis-je en rigolant un peu. Juste après je lui offrira un très joli sourire. C'est sûr que sa allait faire très bizarre d'être en compagnie de Freddy quand ils retourneront à New-York. Mais sa pouvait montrer aux gens que leur amour était bien plus solide qui aurait crue. Même si il avait du marquer une pause de 4 ans à cause de ce qu'avait fait Freddy. " Très drôle Freddy, très drôle..." Dis-je en rigolant. Après avoir avalé ce que j'avais dans la bouche je réfl2chissais pour savoir qu'elle jour on serait demain. Et dit juste après : " Non tu me l'a pas demandé, mais malheureusement oui, je travaille demain. "

Ce n'allait pas être facile pour moi de revenir à New York, mais je pouvais le faire pour lui. J'étais près a tous pour être avec lui ces années sans lui était bien trop dure et je ne pourrais m'imaginer une seule seconde sans être dans ses bras. Je ne voulais plus être séparé de lui et pour rien au monde d'ailleurs, on allait tous faire ensemble et même si c'était de partir à New York. J'aurais du mal a vivre si je savais qui serait parti sans moi et qu'il soit loin de moi une deuxième fois. Je lui avait redonné mon coeur, ma confiance et aussi mon amour, il était la personne qui comptait le plus dans le monde. Même si je ne retrouvé pas mes vrais parents, je savais qu'il était avec moi et quelle que soit ma décition il serait avec moi. J'allais être avec lui : " Je ne doutes pas mon coeur, je ne doutes pas ... Je ne peux plus me passer de toi et je partirais avec toi . Je ne compte pas te laisser tomber, je te le promet. Je ne pourrais pas te laisser, alors je suis désolé pour toi, mais tu vas devoir me supporter. Bonne Chance. " Je le souria à ce que je vena de dire avant de mettre mon coude sur la table. J'étais contente de le revoir et de manger à ses coter. J'en revenais pas, il me traitait de folle ou quoi ? Mais je sais qu'il était réellement bien envie, on m'aurait appellé quand même pour me prévenir et j'avais sentis son souffle et aussi j'avais eu ses lèvres contres les siens. Je le regarda et dis : " Mon coeur tu es très comique ... " Et oui on avait pas la chance de ne pas travailler le lendemain. Je rigola à sa mine triste et dit : " Et oui, je travaille malheureusement. Je commence à la même heure comme tous les jours à 9h30. "

C'est sûr que j'étais beaucoup plus facile de vivre que Freddy, je ne faisais pas chiez mon monde, mais j'aimais bien que ce soit propre et même que sa brille. J'étais très maniaque de la propreter, c'était pas ma faute, j'étais comme-ça et j'y pouvais rien et je serais même prête à lever la personne qui vivait avec moi pour faire le ménage. J'étais une véritable folle avec le ménage. Si vraiment Freddy et moi on vivrait plus tard ensemble et qu'il arrive à me faire crier, c'était qu'il m'a vraiment cherché et il ne fallait pas que je m'énerve. Mais cela métonnerais qu'il arrive à me faire crier. Je lui souria de toutes mes dents, il était trop mignon j'avais qu'une seule envie c'était de l'embrasser je ne le fit pas pourtant, mais j'irais à la fin du repas l'embrasser. " Être avec toi 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et mon plus beau rêve. Je t'aime mon coeur ! " Dis-je en le regardant droit dans les yeux. Je le regarda droit dans les yeux en formant avec mes lèvres un baiser que je lui offrie. Je dis par la suite : " Tu crois vraiment que je n'arriverais pas à te supporter ? C'est complètelent faux. Je te supporterais et je ne me sens pas obligé." Je n'avais pas la chance de ne pas travailler le lendemain matin, mais qui dis que je ne pouvais pas appeler mon patron pour qu'il m'offre une journée de travail et je l'a mérités de toute façon. " Je suis désolé, t'as raison. ce n'est pas très drôle ... " Je le souria puis dit : " Et oui je commence tôt XD. Euh... Je verrais avec mon patron pour pouvoir avoir une journées tranquille. " Je lui fit un sourire et réfléchisa à sa propotition : " Je ne sais pas. Si tu en prends un je te suis sinon, non." Dis-je tendrement

Être avec lui 24 heures sur 24, 7 jours sur sept était pour moi un grand rêve, mais elle ne prenait pas le temps de venir à cause de son boulot et du siens aussi, on avait des heures complément différente aussi des siennes alors ce n'était pas très facile aussi à gérer tous ça. Et question rangement, la jeune femme aimait que de soit propre, même si elle n'aimait pas forcement à faire le ménage, elle aimait bien que ce soit propre et ranger. Comme-ça quand elle recevra de la visite sans qu'elle soit prévenue on ne pourrait pas lui dire que chez elle s'était pas propre. Et je trouvais que ça donne envie d'être chez sois quand c'était rangé tous propre.Elle le regarda en souriant puis dit : " J'hésiterais pas à venir t'embêeter alors." Dis-je en souriant aussi. C'est vrai que je ne voulais pas le déranger ou alors j'étais crevé en rentrant du boulot, mais là ça va être beaucoup plus diffèrent que d'habitude. Si il faut je partirais plus tôt pour pouvoir le voir avant qu'il parte travailler. Je rigola puis dit après avoir bu dans mon verre : " Tu es si chiant que sa ? " Je voulais vraimen, savoir de quoi j'allais supporter si un jour nous deux on devrait vivre en couple. "Non, tu es trop mignon avec cette tête là c'est pour sa que je rigole." Dis-je en souriant puis écouta ce qui dit et dis: " Pardon ? Moi vouloir travailler ? Tu rêveslà ." Je dis après sa réponse : " Mais je sais mais j'en veux pas. "

Si il faisait un petit effort pour ranger ses affaires et qu'il ne faisait pas le reste, sa n'aller peut-êetre pas me déranger. Du moins, c'est à voir. Mais peut-être que leur couple ne sera peut-être pas solide comme il était avant et que je suis en train de me faire un petit film pour rien. Bien-sûre que je n'espérais pas du tout. J'étais amoureuse de Freddy et mes sentiments non jamais changé malgré cette lourde séparation. Mais si un jour se ferait, et ben ça se faira et Cameron accepterais Freddy même avec ses défauts, même si il était Bordélique. " D'accord, alors je n'hésiterais à venir t'embêter. AH ouai ? Moi je suis sûr que tu me feras la tête pendant quelques jours si je viens t'embêter la nuit. Et comme tu l'as très bien devenier, je le ferais surement, mais j'essayerais de me faire vite pardonner. ^^" Je voulais savoir si il était aussi chiant qu'il me le disait. Je n'avais jamais vécu au par avant même dans notre passé commun alors je ne pouvais pas savoir. Mais, si il était aussi chiant qu'il le disait, sa colocataire aurait déjà fuis depuis très très longtemps. A moins, que chaque semaine, il avait une nouvelle colocataire et qu'elle en savait rien. Et sa serais mieux pour elle, jalouse comme elle est. Quand il répond à ma question, je ne pu m'empêcher de rire, je dis pas la suite. " Non, toi bordélique ? Non, je ne crois pas, parce que quand je venais te voir dans ta chambre tars le soir, elle était toujours rangée ^^. Mais non, je suis sûr que ce n'est pas aussi chiant que ça de vivre avec toi ... " Ben oui, quand ils étaient plus jeunes, Cameron arrivait toujours a rentrer en douce sans se faire prendre par son frère ou encore par ses parents et a rentré en douce dans le lit de Freddy. Je le regarda avec un sourire puis dit positivement. " Par contre un café ne serais pas de refus... s'il te plait."