J

e le regardais marcher en diagonale tout en me mordant la lèvre presque à sang pour ne pas me foutre de sa gueule. En faite, j'étais bien pire que lui donc mieux valait que je m'empêche de rire. « - Lyoooooov ! Y'a le mur il est méchant, il veut me frapper ! Regarde, il me regarde méchamment! » m'extasiais-je tout en voulant courir pour le rejoindre, me prenant un mur. Outch, ça fait bobo. Je me passais une main sur mon crâne douloureux tout en faisant la grimace, me laissant emmener lorsqu'il vint me chercher. Je me laissais asseoir tout en me laissant déshabiller, rentrant avec son aide dans la baignoire. Je haussais les épaules, lui envoyant un grand sourire radieux. « - Bain ou douche, c'est chou vert et vert chou hain ! Après tout, ça met du frais sur le corps, c'est l'important! » Bon, en plus de ça, je commençais même à avoir un langage laissant à désirer, n'arrivant même plus à me souvenir du mot 'rafraîchit'. Je laissais ma tête retomber contre le bord de la baignoire qu était le plus proche de ma tête, profitant de la fraicheur de l'eau, me contentant de l'approuver d'un petit signe de tête avant de rouvrir les yeux avec un petit sourire. « - Bah ouais, j'suis chaud comme la braise, tu crois quoiii? » le questionnai-je avant d'éclater de rire. Je ne pus me retenir de lui tirer la langue, me ramassant de la mousse en pleine tronche. Je soufflais un grand coup sur la mousse qui retomba dans l'eau du bain tout en lui jetant un regard à moitié noir. « - Traître ! » soufflais-je avant de lui en jeter plein dans la face aussi. Bah ouais, j'allais pas me laisser faire sans répliquer non plus, faut pas rêver. « - Oui je sais que j'te fais de l'effet Micheline mais bon, pas la peine de hurler comme une gonzesse en rut pour autant, hein ! » dis-je tout en lui envoyant un clin d'oeil, riant malgré tout à sa remarque.

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J

e pousse un petit soupir de bien-être, riant en le voyant sursauter tout en relevant d'un coup pour mon pied pour lui envoyer plein d'eau à la figure. Tiens, ramasses ! En lâchant un petit sourire moqueur, je reposais ma tête contre le bord de la baignoire tout en guettant sa réaction pour tenter d'esquiver un très probable retour d'eau. « - N'importe quoi ! T'as la vie sexuelle détraquée pi voilà. » décrétais-je tout en faisant une moue boudeuse. Je finis par fermer ma grande gueule, regardant le plafond. Comme il ne disait rien, je me contentais de compter les plaques du plafond. C'est bien un jeu de mecs bourrés ça ... Je fus interrompu par mon frère qui se remettait à parler et je retournais la tête vers lui, grognant en voyant qu'il avait gardé les yeux fermés. « - Huit... hein? Ah ouais non j'suis toujours en vie pour le moment. » me contentais-je de répliquer en haussant les épaules, lui jetant un petit sourire en coin. « - Il était nul ce porno. On aurait pu faire bien mieux si ça avait été nous à la place des deux mecs. » lui dis-je avec un sourire de pervers. Bon dieu, l'alcool fait vraiment des ravages.

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J

e lui lançais un coup d'oeil sérieux. « - Okay ! ça marche ! Dés que je chope un casting, on va tourner un porn' ensembles. » Je lui lançais un petit sourire innocent au reste de ses paroles. « - Bah naan, je risque pas de te le rappeler ! Pi après faudrait qu'on s'entraîne si on veut faire un porn' ensembles, n'est-ce-pas mon lapin?» lui demandais-je avec un petit air innocent accroché sur le visage, me retenant presque de siffloter mine de rien. Je fis mine de vouloir simplement changer mes jambes de positions, car elles commençaient à être enkilosées à rester dans la même position et en les bougeant un petit peu, je frôlais volontairement sa virilité tout en prenant une mine désolée face à lui. « - Ohh désolé bro', t'en as une trop longue, puis faut bien que je bouge mes jambes, hein! » me justifiais-je alors que la situation m'arrangeait parfaitement. Même sans boire, j'étais plus bourré de minutes en minutes, c'était juste hallucinant. Je fis la moue à sa remarque, faisant mine d'être vexé. « - Bah avant c'était contre ta queue qu'elles étaient mes jambes donc bon, tu choisis hein ! »

