J'avais besoin de faire un peu de sport, de m'évader un peu, trop de choses se bousculent dans ma tête. J'ai besoin de faire le vide, c'est tout. Je dépose Franziska à l'école, même si elle me dit qu'elle ne comprend pas grand chose, il faut qu'elle apprenne, même moi j'essaye de ne pas lui parler en Russe pour qu'elle s'en sorte, qu'elle se fasse de nouveaux amis, des nouvelles connaissances pour qu'elle s'en sorte aussi plus tard, malgré tout je suis toujours derrière elle et je ne la laisse pas se débrouiller, ma petite fille. Je sors de la douche filant m'habiller puis je retourne dans la salle de bain pour me sécher les cheveux puis les coiffer histoire que je ressemble quand même à quelque chose puis j'enfile un jogging ainsi qu'un t-shirt blanc, j'ouvre ma penderie et je regarde le vieux ballon de basket que j'ai au fond de cette dernière, ça fait bien longtemps que je n'y ai plus joué, j'ai bien envie de redécouvrir les joies de ce sport, une heure ou deux. Je quitte alors mon habitat me dirigeant vers le terrain de basket avant de déposer mes affaires sur le sol et de regarder le panier, j'espère qu'avec l'âge je n'ai pas rouillé, même si je ne suis pas un dinosaure non plus. Je commence à dribbler courant vers le panier et lançant la balle vers celui-ci, marquant à chaque fois sauf le dernier que je rate de peu. Zut, c'est crevant, moi qui n'est pas accro à un sport autre que celui de chambre, c'est autre chose. Après quelques minutes, je file m'asseoir buvant un coup d'eau, déjà épuiser.

En arrivant à Los Angeles je ne pensais pas avoir beaucoup de difficulté. Un agent m’avait recruté et j'étais devenu une actrice à L.A aussi. Mais c'est bien plus dur ici qu'en Russie. Il fallait toujours que je fasse plus que ce qu'il me demandait. Cela m'épuisait beaucoup. Et je n'avais pas beaucoup avancé dans mes recherches pour trouver Lyov. Mais je ne me décourageais pas. Il était là quelque part dans cette ville, une trop grande ville. J’avais beau le cherchez quand j'avais du temps libre je ne trouvais pas. Comme s'il avait disparu. J'étais dans une situation désespéré. Le soir, je déprimais. Ce n'était vraiment pas la joie. Je me tuais à la tâche pour devenir une actrice reconnue ici et je devais en même temps trouvé Lyov. Je suis peut être une star en Russie mais ici, je ne suis qu'une actrice parmi d'autre qui doit trouver son chemin. J'ai beaucoup de chance d'avoir bien gagné ma vie à Moscou. Sinon je serai endetté jusqu'au cou dans ce pays. Tout ce que je voulais c'était trouvé Lyov et percé au États-Unis. Était-ce trop demandé ? Je commence à penser que oui. Mais je ne me décourage pas pour autant. Je trouverais Lyov et percerais dans la comédie ici, à Los Angeles. Je courais depuis un moment déjà mais je ne me fatiguais pas. J'avais besoin de me remonter le moral et la musique et courir m'aider à ça. J’écoutais la nouvelle musique de Rihanna '' You Da One''. J'approchais à grand pas du terrain de basket. J'en eu marre de courir à un moment alors je me dis qu'au terrain de basket je m'arrête et je bois un peu d'eau. Arriver au dit terrain je me suis assis sur un banc. J'étais fatigué. Je bu de l'eau et regarda autour de moi. Et là, au moment où je m'y attendais le moins je vis Lyov en train de faire de même. J'étais tellement choqué que j'ai avalé mon eau de travers. J'ai cru que j'allais étouffer. Mais loin de là je ne fis que tousser. Entre de quinte de toux je dis '' Lyov...C'est toi ?''

