• Me réfugiant au rez-de-chaussée, je me cache dans le salon, derrière le canapé, un endroit pas top discret mais qui l'es quand même au final vu que de là, je peux voir si il rentre ou non. Que je viennent voir ? Ça va plus non. Si je lui répond, je vais me faire piéger sachant que sa voix venait d'en bas, donc, il est dans les parages. Mes deux bombes dans les mains, je me redresse et parcoure les pièces du bas, en regardant un peu partout. Il est bien caché le vilain. Tes où ? Je crois que je vais vomir, je me sens pas très bien avec toute ces odeurs. Bon, c'est un mensonge, certes mais il est pas censé savoir que je mens. Si il s'approche, il va s'en reprendre plein la poire.

• Quand il sort de sa cachette, je garde ma mine de petite malade avant qu'il soit assez à ma hauteur pour l'attaquer à nouveau en disant fièrement. Ne jamais faire confiance à une femme. Me remettant à courir, je retourne me cacher derrière le canapé, mes bombes serrées dans mes mains et guettant son arrivée.

• Ne jamais faire confiance aux hommes très futé eux aussi car je ne l'ai pas entendu arriver. Quand je sens cette substance dans mes cheveux et ses mains qui me font un shampoing, je me débat mais à peine perdue, surtout quand il se jette sur moi et que nous roulons au sol. Mes mains prisonnière, pour pas changer, je prend sur moi pour rouler et essayer de prendre le dessus sur lui en riant. AU SECOURRRRSSSSSSSSSSSS !!!!!!!!

• C'est qu'en plus il me maîtrise comme jamais personne ne m'a maîtrisée. Je suis bloquée sous lui, au sol, les poignées serrés entre les étaux qui lui servent de main. Je peux plus rien faire, surtout quand il parvient à me faire lâcher mes bombes. Je le regarde dans les yeux en souriant, tendrement. Je me rend mon coeur. Je pue la mousse à raser, la crème chantilly et le dentifrice bon marché, c'est affreux ...