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O

h l'enfoiré. C'est qu'il osait se foutre de ma gueule en plus de ça. Je le fusillais du regard puis me contentait de hausser les épaules en reprenant un traditionnel petit air innocent. « - Baaah.. je suis peut être jamais allé en freestyle mais en attendant ce n'est pas moi qui me coltinait des quatre ou au mieux des huit à ma moyenne scolaire, hein ! » répliquais-je tout en lui lançant un sourire par-fai-te-ment innocent lorsqu'il me fusille du regard. Aah.. s'il avait des mitraillettes à la place des yeux, je ne sais même pas ce que ça donnerait. Enfin, si, au fond, je le savais ; je viendrai d'être fusillé et je serai actuellement entrain de prendre un bain de sang après m'être ramassé une balle en plein crâne. Enfin soit. « - J'ai pas demandé à être aussi grand qu'une girafe, hain ! Piii.. pii.. pi t'es pas mal grand non plus pour un p'tit ! » Je venais d'aligner l'équivalent de trois-quatre phrases correctes, enfin, plus ou moins, fallait bien que l'alcool remplisse mon esprit à nouveau à un moment ou à un autre, hein ! « - Mes grandes pattes et moi, nous t'emmerdons avec toute notre affection. » annonçais-je tout en lui rendant son doigt d'honneur avant de me remettre à rire. Je l'approuvais d'un signe de tête lorsqu'il me demanda si je le suivais pour aller dormir, sentant mes paupières devenir lourdes malgré tout. Bah ouais, être bourré, avoir crevé de chaud puis avoir refroidit d'un coup, et sortir des conneries plus grosses que moi, bah ça me réussissait pas et ça m'avait même totalement liquidé. Je le laisse se préparer une fois qu'il fut sorti du bain et sortit à mon tour, titubant dangereusement vers le sol mais arrivant à me rattraper à l'évier pour ne pas m'écraser comme une merde sur le sol. Outch, rude, à peine relevé et ma tête recommençait déjà à taper avec une douleur folle. Je ne prenais même pas la peine de me cacher les parties, contrairement à mon frère aîné, je m'en foutais totalement, je n'avais plus aucun sens des convenances mais ça ne m'empêcha pas de prendre la serviette qu'il me tendait pour m'essuyer plus ou moins avant de la mettre autour de la taille comme il l'avait fait, sentant une douleur cuisante au niveau du crâne rien qu'en me baissant. Outch, dur. « - Noon, ça va, j'ai su me bouger le cul tout seul. » J'avais envie de faire un truc totalement dément, genre l'attraper d'un coup comme un sac à patates sur mon épaule et courir dans toute la maison jusqu'à ce qu'on rejoigne sa chambre mais je n'en fis rien, sachant que j'avais déjà du mal à mettre un pied devant l'autre rien qu'en marchant et que j'allais finir par vraiment me daller si je tentais d'accélérer mes pas. Du coup, je me contentais simplement de passer derrière lui d'un air innocent comme si j'allais chercher quelque chose et j'en profitais pour lui baisser sa serviette d'un coup, avant de me remettre à rire comme un con.