J'ai trop de chose derrière moi, un lourd passé, je pense que si je retourne en Russie je ne serais plus le bienvenue. Finalement, avec le temps je me dis que je suis bien, ici malgré que je peine à trouver un emploi stable, que je dois m'occuper de la petite. Mon frère me manque horriblement, j'ai envie de le revoir, et de lui dire tout ce qui me passe par la tête, j'ai envie de le serrer contre moi et de lui dire combien je l'aime. C'est dans ces moments comme celui-ci que l'on se rend compte a quel point on aime nos proches. Je lâche un long soupire, mon dieu que la vie est dur et heureusement qu'elle ne l'est pas souvent. Je bois toute mon eau, tant pis, je passerais certainement au supermarché des environs si j'ai vraiment soif, mais j'ai pas prévu d'en prendre deux, quel débile. Je sursaute en entendant mon prénom. Oui ? Quoi ? Qui me veux quoi ? Je relève les yeux vers la jeune femme non loin de moi avant d'ouvrir à moitié ma bouche. Tiens, Los Angeles c'est grand, ainsi que le monde entier et j'arrive à retrouver l'une de mes exs ...il faut dire qu'avec elle, je n'ai pas été très gentil, de plus elle m'a recalé quand je lui ai demander pardon. Je me lève, je ne sais quoi lui dire, je ne sais pas comment réagir. Je réfléchis, et vite avant de m'adresser à elle en Russe Quel bon vent t’amène ici Kat' ? La Russie ne voulait plus de toi ? Ou elle t'ennuyait ? Je m'avance vers elle, elle est toujours aussi jolie, elle n'a pas beaucoup changé d'ailleurs.

Je n'en croyais pas mes yeux. J'avais devant moi l'homme que j'aimais. Je le c cherchais depuis tellement de temps ! C’était pour moi un rêve. Je ne savais pas quoi lui dire. Il est réapparait comme par magie après tant d'année et tout ce qu'il me dit c'est : Quel bon vent t’amène ici Kat' ? La Russie ne voulait plus de toi ? Ou elle t'ennuyait ?''. Waouh... Il semblait différent de quand je l'avais connu. Étais-ce un bon ou un mauvais signe ? Il avait l'air plus fatiguais. Je réfléchissais à ma réponse. Je ne savais pas comment lui dire que je l'aimais toujours. '' Je suis venu... Pour le travail. Je suis actrice. Je voulais faire de nouvel expérience et sa m'a emmené ici. Et toi ? Tu t'en sors comment ?'' Je n'y croyais pas. Lyov était là devant moi ! Quel miracle ! Je l'avais trouvé alors que je ne le cherchais même pas. Quelle chance !

Je suis très surpris, il est vrai, j'étais loin de me douter qu'un jour je la reverrais mais comme quoi je me trompe, encore aujourd'hui. Elle répond à ma question, tiens, elle au moins elle a su s'en sortir et faire ce qui lui plaisait, pas moi. Comme quoi j'ai vraiment raté ma vie, les doigts dans le nez. Je souris un peu hochant la tête, ici il y a tellement d'actrices, de stars...j'espère pour elle qu'ici elle sera aussi connu, du moins si elle l'était dans notre pays. Après l'histoire du viole je me suis enfuie, il valait mieux pour moi. Je sais qu'au moins ici personne ne viendra m'importuner. J'espère qu'il n'est rien arriver à mon frère qu'ils n'ont pas cherché à se venger. Sinon, je n'ai pas de boulot stable, il y a quelques mois j'ai découvert que j'avais une fille sinon, oh écoute rien n'a changé. Je lui fais un petit sourire en coin, je dois être toujours un gros enfoiré, sa personne ne m'a prouvé encore le contraire jusqu'à aujourd'hui. Je vais prendre mes affaires, finalement j'irais jouer un autre jour. Tu viens ?

J'écoutais sa réponse attentivement. J'imagine bien que sa vie n'a pas dû être facile après ça. Mais je n'avais jamais pensé a comment le prenais son frère. Ils étaient très proches quand je l'ai connu. Je pensais à ça tout en écoutant ce qu'il avait à me dire. Quand il m'a dit qu’il avait une fille depuis quelques jours j'ai été choqué. Je l'ai regardé la bouche en cul de poule. Je priais pour qu'il ne soit pas remarqué ma réaction. Je voulais regagner une place dans son cœur, avec ou sans sa fille. Je pense que je réussirai à m'y faire. Il me faut juste un peu de temps... Il prit ses affaires et me demanda si je voulais venir avec lui. Je n'ai pas hésité une seconde. '' Bien sûr ! '' Je souris de mon sourire le plus ravageur tout en masquant que j'étais toujours choqué par ce qu'il venait de me dire. J'étais choqué. Mais je suis courageuse. Je pourrai surmonter ça et pourquoi pas, faire la connaissance de la petite ? '' Tu as une fille donc. Elle est comment ?''

