• J'aime ... J'adore ... J'adhère totalement ! J'ai l'air d'une fille pas très bien dans sa tête mais c'est faux, j'ai la tête sur les épaules. Je suis juste différente. J'aime quand l'acte sexuel est doux et sauvage à la fois, que ça laisse quelques marques et j'aime les hommes de type mauvais garçon. C'est peut-être ça qui m'a autant attiré chez Jason la première fois que l'on s'est vu. Montre-le moi maintenant trésor ... Ses bras musclés autour de moi et son baiser dans mon cou me font sourire. Je t'ai pas demandé d'emménager avec moi, je t'ai juste dit que tu pouvais prendre quelques affaires. Comme ça, ta ce qu'il faut quand tu dors ici. Qu'il prend la maison entière tant que je suis toujours dedans

• Je fais semblant de sortir les griffes telle une tigresse quand il me fait son regard de mauvais garçon avant de sourire, amusée. J'aime ... Non, je ne vais pas trop souvent sur Facebook pour parler ainsi. C'est juste une expression. Le voyant reculer, je prend un air faussement déçue. Ça marche trésor, je ferais livrer chez toi la moitié de la chambre qui me sert de garde-robe. J'ai beaucoup de vêtement, il va pas être déçu. Vas-y, le téléphone est dans le salon, je finis de m'habiller et de me préparer en attendant.

• Farfouillant dans mes placards, j'opte pour un leggins sportif, un haut dévoilant ma poitrine et se croisant dans le dos, sportif lui aussi ainsi qu'une petite paire de basket, fine et légère. Me dirigeant dans la salle de bain, je noue mes longs cheveux en une queue de cheval, je me maquille légèrement car ça ne sert à rien d'en faire trop et je file rejoindre Jason dans le salon.

• Quand je descend l'escalier et que Jason se retourne vers moi pour me faire cette jolie remarque, je souris, m'approchant de lui. Merci trésor, tes pas mal du tout dans ton genre toi non plus. Je lui vole un baiser avant de hocher la tête à ses dires. Tes l'homme parfait. Très efficace. Je ne suis pas dupe au point de voir qu'il a eu le regard un peu dévié vers mon décolleté et ça me fait intérieurement sourire. J'espère que tu me feras pas trop courir car ça fait un moment que je n'ai plus fait de footing et j'ai peut-être perdu la main.

• Tu vas finir par me faire rougir. D'ailleurs, c'est un peu, voir même beaucoup le cas. Pour moi, y a pas à dire, Jason est l'homme parfait, l'homme que j'ai toujours voulu, que j'ai eu, que j'ai perdu et que j'ai réussi à reconquérir. Là, tu gonfles et pas qu'un peu. Je fais signe avec ma main qu'il prend la grosse tête. Mais bon, c'est vrai, tes un Dieu et très efficace mon amour. La tête amusé de Jason prévoyait rien de bon mais ça va, il savait se tenir sur le coup. Je suis toujours en forme mais je risque d'être facilement essoufflée vu que ça fait un petit moment. Je vais être chiante en plus si je t'arrive pas à la cheville, tu me connais. Oui, pourquoi pas. Dès qu'on peut bien sur car en ce moment, je fais beaucoup de matinée ou de nuit. Pour passer plus de temps avec Jason, je suis prête à tout. Quand on frappe à la porte, Jason m'embrasse et va ouvrir. J'ai pas le temps de lui filer quelques dollars qu'il paient avant moi. Quand il se retourne, je tiens les billets dans mes mains. Là, ta joué à Speedy Gonzales, trop rapide pour moi.