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J

e me retenais grandement pour ne pas lui gerber à la figure. Gosh, qu'est-ce que ça pouvait donner la gerbe cette saloperie d'alcool. Je me contentais de serrer les dents jusqu'à ce que le malaise passe, le regardant enfiler un boxer en faisant la moue, le regard avec le regard dans le vide lorsqu'il me piqua ma serviette. Je n'avais même plus la notion de la pudeur, génial. Néanmoins, je l'imitais en descendant tout en me cramponnant au mur pour aller chercher mon caleçon que j'enfilais puis je retournais dans la chambre, glissant à cause du tapis pour aller m'étaler sur son lit, m'endormant comme ça sans plus de chichis. Je me réveillais seulement deux heures après, il était trois heures du matin. Je le regardais dormir avec un petit sourire au coin des lèvres, toujours aussi bourré que deux heures auparavant. Ma tête tournait affreusement et mon estomac me faisait terriblement souffrir mais on ne pouvait pas dire que je m'en préoccupais vraiment, bien au contraire. « - Lyoooov? Tu doors ?» questionnai-je une première fois, faisant la moue d'un air peu satisfait lorsque je ne reçus aucune réponse. Bon, très bien. Il dormait apparemment mais ça n'allait pas durer. J'attrapais son boxer d'un doigt puis le faisait glisser le long de ses jambes en commençant à rire, lui mettant une tape sur le cul. C'était reparti pour un tour, j'allais encore l'emmerder. M'avoir bourré aux trousses, c'était pas cool du tout, surtout lorsque j'étais déchiré à ce point. « - Lyyyyyov, debooouut, j'memmerde! » déclarais-je. Je grognais une nouvelle fois, peu patient, puis décidait de me mettre à cheval sur lui tout en commençant à l'embrasser dans le cou pour l'emmerder. Peut-être que ça allait le faire réagir ?

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J

e lui lançais un grand sourire en le voyant s'éveiller. Bah bordel, pas trop tôt ! Néanmoins, malgré que ce n'était pas l'envie qui me manquait de continuer à l'emmerder en restant assit sur son dos, j'obéissais finalement tout en allant m'asseoir à côté de lui à ma place initiale. « - Ouii, je vais suuper bien ! On va en boîte, dis, dis, dis ? Aller bouger ses fesses sur la piste et tout et tout quoi ! » Bah c'est vrai que j'étais vraaaiment en état d'aller en boîte, c'était juste fou. Je tenais à peine assit sans me tenir la tête tellement j'avais mal, je devais par moment serrer les dents pour ne pas dégueuler mes tripes mais mise à part ça, je considérais que je pétais la forme. Je le regardais avec un petit sourire en coin avant d'éclater de rire en le voyant roulé comme un nem dans sa couverture. « - Baah dis-donc! T'as peur que j'te viole, Micheline? » lui demandais-je avant d'arquer un sourcil à sa remarque. « - En plus je quoi? » questionnai-je d'un air sceptique tout en gonflant mes joues comme un hamster en réfléchissant. Enfin, je tentais de réfléchir surtout mais le mal de crâne était trop présent que pour avoir les idées bien nettes. Finalement, j'arrêtais de tenter de capter puis m'apprêtait à lui redescendre son boxer une fois de plus pour l'enquiquiner lorsque je me retrouvais à mon tour sur le dos. Au départ pris au dépourvu, je finis par en sourire, jusqu'à en rire comme un véritable con d'ailleurs. « - Mooooi ? Mais pas du toouut ! Pourquoi tu dis ça ? » questionnai-je tout en le regardant droit dans les yeux avec un petit sourire amusé au coin des lèvres. Je tentais de me débattre pour qu'il me lâche mais comme ça ne marchait visiblement pas, je ne vis qu'une seule solution. Je me rapprochais de lui et déposais mes lèvres contre les siennes, un sourire victorieux accroché aux lèvres. Et putain, il avait les lèvres douces le bougre.