Je quitte alors le terrain de basket avec elle, jetant en passant près de la poubelle ma bouteille d'eau vide puis je reporte mon regard vers elle quand elle me parle de ma fille. J'affiche un petit sourire, même si je ne la connaissais pas, il n'y a pas si longtemps, je suis quand même fier de l'avoir, elle et mon frère c'est tout ce qui me reste. Elle me ressemble beaucoup, elle ne tient pas grand chose de sa mère et fort heureusement, elle avait un caractère de m*rde. Sinon elle ne sait pas trop parler l'anglais et je peine à ne pas lui parler en Russe pour qu'elle fasse des efforts. Je ne l'ai pas vue grandir, il y a quelques mois de sa, j'ignorais son existence. C'est quand une ancienne de mes conquêtes est morte que j'ai eu sa garde. C'était dur au début, mais je m'en sors plutôt bien. En gros, elle n'a pas été une enfant que l'on désirait, j'étais de loin à m'imaginer que j'avais une fille, j'étais bien sur le cul en l'apprenant, j'ai même eu du mal à réaliser tout sa pour dire. On arrive pas loin de chez moi, je m'arrête de marcher et je me tourne vers elle. Tu veux venir ? Ma coloc' n'est pas là si sa peut te rassurer. Et puis, bien sûr ce n'est pas un quartier sous haute surveillance, c'est même tout le contraire, mais n'étant pas très riche, ne roulant pas sur l'or non plus, Darcy et moi on ne peut pas se payer un appartement de luxe, même si celui qu'on a nous convient très bien, on pouvait avoir pire.

Il me parlait de sa fille. Il semblait beaucoup l'aimé. Cela me rassurait. Je ne sais pas comment j'aurai réagi à sa place. Se réveiller du jour au lendemain avec une fille dans les bras. Sa dois être dur. Mais il est courageux. Si elle lui ressemble elle doit être courageuse elle aussi. Et belle comme un Dieu entre autre. En arrivant devant chez lui je me suis rapproché et j'étais maintenant en face de lui. '' J'aimerais bien la rencontré un de ses jours. Et je pourrai même l'aider pour la langue. J'ai appris l'anglais.'' Je le regardais droit dans les yeux. Son assurance me faisait craquer. Je me retenais de ne pas me jeter sur lui. Il m'avait tellement manqué ! Je me mordais les lèvres pour ne pas rougir. Je perdais littéralement le contrôle. Il me propose de venir chez lui en précisant que sa colocataire n'était pas là. '' D'accord. ''J’avais accepté d'entrer chez lui moi qui est l'habitude de faire supplier les garçons. Je perdais vraiment la tête en sa présence...

Je lui adresse un petit sourire à ce qu'elle me dit, je la lui montrerais un jour, il suffit juste de me dire quand elle est libre et j'organise sa, de plus je pense aussi que le fait de passer des moments entre filles c'est tout aussi bien, ma fille ne connaissant pas ce qu'est d'avoir une figure maternelle. Merci de m'aider. On arrive près de chez moi, le quartier pauvre de la ville, mais que voulez-vous, je fais comme je peux. Je lui demande si elle veut venir chez moi et elle accepte, je lui adresse un petit sourire avant d'entrer dans le hall, montant les escaliers n'habitant qu'au deuxième étage puis j'ouvre la porte de mon appart' avant de pousser la porte et d'entrer, refermant la porte derrière elle remettant les clefs dans la serrure. Bon, ça ne doit pas être l'appartement le plus luxueux, tu m'en excuseras. Je vais déposer mes affaires sur mon lit retirant aussi mes pompes puis je reviens à elle Fais comme chez toi, hein. Tu veux boire ou manger quelque chose ?

Même après que je l'ai jeté comme un chien Lyov était toujours gentil avec moi. Masi cela est du passé. Je ne pense plus à ça heureusement. Il avait accepté mon aide pour sa fille. Sa semblait plutôt bien se présenter. J'aimais l'ambiance qui régnait dans son appartement. '' Ne t'inquiète pas pour l'appartement. Il est chaleureux ce n’est pas comme le mien. Il est grand mais je mis sans seul. Cela n'est pas la joie tous les jours crois-moi !'' je ris. Il partit enlevé ses chaussures et en revenant il me demanda si je voulais manger ou boire quelque chose.'' Non, merci.'' Je me rapproche de lui e dit : '' Tu es fiancé ou tu as une copine ?'' Si oui j'allais sortir le grand jeu. Je savais y faire avec les hommes. Lyov est l'homme qu'il me faut je le sais. J'ai confiance en moi. Je sais que j'arriverais à le reprendre. Ce n'est qu'une question de temps. Mais je suis bien trop impatiente ! Je ne pourrai pas tenir trop longtemps. Je vais quand même attendre. Enfin, essayé d’attendre.