• Il prend facilement la grosse tête ? On est compatible alors vu que moi aussi j'ai tendance à rapidement la prendre. Y a rien de méchant, on se vante juste pour le plaisir de l'autre en fin de compte. Ça le fait rire en plus de m'avoir devancé. Faut que tu saches, je me suis fait avoir une fois mais pas deux car je déteste perdre. Moi aussi je peux me montrer autoritaire et convaincante quand je le veux. Répondant à son baiser, tout aussi tendrement, je hoche la tête. Ouais, je vais chercher un couteau dans la cuisine, on peut manger dans le salon, sur le canapé, si tu veux ? Avant que Jason n'eut le temps de dire quoi que se soit, j'étais déjà partie chercher ce fameux couteau et revenue avec, le lui tendant.

• Si tu le sais, c'est très bien, ça m'évitera de devoir te le dire des milliers de fois. J'aime pas trop me répéter, surtout pour ce genre de chose. Lui tendant le couteau, je prend place dans le canapé près de lui et je prend le morceau de pizza qu'il me donne, commençant à le manger. Tu m'as pas dit, ça s'est bien passé cette nuit à l'hôpital ?

• Je souris, satisfaite qu'il soit sur la même longueur d'onde que moi. Je l'écoute me raconter sa nuit à l'hôpital tout en mangeant ma part de pizza. Ah oui, en effet, t'avais pas beaucoup de travail. On dit toujours qu'il n'y a pas assez de personnel pour satisfaire tout les besoins des gens qui franchissent nos portes mais si, on a trop de chirurgien et pas assez de bloc. La preuve, quand certains opèrent, les autres, s'occupent de chose qui ne font pas parti de leur corde normalement. Ça fait des lustres que je fais part à mon chef de mon opinion mais il ne peut malheureusement rien faire car ça n'est pas de son ressort. J'ai pris une douche, j'ai mangé et j'ai été me coucher.

• En effet, il manque pas mal de chose. La ville devrait mettre en oeuvre quelque chose pour aggrandir les lieux, rajouter du matériel et quelques salles par exemple mais apparemment, c'est trop demandé. L'hôpital n'est pas petit non plus mais disons qu'il ne peut pas contenir tout le monde à la fois vu que l'attente est souvent très longue avant d'être pris en charge. Tu aurais pu, j'aurais pris le soin de te répondre trésor. Je ne lui en aurais pas voulu, bien au contraire. Finissant ma part de pizza, je hoche la tête. Oui, comme tu dis.

• Ta pas tort, on sera plus collé l'un à l'autre en permanence comme quand nous étions adolescent. Enfin, même là, on commençait à étudier donc parfois, c'était chaud. Faut s'habituer au fait que parfois, on sera surement des jours sans se voir à cause de notre boulot. C'est ça le plus dur dans une relation amoureuse. Moi, par exemple, si je le pouvais, je resterais en permanence aux côtés de mon homme mais on ne peut pas. En plus, à la longue, on s'en lacerait. Hors de question d'avaler une autre part de pizza, j'ai l'estomac qui me crie qu'il n'en veux plus. En même temps, j'ai déjeuner il n'y a pas si longtemps que ça. M'en veut pas mais j'en veut plus.

• Bien sur qu'on va y arriver, de toute façon, on a pas le choix. C'est plus facile à dire qu'à faire. J'ai beaucoup de mal à savoir Jason loin de moi mais pourtant, je fais avec car je sais que je n'ai pas le choix. Tes sur que t'en veux plus ? Faut la finir, tu l'as payée, n'oublie pas. Je lui tire la langue.

• Quand il prend une nouvelle part de pizza, je souris satisfaite. Comme quoi il m'écoute quand même un peu malgré le fait qu'il veuillent toujours avoir le dernier mot. Je te boosterais, t'en fais pas pour ça. Tu ne vas tout de même pas laisser un petit bout de femme comme moi te ridiculiser en sport ? Si je suis plus en forme que toi, tu vas te sentir mal. Quand Jason s'approche de moi et qu'il glisse son doigt sur mes lèvres en me demandant un bisou, je souris et je pose ma main sur sa nuque pour attirer son visage contre le mien et lui déposer un tendre baiser sur les lèvres.