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J

e roule des yeux à sa remarque. Beuh non.. j'étais même pas assez bourré au point d'en gerber, j'allais très bien.. trèèès bien ! Mais oui, puisque je vous le dit. Je commençais à bouger mon bassin. « - Allez, c'est pas grave, je trouverai un autre amour dans ma vie, personne n'est irremplaçable ! S'il te plaaaaaaaaaait! » le suppliais-je tout en lui faisant mes yeux de chat potté. Si ça, ça ne marchait pas, je pouvais m'avouer vaincu, même si j'étais certain qu'il ne me laisserait pas sortir d'ici dans un état pareil. Enfin, d'un sens, il avait raison, j'avais pas vraiment envie de me faire exploser la rondelle par un mec cochon ne voulant qu'un peu de chair fraiches. Soit. « - Et on y va habillés comme ça et tout pi on monte sur la table devant tout le monde en calbut et on commence à danser, à chanter et touuut ! » expliquais-je tout en faisant des grands gestes comme si je tentais d'imager ce que j'étais entrain de décrire. « - Et en plus on pourrait même chanter I'm sexy and i know it car on est vraiment bandants ! » poursuivis-je tout en commençant à remuer pour danser en me rappelant le rythme de la chanson. Je fis la moue lorsqu'il me dit que ce n'était pas ça qui allait faire qu'il allait me lâcher. Je poussais un grognement frustré avant de redescendre mon visage vers son cou, lui faisant des baisers le long de son cou tout en déposant une fois de plus mes lèvres contre les siennes, allant caresser ses fesses à travers son caleçon. « - Ah? T'en es toujours aussi certain? »

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«A

ie ! Mais fou la paix à mon téton toi, c'est pas un os à mâcher!» grognais-je tout en poussant un petit gémissement frustré. Je lui lançais un grand sourire ironique. Alors comme ça, un lit qui grince ça le stresse? Bon à savoir. « Comment tu fais quand tu baises alors, ducon? Tu mets du durex sous ton matelas, comme dans la pub? » le questionnai-je tout en fronçant les sourcils, tentant de garder un air sérieux alors qu'en réalité j'avais juste envie d'exploser de rire. Je lui lançais un regard malicieux lorsqu'il laissa sa main contre mes lèvres et j'en profitais pour lui lécher cette même main, allez, vas-y que je t'emmerde. Je prends un petit air choqué. Abominations, il oserait me couper ma si jolie langue et m'abimer mon joli teint en me collant avec de la glu ? « - Rêves pas monster, si tu crois que je vais te laisser faire, tu rêves ! Je crie fort, tu sais ? » lui demandais-je avec un sous-entendus très bien marqué étant donné que j'avais, par la même occasion, descendu ma main jusqu'à son entre-jambe que je pressais dans ma main avec un petit sourire narquois. Je me retrouvais retourné comme une crêpe sur le ventre, lui assit sur mes fesses. J'explosais tout bonnement de rire à la position et commençait à me tortiller comme un véritable verre de terre. Tentative d'évasion qui échoua, évidemment. Pour la peine, je commençais à cambrer le dos en donnant des coups de culs vers l'arrière, allez hop, comment tu vas survivre à un rodéo sur le dos de ton frangin, mon gars?