Je suis content qu'elle ne me voit pas comme un bon à rien, je fais tout pour qu'on ait de quoi vivre et que l'on vive bien et heureux. L'argent ne fait pas le bonheur non, loin de là et j'en suis conscient car je ne demande pas d'en avoir plus, je ne sais même pas ce que j'en ferais. Je lui demande alors si elle veut boire quelque chose mais elle me répond que non. Je hoche la tête, je sais que si elle a faim elle me fera signe. Je la regarde s'approcher, me mordant discrètement la langue avant de secouer la tête Non, je suis seul, tout comme toi. Je souris légèrement et discrètement en coin, ressentant quand même, cette attirance qui est toujours présente. Je me penche lui déposant un baisé au coin de ses lèvres avant de me redresser. Je vais prendre une douche, j'en ai bien besoin. Je lui fais un clin d'oeil avant de me diriger vers la salle de bain, refermant la porte derrière moi, me déshabillant mettant tout dans le panier de linge sale et je file prendre une douche rapide, ne voulant pas trop la faire attendre. Une fois finie, je sors attrapant une serviette, m'essuyant puis la glissant autour de ma taille, sortant et allant rapidement dans ma chambre pour choisir mes vêtements.

Yes ! Lyov n'a pas de copine. Ça m'enlever un poids sur les épaules. Une guerre avec une femme ne m'aurait pas trop branché. Il était seul, comme moi. Ça fait du bien. Il me donna un baiser au coin de mes lèvres. Je ressenti un frisson. Un GROS frisson. Il partit se doucher et je suis resté dans le salon. J'étais debout et je me promenais dans son appartement. Je finis par me diriger dans sa chambre et je m'assis sur son lit. Je regarde mes messages sur mon portable et je finis par mettre un peu de musique pour attendre. Mais j'avais mes écouteurs évidement. J'attendais qu'il sorte. J'écoutais du LMFAO en dansant du shufflin. Je dansais et quand je me suis retourné je vis Lyov qui sortit de la douche avec son linge autour de la taille. '' Oh mon Dieu !'' Je me suis rapprocher de lui à grand pas.'' Tu t’es entrainé ?!'' Je touche alors son torse et me rendant compte de ce que je venais de dire et faire je rougis comme une pivoine.

Je sors rapidement de la salle de bain, mais évidemment je ne m'attendais pas à la voir dans la chambre entrain de danser, c'est plutôt amusant vu comme ça mais j'ai à peine ouvert la bouche pour parler que la voilà m'appeler par mon surnom, non non...personne ne doit le savoir que je suis Dieu, moi c'est Lyov. Je me retiens de rire à cette pensée mais elle se rapproche rapidement de moi, c'est limite si elle ne me saute pas dessus mais je ne lui en veux pas, c'est compréhensible. On va dire que oui. Je la laisse toucher, après tout si on a des mains c'est fait pour non ? . Je la vois rougir, comme c'est mignon. Je lui pince légèrement et gentiment l'une de ses joues souriant amusé Tu es mignonne quand tu rougis, je ne te l'ai jamais dis ? Je dépose ensuite mes deux mains sur ses joues, rapprochant mon visage du sien déposant rapidement mes lèvres sur les siennes, soupirant d'aise, ayant oublié quel goût elles avaient.

Il était finalement sorti de la douche. Mais il m'avait vu danser. Je suis pratiquement sur que ce n'était pas terrible a regardé. Masi je suis vite passé à autre chose vu qu'il était à torse nu. J'ai également rougis. Il a presque avoué qu'il c'était entrainer mais je ne suis pas si sûr. C'est juste ma mémoire qui flanche. Lyov me dit que j'étais mignonne quand je rougissais. Moi qui faisais tout pour ne pas le faire ! J’ai fini par craqué et rougir. '' Tu n'est pas mal non plus.'' Il m'a pris les deux joues et m'a attiré contre lui pour débuter un baiser. Quand mes lèvres ont touchés les siennes j'ai carrément fondus sur place. Je lui pris gentiment la tête et je l'ai embrassé fougueusement avant de me rapprocher encore plus de lui. Je savais qu'il embrassait bien mais j'avais oublié à quel point. C'était un baiser magnifique. Je m'arrête un instant.'' C'était... Magnifique.'' Je souris et je l'embrasse plus fougueusement encore.