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« B

ah noon ! Moi j'aime bien le faire dans la rue, c'est marrant.» avouais-je avec un petit air malicieux dans le regard, haussant les épaules tout en lui envoyant un petit air triste. « Dommage qu'on est pas restés dehors tantôt, je t'aurai fait une démonstration. » lui dis-je tout en lui envoyant un clin d'oeil. « Bah ouais, évidemment que c'est surtout quand j'me fais exploser. J'te montrerai ça plus tard ! » poursuivis-je avec un petit air innocent accroché sur la tronche. J'explose tout bonnement de rire, me tortillant dans tous les sens lorsqu'il s'éclate la gueule du lit. « Tiens, ramasse ! Dans ta gueule! » m'exclamais-je tout en lui faisant un doigt d'honneur. J'avais eu ma vengeance, c'était certain. Bon, au moins, il n'était pas tombé sur un truc susceptible de lui ouvrir le crâne ou de le faire vraiment souffrir, heureusement d'ailleurs, sinon, je devais avouer que je m'en serai voulu malgré mon état to-ta-le-ment déluré. Je lui redonne un coup de cul lorsqu'il revient à l'assaut. C'est qu'il est buté en plus de ça, l'emmerdeur ! Il fut finalement épuisé dans tous ses efforts et une fois qu'il fut retombé, j'en profitais pour me jeter sur la table de chevet qu'il semblait vouloir atteindre, en ressortant une paires de menottes. « Ben alors lapin, on voulait me ligoter? » le questionnai-je avant de jouer avec la paire avant de m'asseoir à cheval sur lui, profitant de son excès de fatigue pour l'attacher au lit tout en contemplant le spectacle d'un air satisfait. « Maintenant, bye mon coco! » m'exclamais-je avant de redescendre de lui tout et de faire mine de m'en aller en boîte comme je semblais tant vouloir le faire, me dirigeant en réalité vers la cuisine. J'ouvris le frigo et y attrapait la crème chantilly, retournant dans la chambre en cachant la bombe derrière mon dos, allant me rasseoir sur lui après l'avoir laissé une dizaine de minutes croire que j'étais parti m'éclater en boite. Je ressortais la bombe de derrière mon dos, le regardant avec un grand sourire victorieux. « C'est maintenant que ça va être marrant, mon loulou! »

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« B

en qui sait, écoutes? Seul moi le sait.» me contentais-je de dire tout en haussant les épaules l'air de rien. Je tripotais les menottes un instant, les regardant d'un air presque fasciné comme si je n'en avais jamais vues de ma vie. « Mais je n'ai jamais dit que je comptais être gentil ce soir, mon loulou. » ricanais-je tout en l'attachant, assit sur ses hanches. Je fis mine de ne pas l'écouter et me dirigeait vers la cuisine, ayant saisi la première bombe de crème fraiche qui m'était tombée sous la main et m'étant redirigé vers la chambre après l'avoir laissé quelques minutes mariner. « Je suis peut-être là pour l'instant mais je n'ai pas promis que j'allais y rester, hein ! » me contentais-je de dire avec un sourire de prédateur, allant déposer une nouvelle fois un baiser sur ses lèvres tout en descendant le long de son cou, y insistant même au point de lui laisser un suçon. « Et sinon, non, tu ne vas pas être gavé. Tu vas juste subir ! » répondis-je tout en joignant le geste à la parole, déposant une bonne dose de bonne dose de chantilly sur sa joue, puis le long de son torse avant de me mettre à lécher cette même chantilly le long de son corps, un sourire satisfait aux lèvres une fois que j'eus fini la première attaque. « Et navré mais j'ignore to-ta-le-ment où se trouve les clés des menottes. Je crois que tu vas rester comme ça longtemps, je ne me sens pas bien lorsque je me lève, c'est con hein? Enfin, sinon, y'a toujours une solution. Faut que tu te casse le pouce et que tu ouvres le verrou avec l'os qui ressortira, il paraît que ça marche !»

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« J

e poussais un léger grognement. Pourquoi fallait-il qu'il parle de sa future fiancée alors que j'étais presque sur le point de le violer? 'fin. Non. j'étais carrément sur le point de le violer, pas presque. Je fis la moue, lui faisant une petite tête boudeuse, n'étant pas très content non plus. « - Beuh.. pourquoi tu penses à elle? T'façon je lui expliquerais rieeen du touuut, vu comment tu me la décrites, je la déteste déjà ! Pi tu sais comment je suis lorsque je déteste quelqu'un, hm? » lui demandais-je tout en faisant mine d'y réfléchir, poussant finalement un petit soupir. « - Mais si j'suis obligé d'aller justifier ma conduite totalement inacceptable auprès du grand manitou, bah j'irai, écoutes, si ça peut t'faire plaisir. » Puis de toute façon, qu'elle m'enquiquine pas la future mariée, en étant journaliste, je pourrai très vite aller lui faire une réputation de trainée en ville et paf ! finie la bonne petite réputation qu'elle avait peut-être pu fonder au cours des années. Je secouais la tête pour me remettre les idées en place et me contentait de lui lancer un petit sourire presque totalement chaste et innocent, même si mes pensées étaient à milles lieux de l'être à l'heure actuelle. . « - Ah ouais? Et qu'est-ce que tu comptes me faire pour te venger si j'osais te détacher? » le questionnai-je tout en lui appliquant encore une fois une petite couche de crème fraiche sur la joue, avant d'aller la lui lécher tout en lui envoyant un regard allumeur.