J'ai oublié comment elle était quand elle rougissait, elle qui était plutôt du genre à dire les choses directement, sauf que je sais qu'avec moi, c'est différent, je ne suis pas comme les autres, et fort heureusement. Je souris en quoi à son compliment, merci, je sais, je m'entretiens c'est tout. Je cède à mon envie, de l'embrasser, ces lèvres m'ont manqués, tellement. Je glisse une main dans le bas de son dos la rapprochant de mon, l'embrassant langoureusement mais je sens qu'elle se retient de se jeter sur moi, quelle impatiente, ça m'avait manqué. Elle cesse le baisé, je ré-ouvre mes yeux la regardant C'est vrai, tu embrasses toujours aussi bien. Je prolonge alors quand elle reprend mes lèvres, glissant ma main dans le bas de son dos avant de la pousser sur le lit, lui grimpant dessus. J'ai des pulsions que je ne contrôle pas, pas encore tout du moins et puis cela fait fort longtemps que l'on ne s'était plus retrouver, autant le faire à ma manière, non ? Je dévie mes lèvres à son cou, en y déposant des baisés papillons, soupirant de bien être, tout en collant son bassin au mien.

Je vivais un rêve. Un rêve au quel je pensais depuis trop longtemps. J’avais enfin retrouvé Lyov et nous nous embrassions. '' Merci'' Un rêve ! Il me coucha sur son lit. Je reconnaissais le vrai Lyov qui prenait toujours les choses en mains. Masi ça ne me dérangeais pas. J'avais l'habitude. Et ça me plaisais même a vrais dire. Il était descendu vers mon cou pour y donner des baisers. J'adore les baiser dans le cou. Il le sait visiblement. Je le fit remonter jusqu'à ma figure pour lui donner un baiser avant de monter moi aussi sur lui et d'enlever mon T-shirt. Je lui embrasse le torse tout en doutant de ce que je suis en train de faire. Suis-je vraiment prête à lui pardonner ? Je me pose cette question qu'un quart de seconde. Ensuite je lui laisse prendre le contrôle.

Je lui embrassais le cou tout en attendant sa réponse. Il se redresse un peu. J'en profite pour descendre le long de son torse jusque à son nombril. Je lui donne des baisers autour de son nombril et en même temps il prit un préservatif dans sa table de chevet. Il revient vers moi et passe sa main sur ma poitrine et fini par m'enlever mon soutien-gorge. Il joua un moment avec mon élastique mais puis il me mordit légèrement l'oreille. Je l'embrasse tendrement avant de lui enlever son linge qui commencé me gêner. Je prends sa main et la pose sur mes fesses pour qu'il me pousse sur lui. A sa question je répondis : '' Oui, mais c'est un bon début...''Je souris et m'allonge à côté de lui et passe ma main sur son visage puis je descends vers son cou, son torse et je descendis plus bas, plus bas, plus bas...

J'avais oublié combien ses courbes ainsi que ses traits étaient parfait, j'avais oublié à quel point elle, elle l'était. J'étais un homme combler, mais à l'époque, à cause de cette histoire de viole, j'ai bien regretter de la laisser partiir ou même, qu'elle me passe sous le nez sans que je puisse contrôler quelque chose, sans que je puisse lui dire que non, je l'aimais...Sauf que, j'ignorais et j'ignore vraiment comment on fait pour retenir ceux que l'on aime, je suis trop fier pour avouer mes sentiments en plein jour, il n'y a qu'avec ma fille avec qui je me sens bien et je sais que jamais elle ne me jugera, disons que c'est une enfant, une part de moi et que c'est différent. Je frissonne à ses intentions, déposant de doux baiser à sa mâchoire avant de lui murmurer, sur un ton plein d'humour Tu n'as pas peur que je te viole ?... Dis-je en souriant en coin, venant embêter le lobe de son oreille sentant ses lèvres glisser de plus en plus bas, ne pouvant m'empêcher d'émettre un gémissement, fermant de plus en plus mes yeux, lâchant un long soupire d'aise et de bien être. Je glisse mes doigts qui se perdent dans ses cheveux, les caressant lentement.