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« J

e le regardais en lui faisant mes traditionnels yeux de chiot à ses paroles. Oh, le vilain, il oserait me foutre en camisole? Je secouais la tête tout en faisant une moue boudeuse. « - Ohh mais non vilain ! C'est vilain pas beau comme tenue, c'est caca. » répliquais-je avec une voie enfantine avant d'éclater de rire au reste de sa phrase, remettant mes cheveux en arrière d'un petit air précieux. « - Avoir une flèche dans le cul ne me tente guère, mon cher. Je préfère les bananes. » répliquais-je tout en lui tirant la langue, sachant parfaitement que je n'avais guère besoin d'en rajouter pour qu'il comprenne où je voulais en venir avec mon sous entendu. Je frémis en le sentant bouger sous moi, sentant son bassin frotter contre le mien, poussant un petit gémissement à la fois plaintif et appréciateur lorsqu'il mordit mes lèvres. Je pousse un petit soupir puis fait la moue à ses paroles, réfléchissant. Bon, d'un sens, je restais son petit frère, mise à part à la limite me foutre une énorme droite, il ne pouvait pas faire grand chose contre moi si je le détachais et je risquais de prendre vraiment plus cher si je le détachais après avoir fait ce que je voulais de son corps. Même si d'un sens, j'étais convaincu aussi que je ne l'aurai plus totalement en mon pouvoir une fois détaché. Bref, je choisis de prendre le risque et j'étirais mon bras autant que je le pouvais pour atteindre la table de nuit, allant chercher les clés des menottes et le détachant, prêt à couvrir mon visage pour réflexe en cas où il lui viendrait la soudaine idée presque naturelle de m'en tarter une.

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J

e ne pus retenir une exclamation en me retrouvant projeté sur le sol, grimaçant en sentant mon dos heurter le sol avec une force inouïe. Puis en plus de ça, j'ai un bonhomme Michelin qui atterrit sur mon torse. C'est qu'il était pas léger le bonhomme, l'air de rien ! Je le laisse mordiller ma joue tout en lui lançant un nouveau sourire qui se voulait innocent, haussant les épaules de façon presque indifférente à ce qu'il me dit. Je n'allais pas lui promettre quelque chose que je n'étais pas sûr de pouvoir tenir, après tout. Je le regarde s'étaler comme une bouse sur son lit, l'air pas franchement content. Petit con ! Il m'envoie balader par terre puis il va dormir, c'est ça hein? Je fais la moue, allant m'asseoir sur le bord du lit qu'il restait de libre et allait lui faire un bisou sur la joue, passant rapidement ma main dans son caleçon mine de rien puis me relevait, pas décidé à m'endormir tout de suite. J'avais beau être mort crevé, l'idée d'aller en boîte me trottait toujours en tête et j'avais bien l'intention d'y remédier. Comme mon frère ne semblait pas volontaire à se faire violer, autant que j'aie passer ma nuit dans le lit de quelqu'un d'autre. Je fis la moue. « - La boîte de nuit m'appelle mon lapin, à demaaaiiin ! » déclarais-je avant de me rediriger vers le salon, attrapant une bouteille où il restait un petit quart de boisson et me l'enfilai cul sec, ne prenant même pas la peine de remettre mon tee-shirt et ouvrant déjà la porte pour partir véritablement en boîte comme j'en avais l'intention.

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