'' Je n'ai pas peur de toi mon Lyov...'' Je lui fis un regard plein de sous-entendu avant de me lever. Je venais de penser a quelque chose et je ne pense pas que l'on pourrait continuer si je ne le lui dit pas.'' Il faut que je t'avoue quelque chose avant tout. Je...'' Je pris une longue respiration. Je ne savais pas quoi faire. Je sais qu'il mérite de le savoir mais je ne sais pas si je peux avoir confiance en lui encore une fois. Qui sait s'il ne va pas profiter de moi encore une fois et me trahir ? Mais il mérite de savoir pourquoi je suis là et pas de mensonge. J'ai peur de le lui dire, très peur. ''Je...'' Là encore je prix une grande respiration.'' Je t'ai menti tout à l'heure... SI je suis venu en Amérique c'est parce que tu... Parce que je..'' Je me résigne.'' Laisse tomber enfaite.'' Je me remit dans le lit et l'embrassa. Je ne voulais pas qu'il parle alors je prit ses mains et les posa sur ma poitrine avant de murmurer a son oreille :'' Je veux juste rattraper le temps perdu la maintenant dans ton lit.'' Mais de toute façon il aura un truc à dire, obligé.

Heureusement qu'elle n'a pas peur de moi, je serais bien embêter, et puis tout sa c'est du passé, je suis quasiment sûr que je ne pourrais pas recommencer, du moins je l'espère on ne sait jamais. Elle me stoppe alors dans mon élan, elle se lève et je la suis du regard, fronçant les sourcils sans trop comprendre mais, elle a un aveux à me faire. Et bien, je t'écoute ? Elle met du temps à me répondre, je reste silencieux, je lui laisserais de toute façon tout le temps qu'il lui faudra. Elle n'arrive pas à se prononcer, sauf qu'elle commence à tout m'avouer jusqu'à ce qu'elle se stoppe, sans aucune raison. Parce que je quoi ? Qu'ai-je fais ? C'était pour moi ? Me retrouver, coucher avec moi et me faire la peau ? Elle sait aussi bien que moi que je suis beaucoup plus fort qu'elle et que je sais la maîtriser. Mais, non dis-moi, tu as commencé maintenant tu termines ... Elle dépose mes mains sur sa poitrine, mais à sa phrase, je crois comprendre qu'elle est revenu ici, simplement pour me retrouver, m'aime-t-elle encore ? Je n'en sais rien, laissons le temps s'écouler et on verra ensuite. Je malaxe lentement sa poitrine, me frottant lentement à elle ayant envie, tellement envie de ne faire qu'un à nouveau avec elle.

Je suis quand même curieux, et mine de rien ça continue de me tracasser mais elle finit par tout stopper, pour finir par tout m'avouer, comme quoi, elle ne savait pas me cacher la vérité trop longtemps. Je l'écoute attentivement, et j'étais loin de penser qu'elle est venu ici, pour moi, pour me récupérer. Je me mords discrètement la lèvre inférieur hochant lentement la tête, je comprends, combien elle a eue mal, c'est compréhensible. Je remets ma serviette autour de ma taille puis je glisse le dos de mes doigts contre sa joue, profitant d'essuyer ses larmes puis, après sa pause elle reprend. Je la prends ensuite dans mes bras quand elle achève son discours. Je ne sais pas quoi lui dire, mais je sais que sa me touche profondément et que, moi aussi je l'aime même si je l'avais oublié, pour mon bien, que j'ai tourné la page et laisser tout tomber, tout ceux qui étaient en russie, sauf mon petit frère. Je caresse lentement ses cheveux, humant son odeur tout en la serrant contre moi Il y a certaine chose que l'on ne peut pardonner, et sa je peux comprendre, que tu ne m'aie pas totalement pardonner, ce que j'ai fais, c'est impardonnable, j'aurais mérité le fait d'aller en prison, de me faire juger mais, j'étais trop débile, trop lâche pour reconnaitre mes faits. Je ...je m'en suis voulu, énormément d'avoir fait souffrir mon entourage. Je me suis promis de ne plus recommencer, je sais que c'est dur pour une femme d'effacer sa, ou même d'assumer car ...ce traumatisme, on l'a à vie. Je suis vraiment désolé Katarina, je t'aime moi aussi ... Je lui dnuent de dépose un tendre baisé sur sa tempe lentement, soupirant d'aise puis je me redresse et j'essuie ses larmes qui continuent de rouler sur ses joues. Je lui adresse un faible sourire avant de venir sceller nos lèvres, lâchant un long soupire d'aise.